Ulysse Monstres

MONSTRES ET MONSTRUOSITE Introduction : A/ d’abord consacré au mot Le mot monstre a de multiples sens : -un être vivant présentant une importante malformation, la science qui étudie ces êtres est la tératologie. -un être fantastique que l’on trouve dans les mythologies, les films et qui est particulièrement effrayant. Ex : centaures, cyclope -un être particulièrement mauvais sur le plan moral, ex : Dutroux est donc un monstre, Eichmann et Hitler sont ils des monstres ? (Hannibal etc.)

- Observons maintenant en quoi ce récit est une description d’un voyage merveilleux. On peut remarquer le champ lexical de la merveille : "créature ;bête ;monstre ;bête-hommes". Ici, l’auteur créé un monde très fantaisiste, mais d’une merveillosité unique et incomparable. L’auteur nous renvoie au temps de la mythologie grecque et ses monstres : "cette aventure...des sirènes". Enfin, étudions pourquoi ce texte suscite l’étonnement et la surprise. Nous pouvons remarquer que l’auteur créé la surprise

Nozières qui défraie alors la chronique et qu’il suit comme journaliste. Les raisons d’une attirance pour un « monstre » On peut déjà trouver des débuts de réponse dans la citation de Baudelaire placée en exergue au roman. Elle est tirée de « Mademoiselle Bistouri » du Spleen de Paris. "Seigneur, ayez pitié, ayez pitié des fous et des folles ! Ô Créateur ! Peut-il exister des monstres aux yeux de Celui-là qui sait pourquoi ils existent, comment ils se sont faits et comment ils auraient pu ne pas

original traduit aussi la folie du personnage. La scène débute sur des divagations de la jeune femme qui nous plonge au coeur de son histoire et son imaginaire depuis l'enfance d'une façon légère, en toute naïveté. Puis, au fure et à mesure, ce monstre féminin nous fait le récit des six scènes d'amour à l'issue fatale, tout en sortant de ses sacs non pas des sexes masculins mais des fleurs. Cette métaphore était déjà présente dans le texte, mais le choix de la metteur en scène de faire apparaître

sujet prend place dans les pages : l’Histoire. Celle-ci, inflexible et parois cruelle, remplace définitivement l’infini de l’âme. Dans ce même ordre d’idées, l’Histoire est définie comme un monstre intérieur incrontrôlable qui apporte des malheurs tels que la guerre et qui vient aisément remplacer les monstres intérieurs. Selon Kundera, la collectivité (rêvée par la culture mais obtenue par la guerre) écrase le roman, ce dernier étant incompatible avec le totalitarisme engendré par les conflits entre

sur les monstres ? Les monstres font partis de notre société depuis toujours et suscitent la curiosité du monde. Cinq documents évoquent le monstre. Il peut être réel comme nous le prouve l’affiche du film The Elephant Man (doc 5) réalisé par David Lynch qui retrace une histoire vraie. Mais ils peuvent aussi être le fruit de notre imagination comme dans le roman Notre-Dame de Paris (doc 1) de Victor Hugo où il décrit le physique de sa créature et la réaction du groupe face à ce monstre. Mary Shelley

Dissertation Problématique : Le monstre est-il si différent de nous ? Vous répondrez à cette question en vous appuyant sur les trois film de « Lycéen au cinéma » Un monstre est un individu ou une créature dont l'apparence ou le comportement surprend par son écart avec les normes d'une société. Le sens premier de ce nom correspond à un être fantastique de la mythologie populaire, généralement un animal de très grande taille, effrayant, se nourrissant de chair fraîche mais le second sens correspond

Les villes sont des monstres froids. Seule la campagne permet à l'homme de rester lui-même. De nos jours, à l'époque du grand développement de la technologie, nous observons un immense progrès dans la domaine de l'urbanisation. Les terrains inhabités autour des villes sont de plus en plus souvent utilisés pour y construire de nouveaux bâtiments ou centres commerciaux. Par conséquence, les villes s'agrandissent. Ainsi, le béton gris remplace l'environnement naturel, ce qui génère à partir

t’ai pu parler que de toi-même » comme si elle n’avait que lui et son amour en tête. Je cite : « Délivre l’univers d’un montre qui t’irrite » cette phrase traduit la figure du montre et l’appelle à la mort, elle est persuadé que sans elle, sans ce monstre, le monde tout entier ira mieux. Elle fait ensuite une interrogation exclamative : « La veuve de Thésée ose aimer Hippolyte ? » elle se dépersonnalise et affirme son crime avec le lien père/fils qu’elle évoque. Puis, quand elle fait la demande a Hippolyte

de l’animer, accentuant surtout l’horreur et la violence du combat et celle du monstre, tels que le vers : « De rage et de douleur le monstre bondissant ». Par ailleurs, au début du récit de Théramène vers 1598 à 1506, l’emploi de l’imparfait permet de décrire la venue d’Hippolyte. Il indique une action longue, mais il permet aussi d’étendre comme une toile, un support sur lequel va s’appuyer et intervenir le monstre en deuxième partie, lors du passage au présent de narration. Cette valeur de temps