Ultralibéralisme

réel sentiment d'appartenance à une école éco. II. Néo-Libéralisme depuis les années 1970 Depuis la fin des années 1970 dans le monde anglo-saxon -et depuis les années 1990 en Europe-, le terme « néolibéralisme » (aussi dénommé « ultralibéralisme » ou même « hyperlibéralisme ») fait référence à des politiques libérales sur le plan économique, en réaction contre les idées Keynésiennes et d'une façon plus générale contre l'intervention de l'État. Cette doctrine inspire Margaret Thatcher

possible de les classer suivant leur approche, le concept qu'elles mettent en évidence, pour analyser d'autant plus facilement en quoi elles sont liées ou antagonistes. * la lutte des classes : marxisme, * l'individu : libertarianisme ou ultralibéralisme, anarchisme. * le collectif : socialisme, * l'État : royalisme, démocratisme * la façon de manifester ses idées: radicalisme * l'ethnicité ou la nationalité : nationalisme, fascisme, nazisme * la tradition : conservatisme

on prône alors l’autorégulation. La gestion de l’Etat doit être calquée sur la gestion d’une entreprise privée (management). Il y a un renouveau de pensées libérales à la fin du XXème siècle. On parle alors de « néolibéralisme » qui est un « ultralibéralisme » qui est une vision péjorative/critique.Dans ce libéralisme économique on compte entreprendre plusieurs nouvelles composantes :· Libre entreprise (libérer la capacité de créer, gérer et fermer une entreprise).· Libre-échange · Libre concurrence·

concept d'idéologie est mal compris du plus grand nombre. Par exemple, on peut dénoncer l'idéologie libérale, en vue de dissimuler les idéologies que l'on défend soi-même, oubliant qu'il existe des formes plus ou moins radicales de libéralisme (ultralibéralisme,…), et que cette philosophie a beaucoup évolué depuis trois siècles. Il en va de même du socialisme. Doxa et mythe La notion de « mythe » (que nous prenons au sens défini par Barthes 1957) est beaucoup plus univoque. Le mythe individuel est

cerveaux polonais à travers l'Europe des 15 et les Etats-Unis. On évalue le nombre de polonais vivant en dessous du seuil de pauvreté à 8 millions ainsi qu'à 5 pour ceux vivant dans la misère. La faute à qui ? A la montée depuis 1995 d'un ultralibéralisme non maîtrisée en prévision de l'adhésion de la Pologne à l'UE, un vaste mouvement de privatisations dont les conséquences positives sur le plan économique entraînent un véritable marasme social. L'UE n'a pas que du bon face à l'emploi

brutal, qui a tourné le dos à la morale des Lumières, et qui ne pouvant plus justifier ses exactions dominatrices et guerrières par la Raison s’est réfugié aujourd’hui dans la mystique, le Dieu tribal de l’élection de l’ancien testament… Un ultralibéralisme mystique et mystificateur qui tente, depuis un certain 11 septembre, de nous entraîner dans un pseudo « conflit de civilisations » qui tend, surtout pour nous, à opposer Europe et Occident, à empêcher une Europe des peuples et des nations qui

car c'est eux qui doivent être indemnisés en premier en cas de faillite de l'E). En 1867 c'est le tournant Napoléon 3 libère totalement la création des sociétés anonymes ( il n'y a plus aucune loi restrictive pour créer une société anonyme = ultralibéralisme). Il créer la société anonyme à responsabilités limitées. Si ils font faillitent il perdent seulement le 'argent qu'ils ont investient dans l'E. Le capitale des SARL est limité à 2 million de Francs pas plus. C'est la structure qui est adoptée

ensuite à présenter les implications économiques de diverses idéologies politiques. Autant de choses qui nous fonderont à évoquer la controverse paradigmatique mettant aux prises défenseurs de l’ultralibéralisme et ceux de l’alter mondialisme. Par ultralibéralisme, il faut entendre une dynamique visant à propager le paradigme libéral à l’échelle globale. A cette dynamique s’oppose les altermondialistes qui eux sont soucieux de voir une autre forme de mondialisation qui tienne compte de l’homme et de l’environnement

qui contrôlent l’activité du trafic et de la vente. - La culture, l’ensemble des valeurs partagées par l’organisation. Les individus qui composent la mafia napolitaine semblent partager des valeurs tirées, comme le dénomme Roberto Saviano, d’un «ultralibéralisme radical»9. Les camorristes semblent partager l’opinion selon laquelle les règles sont seulement dictées, même imposées dans certains cas, par l’obligation de faire du profit d’une part, et l’obligation d’être supérieur, dans leur conception de

politique qui prône un libéralisme absolu où règnent l'économie de marché et l'entreprise privée. Il se caractérise par l'absence de régulation économique de l'État et la place de la liberté individuelle qui est mise au-dessus de tout. Le terme "ultralibéralisme" est utilisé pour faire ressortir les aspects néfastes d'une forme de libéralisme que l'on juge condamnable.  Quand au libéralisme conservateur, il est une variante du libéralisme combinant des valeurs et des politiques libérales. Les libéraux-conservateurs