Ultralibéralisme

coût et sur la faisabilité ET bouclier spatial = incompatible avec le paix MAIS idée de l’IDS stimule l’innovation US et = défi financier trop grand pour URSS - Politique néolibérale et monétariste (ultralibéralisme) : Réductions drastiques des dépenses publiques et sociales, hausses des militaires, baisse des impôts pour les riches qui investissent dans les sciences, suppression de l’aide aux pauvres, dégraissage de l’appareil administratif (- de fonctionnaires)

production et les prix. Monétarisme autrichien : (Friedrich Von Hayek) refuse tout rôle à l’Etat et à la Banque Centrale qui ne doivent pas intervenir sur la monnaie. La monnaie fait ce qu’elle veut, la Banque Centrale ne sert du coup plus à rien. Ultralibéralisme. Tout se régule naturellement, tout est organisé par les marchés qui régulent l’économie. La politique monétariste laisse l’Etat en dehors du marché et doit juste s’assurer que le marché possède un cadre stable (petites règles en bordure de

s’est gaussé d’être à la tête d’un état traversant une crise sans précédent . Si ce n’est dans la gravité des conséquences économiques sur notre consommation ; l’exceptionnalité de la crise réside dans le désaveu sans précèdent à l’égard d’un ultralibéralisme jusqu’alors incontesté. Depuis la « failite » incontestable du « monopole d’état absolutisé » incarné par le modèle soviétique dans le début des années 90, la loi du marché paraissait s’ être imposée comme l’unique solution économiquement réaliste

aussi différents que libéralisme économique et libéralisme politique, libéralisme classique et néolibéralisme, libéralisme rationaliste et libéralisme évolutionniste, libéralisme jusnaturaliste et libéralisme utilitariste, ordolibéralisme et ultralibéralisme, etc. ? Ce risque de dogmatisme 1 Alain Laurent est notamment l’auteur d’un utile panorama de La philosophie libérale, Paris, Les Belles Lettres, 2002. Vincent Valentin a publié une étude éclairante sur Les conceptions néo-libérales du droit

« Chaque fois, dit Naomi Klein, ces traumatismes majeurs ont été suivis par la mise en place de réformes économiques présentées comme une thérapie de choc, dont le principal but est d'assurer la prise de contrôle de la planète par les tenants d'un ultralibéralisme implacable. Ce néolibéralisme fondamentaliste met sciemment à contribution crises et désastres pour substituer aux valeurs démocratiques, auxquelles les sociétés aspirent, la seule loi du marché et la barbarie de la spéculation. Roger Rashi

des pays ayant un système social moins avantageux pour les salariés), de privatiser des services publics, de baisser les prélèvements fiscaux sur les entreprises pour favoriser une politique de l'offre, de se limiter à panser les dégâts de l' ultralibéralisme à le combattre. Révolution: Une révolution est un changement, un bouleversement important et brusque dans la vie d'unenation. Le terme de révolution s'applique à de nombreux domaines : social, politique, économie, culture, morale, science,

de la générosité nous prenons en compte les intérêts de l’autre quant bien même nous ne les partageons pas, tandis que la solidarité consiste à prendre en compte les intérêts de l’autre parce que nous partageons ces intérêts. d) Libéralisme ou ultralibéralisme ?‬ « Oui à l’économie de marché, dit un jour Lionel Jospin, non à la société de marché ! ». Pour Comte-Sponville, cette pensée distingue les libéraux des ultralibéraux. Cette différence se voit avec la distinction des ordres, et l’action du politique

macro-éco (individuel) - régions (collectif / global supranational) - branches d’activité GE / PME, ménages Les accords internationaux s’imposent à nous. ( organisation plus ou moins rigide par rapport à la place de l’Etat • Ultralibéralisme = pas de règles ; autodiscipline. « L’Etat fait mal et trop cher ». • Libéralisme = Etat-gendarme → des règles doivent être édictées, l’Etat étant chargé de vérifier le bon fonctionnement de ces règles. Smith : « main-invisible » • Etat-providence (Keynes)

20ème siècles Au 19ème rôle de l’état : protéger les biens (rien) Le 1er grand concept est la liberté 1815-1830 Restauration 1830 : Révolution, la Monarchie de juillet => Libérale, industriel 1848-1852 2ème République 1852 2ème Empire => ultralibéralisme : moment d’apogée économique, exploitation des ouvriers, régime stricte 1870 IIIème République Suffrage masculin qui tiennent compte en partie de la volonté des ouvriers 4ème République : Sécurité Sociale, 3ème semaine congés payés A/

désincitatif selon les libéraux (« Trop d’impôt tue l’impôt » selon Laffer) Elle peut remettre en cause la méritocratie puisque les mérites ne sont pas pris en compte Conclusion : la difficile troisième voie Constat de la double faillite (socialisme, ultralibéralisme). Développée par A. Giddens et ayant inspiré le Blairisme en GB et la politique de Clinton aux EtatsUnis, elle consiste à faire évoluer le système de l’Etat-Providence (Welfare State) en assurant le passage du « welfare » au « workfare ». Il