Ulysse être Exceptionnel

RÉSUMÉ Acte I Scène 1 : Agamemnon, le chef des Grecs rassemblés à Aulis pour aller attaquer Troie, confie à son domestique, Arcas, que, la flotte étant arrêtée par l’absence de vent, les dieux avaient, par la voix du devin Calchas, indiqué que devait être sacrifiée «une fille du sang d'Hélène», c’est-à-dire sa fille, lphigénie, à qui il avait donc demandé de venir avec sa mère, la reine Clytemnestre, en prétextant l'impatience d’Achille, son fiancé, qui voulait qu'on célébrât les noces avant le départ

Scène 1 : Agamemnon, le chef des Grecs rassemblés à Aulis pour aller attaquer Troie, confie à ce membre de sa «maison», Arcas, que, la flotte étant arrêtée par l’absence de vent, les dieux avaient, par la voix du devin Calchas, indiqué que devait être sacrifiée « une fille du sang d'Hélène », c’est-à-dire sa fille, lphigénie, à qui il avait donc demandé de venir avec sa mère, la reine Clytemnestre, en prétextant l'impatience d’Achille, son fiancé, qui voulait qu'on célébrât

qu'il ne réussit pas qu'un personnage ne peut pas être captivant.  De toute évidence, il est plaisant de suivre l'histoire d'un personnage qui réussit tout ce qu'il entreprend, cela permet à celui qui la suit de vivre par procuration des évènements qui lui seront certainement à jamais inaccessibles. Le héros fascine le lecteur, il joue le rôle de miroir. De part sa capacité à sortir brillamment de toutes les mésaventures dont il est la victime, Ulysse dans l'Odyssée d'Homère remplit parfaitement ce

Acte I Scène 1 : Agamemnon, le chef des Grecs rassemblés à Aulis pour aller attaquer Troie, confie à son domestique, Arcas, que, la flotte étant arrêtée par l’absence de vent, les dieux avaient, par la voix du devin Calchas, indiqué que devait être sacrifiée «une fille du sang d'Hélène», c’est-à-dire sa fille, lphigénie, à qui il avait donc demandé de venir avec sa mère, la reine Clytemnestre, en prétextant l'impatience d’Achille, son fiancé, qui voulait qu'on célébrât les noces avant le départ

pourrait expliquer beaucoup de choses.. A l’epoque Classique , la femme reste toute sa vie sous la dépendance d'un maître (kurios) qui peut être son père, son époux, son fils ou un tuteur désigné par ceux-ci. C'est ce kurios qui la marie, sans que son consentement soit nécessaire, qui dépose pour elle auprès de l'archonte, dans certains cas exceptionnels, une demande de divorce et récupère alors la dot, puisque la femme ne peut rien posséder, etant même privée de son droit à l’héritage, elle n’avait

portrait élogieux de Melle de Chartres. Nous nous demanderons qu’est-ce qui fait de Mlle de Chartres un être d’exception au 17ème. Dans un 1er temps, nous justifierions qu’il s’agit d’une description d’un portrait atypique de la jeune femme puis nous verrons qu’elle a reçu une éducation soignée et atypique. I) Un portrait extraordinaire 1) beauté parfaite On insiste sur sa beauté exceptionnelle et l’admiration qu’elle suscite autour d’elle. - métonymie « une beauté » L2, + champ lexical de la beauté :

LE PERSONNAGE DU ROMAN Sujet de dissertation : le personnage de roman doit-il être un personnage hors du commun-un héros- où doit-il appartenir à l'humanité commune ? Introduction I) Le héros admirable 1) un héros aux qualités exceptionnelles 2) des actes héroïques II) Le personnage ordinaire 1) ancrage du roman dans le réel 2) une identification du personnage par le lecteur 3) l'anti-héros III) Des personnages complémentaires 1) une personnalité complexe

immortel. n b) Noé a cent ans. n c) La femme fut créée à partir d’une côte de l’homme. n d) Hermès est le dieu des Enfers. n 4 faux n n n n e) Les Sirènes ont un corps de poisson. f) Le chien Argos meurt en reconnaissant Ulysse. g) Ulysse tue les prétendants à l’épée. h) Énée est le fils de la déesse Vénus. i) Les Pénates sont les divinités des Ancêtres. j) Énée se rend aux Enfers avec la Sibylle. k) Méduse a des serpents pour cheveux. l) Ovide a écrit l’Énéide. m)

Un personnage médiocre peut-il être héros de roman ? A l’origine, le roman est un récit contant les aventures merveilleuses ou fabuleuses de héros idéalisés, étant alors d’un courage inégalable et accomplissant des exploits remarquables, ils répondaient ainsi au désir d‘identification au personnage du lecteur. A l’opposé de tels modèles, on peut voir évoluer dans un roman un personnage médiocre, à savoir moyen, sans éclat, qui n’a donc rien d’extraordinaire, par ce qu’il est et ce qu’il fait

épiques, tels les Argonautes. Point culminant du récit, la Nékyia constitue le foyer du récit vers lequel convergent les épisodes marqués par le constant danger de mort. Navigation vers les Enfers, au péril de sa vie, mais, pas plus que Gilgamesh12, Ulysse ne descend viennent à lui, selon le rite qu’il tient de Circé. chez les Morts – la Nékyia n’est pas une Catabase13. Ils Courage, fuyons ! 11. 12. 13. cit.. G. Contenau, L’Épopée de Gilgamesh, poème babylonien, cité par G. Germain, in op