Ulysse Héros épique

Chant XI : C'est un chant autonome, qui se déroule au pays des morts. Ulysse ni vit aucune aventure, C'est donc une pause narrative. Il est annoncé par Circé : chant X (490 491) : « mais il vous faut d'abord entreprendre un autre voyage » / « vers les maisons d'Hadès et de la grande Perséphone » . Ce chant intégré au poème Homérique, prend tout son sens par apport au reste de l’œuvre. Il rempli une fonction narrative. Il fait parti du voyage d'Ulysse : « Mais il vous faut d'abord

Smyrne, Cymé ou encore Colophon) se disputaient l'origine de l'aède et la tradition l'individualisait en répétant qu'Homère était aveugle. La place d'Homère dans la littérature grecque est tout à fait majeure puisqu'il représente à lui seul le genre épique à cette période : on lui a attribué l’Iliade et l’Odyssée dès le VIe siècle av. J.-C., ainsi que deux poèmes comiques, la Batrachomyomachia (littéralement « la bataille des grenouilles et des rats ») et le Margitès, et les poèmes des Hymnes homériques

Du Bellay évoque à la fois deux héros mythologiques grecs (Ulysse et Jason), puis Rome et sa grandeur. Le premier quatrain suggère donc au lecteur le bonheur humaniste du voyage. Le lexique y prend un caractère mélioratif, comme le révèle la valeur universelle et positive de la formule d’incipit du sonnet : « Heureux qui ». L’adjectif « beau » ajoute une touche qualitative. Le poète désigne les deux héros à travers deux comparaisons ; la première, « comme Ulysse », rappelle le désir proverbial

sous la forme épique, la réalité historique amplifiée des achéens dans leur tumultueuse bataille contre Troie. Ensuite, dans l’Odyssée, le poème des retours. Il inclut le retour d’Ulysse à Ithaque, après dix années de guerre et en dix années pour un périple initiatique. La voix d’Homère, devient dans le chant V à XIII, celle de Démodocos, aède qui agrémente les festins Phéaciens. Puis celle d’Ulysse, qui fait vivre à ses hôtes toutes ses aventures vécues entre Troie et la Schérie. Ulysse chez les Phéaciens

indispensable au retour d’Ulysse vers Ithaque. B- Un épisode de transition dans un lieu frontière : entre l’univers du merveilleux et l’univers réel, entre l’expérience de l’inhumain et la reconquête d’une place chez les hommes. C- L’affirmation du héros épique : la geste d’Ulysse à la guerre de Troie, son triomphe au jeu (aristie), sa sensibilité. II- Un intérêt mythique et utopique = un épisode révélateur de la représentation critique des valeurs du monde homérique A- Un lieu utopique (au sens

Un héros est souvent comparé à un demi-dieu, un personnage légendaire, doté de courage et d'exploits remarquables, ainsi que d'un destin exceptionnel. Ces prouesses extraordinaire montre que c'est un personnage brave, digne de l'estime publique, de gloire, par son génie sa force de caractère ainsi que parfois a son dévouement pour une cause. Au contraire le mot « médiocre » vient du latin medius, qui signifie « qui est au milieu », désignant ainsi ce qui est banal, s'opposant donc à cette notion

Fiche N°1 : « Heureux qui, comme Ulysse.. » Du recueil « Les Regrets » 1558 J. Du Bellay Intro. Du Bellay est un humaniste et un des auteurs de la pléiade les plus connu avec Ronsard. Il admire l’antiquité gréco-latine, l’Italie. 1558, départ à Rome avec son cousin. Il écrit alors 2 recueils : Les Antiquités de Rome et Les Regrets→ déception du poète face à ce séjour insatisfaisant. Présentation du texte. Ce sonnet appartient au 2° recueil. Il est composé de 2 quatrains (r. embrassées)

plusieurs villes ioniennes (Chios, Smyrne, Cymé ou encore Colophon) se disputaient l'origine du poète et sa tradition en répétant qu'Homère était aveugle. La place d'Homère dans la littérature grecque est majeure puisqu'il représente à lui seul le genre épique à cette période : l’Iliade et l’Odyssée lui sont attribuées dès le VI e siècle après J.-C., ainsi que deux poèmes comiques, la Batrachomyomachia et le Margitès, et les poèmes des Hymnes homériques L’Odyssée :

la composition de l’extrait : repérer les mouvements du passage, l’importance du texte Identifier la (ou les) tonalité(s) : (« caractériser le texte/le ton du texte ») : tragique, pathétique, lyrique, comique, merveilleux, ironique, didactique, épique, engagé, … Identifier les voix narratives (l’instance d’énonciation = d’où vient la parole, d’où vient le discours ?) : « qui parle à qui ? » Identifier les focalisations : « qui voit quoi ? Qui sait quoi ? » Le narrateur peut avoir différents

pertinence du lieu commun [du rapprochement] fondé sur l'analogie de certains motifs et thèmes comme sur l'identité formelle de l'hexamètre, devient plus pressante lorsque les parallèles terminologiques ne relèvent manifestement pas du seul phrasé épique. L'un de ces parallèles (...) superpose en effet l'immobilité d'Ulysse lié au mât par ses compagnons dans l'épisode des Sirènes, et l'immobilité de ce qui sera la sphère, retenue par une nécessité puissante dans les liens de la limite : l'un ou l'autre