Umberto Bossi

Silvio Berlusconi est le premier enfant d'une famille de la petite bourgeoisie milanaise. Son père, Luigi Berlusconi (1908-1989), a travaillé toute sa vie à la Banque Rasini, passant du rang de simple employé à celui de cadre supérieur. Sa mère, Rosa Bossi (1911-2008), était femme au foyer. Il passe son baccalauréat en 1954, dans une section lettres classiques, au lycée catholique Copernic et il s'inscrit en droit à l'Université d'État de Milan. Il enchaîne les petits boulots comme vendeur de produits

italia. 2) Il sentimento xenofobio nella società italiana. Si ritrova si sentimenti di razzismo nella parte politica. Per esempio la coalizza nord nata nel 1991 dall'unione di due movimenti, la Lega lombarda e la Lega veneziana, da Umberto Bossi. Questo partito è populiste e xenofobo. Egli deffend il costume italiano, e fa tutto per respingere al massimo la proliferazione dell'immigrante in italie. Rifiuta il loro adhération al paese. In Italia ogni 25 ore in media viene commesso un atto

reconnu avant 1947 : - La Sicile - La Sardaigne - Le Val d’Aoste - Trentin-Haut-Adige - Frioul-Vénétie-Julienne Elles ont un statut d’autonomie à valeur constitutionnelle. En 2005, Silvio Berlusconi a concocté une réforme avec son allié Umberto Bossi (chef de la ligue du nord parti populiste xénophobe) en faveur de l’autonomie des régions du nord. Le but de cette réforme était de séparer le nord (riche) du sud (pauvre). La réforme accordée des pouvoirs plus étendus aux régions mais aussi au

italiens. Il mise aussi sur sa réussite professionnelle, qu'il estime ne devoir qu'à lui, et mobilise ses trois chaînes de télévision, sa régie publicitaire et son groupe éditorial[18]. Dans le même temps, il parvient à rallier la Ligue du Nord d'Umberto Bossi au sein du Pôle des libertés (circonscriptions du Nord et du Centre de l'Italie), l'Alliance nationale de Gianfranco Fini dans le Pôle du bon gouvernement (circonscriptions du Sud et du Centre) et le Centre chrétien-démocrate. Alors que sa candidature

compte comme formation principale les 189 élus de Forza Italia (En avant l’Italie)¸ parti du Président du Conseil, auxquels s’adjoignent les représentants d’Alleanza Nationale (Alliance nationale, 96 sièges), ceux de la Ligue du Nord (menée par Umberto Bossi, 30 sièges), ainsi que les héritiers de la Démocratie chrétienne (40 sièges) et une dizaine d’indépendants. Les forces d’opposition ont quant à elles formé un bloc des gauches minoritaire, appelé coalition de l’Olivier. V – L’ITALIE ET

Di Pietro et le Parti Communiste Italien. 2) La Maison des Libertés : centre-droite comprenant principalement des partis comme Le Peuple de la liberté(Popollo Della Liberta), présidé par Silvio Berlusconi, leLEGA (Ligue du Nord), présidé par Umberto Bossi et leMouvement pour les Autonomies (MPA), présidé par Raffaele Lombardo. 3. Données économiques (Au niveau de l’Italie) PIB (2011) : 1 580 milliards € Taux de croissance (2011) : +0,4 % Taux de chômage (au sens du BIT) (2011) : 8,4% Taux

Les menaces couvent aussi au sein des démocraties elles-mêmes. Depuis plusieurs années, nous pouvons observer une montée en puissance de discours intolérants, xénophobes et antidémocratiques. De Jean-Marie Le Pen à Jorg Haider, en passant par Umberto Bossi ou Filip Dewinter, les idées d’extrême droite se développent un peu partout, principalement en Europe, et constituent autant de menaces sérieuses c Si elle doit constituer ce vers quoi nous devons tendre, la démocratie n’est jamais achevée. Elle

résultats : Servio Berlusconi l’a compris, il vient de perdre la majorité absolue au parlement. Certes, le budget est adopté mais huit voix ont manquées dans les rangs de sa coalition. Jusqu’au dernier moment, le cavaliere a cherché à amadouer Umberto Bossi, son allié de la ligue du nord, mais à la sortie, Berlusconi est lâché, en une phrase : « Je lui ai demandé de faire un pas de côté ». Sans majorité, Silvio Berlusconi se retrouve à un pas de la chute. L’opposition réclame sa démission. « C’est

par la classe politique, elle n’a été votée qu’à deux voix près au Parlement, or un tiers seulement des Italiens se sont déplacés pour le référendum qui l’a entérinée ! Cinq ans après, le même scénario semblait devoir se répéter : le gouvernement Bossi-Berlusconi a en effet lancé une autre réforme constitutionnelle, qui, après des polémiques très vives – Romano Prodi, alors chef de l’opposition, a été jusqu’à la définir comme « une tragédie pour le pays »1- a été adoptée par le Parlement mais a du

enfin considéré par les industriels du Nord, plus riche, plus alphabétisé, et on peut légitimement se demander si l’Italie n’a pas été plus unie sous le fascisme qu’aujourd’hui notamment quand on voit les discours de la Lega Nord et de son leader Umberto Bossi. Tout cela restant bien à l’état de supposition. Car les italiens n’ont pas vus et il est nécessaire de le souligner en conclusion, la face violente du régime, les violence squadristi étaient bien désuète quand on voit la campagne d’Ethiopie,