Un Coeur Simple Personnages

là-bas ! Avez-vous saisi la nuance ? Marque d’oralité Une assonance Figure de style Répétition d’un son voyelle Ex : Les sanglots longs /Des violons de l’automne/Blessent mon cœur/D’une langueur monotone Effet d’écho sonore, effet poétique Une autobiographie Genre littéraire Quand narrateur= auteur=personnage Ex : Le Journal d’Anne Frank Un attribut du sujet /du COD Fonction L’attribut du sujet apporte une qualité du sujet par l’intermédiaire d’un verbe d’état : être, paraître, sembler

la morte, la disparition d’un des amants, etc.). Presque toujours un nom propre sert de titre. Tous ces noms suggèrent des aventures et des destins particuliers. La plupart des lais sont des œuvres courtes qui ne dépassent cinq cents vers. Des personnages sont peu nombreux, d’ordinaire un couple de héros qui s’aiment et en face un adversaire, généralement un mari, parfois une personne morale comme la société. On entre tout de suite dans le vif du sujet. La progression est linéaire. L'amour, le

Le Petit Prince On présenta les 3 personnages principaux-le narrateur, le petit prince, et le renard- dans l`histoire. En utilisant les personnages simples qui représentèrent quelque chose d’autre, chaque personnage enseigna une leçon philosophique de la vie. Premièrement, le narrateur représenta un adulte qui ne sut pas le but de sa vie. Dans le passé, il fut découragé par les grandes personnes et alors, perdit la créativité. Il suivit les lois typiques que les adultes établirent, sans reconnaissant

avant la fin du papier afin de vous relire et de vous corriger si besoin est. ü Les examinateurs/ correcteurs attendent de VOUS que VOUS maitrisiez votre texte. Maitriser veut dire : connaitre les petits détails, les noms et la description des personnages, les lieux, les thèmes abordés, l’époque entre autre. N’oubliez jamais que la quantité ne compte pas toujours. Le correcteur s’attend à retrouver les bons éléments de réponses bien développés dans une copie de qualité. ATTENTION cependant aux

Acte IV, scène 1 • Thésée : duc d’Athènes, se prépare à épouser Hippolyte, reine des Amazones. Présenté dans la scène comme un personnage Candide • Egée: père d’Hermia. Personnage nerveux, homme représentant la loi extérieure. • Oberion: le roi des fées • Lutin : petit démon familier d’esprit malicieux et taquin. • Bottom : personnage truculant haut en couleur bouffon qui semble détenir une forme de vérité. Le mot anglais bottom signifie ‘fond’, celui parfois de la bêtise

met en scène, à travers le roman, une liberté de penser et d’agir qui se caractérise le plus souvent par une dépravation morale, une quête égoïste du plaisir. Des œuvres majeures comme les Liaisons dangereuses de Laclos ou encore Les Égarements du cœur et de l'esprit de Claude-Prosper Jolyot de Crébillon dit Crébillion fils ont introduit de nouveaux codes, une nouvelle façon de penser, d’écrire et de décrire le libertinage. La vie en société est présentée comme un jeu de dupe dont les libertins maîtrisent

entre maîtres et valets. L’on y retrouve les personnages du Barbier de Séville tels que le comte Almaviva, Suzanne, Figaro. C’est sur ce dernier personnage que nous allons nous pencher. Le personnage de Figaro est des plus intéressants et des plus flatteurs. Homme du peuple et enfant trouvé, il laisse apparaître une intelligence rapide, une gaité sans limites et une ruse fine. Il sert également de fil conducteur à la pièce. Loin du simple personnage picaresque que l’on retrouve dans la tradition

notre personnage principal, Ashini, comme le dernier Montagnais qui cherche à sauver son peuple, ses coutumes et entre autres sa langue. D’abord, l’auteur nous présente Ashini vivant selon les traditions amérindiens, dans la forêt, et avec une grande richesse qu’il possédait de sa langue, plus précisément la langue mortagnaise. L’extrait suivant montre bien que ce langage est très riche: << dire d’un cœur à qui il appartient, cœur de bœuf, cœur de renard, cœur d’homme, cœur de hibou

PARTIE 1 : Questions / REECRITURE / DICTEE. Un nouveau, Augustin Meaulnes, accompagné de sa mère, arrive un jour d’automne pour devenir pensionnaire chez la mère du narrateur, François Seurel. Nous étions debout tous les trois, le cœur battant, lorsque la porte des greniers qui donnait sur l’escalier de la cuisine s’ouvrit ; quelqu’un descendit les marches, traversa la cuisine, et se présenta dans l’entrée obscure de la salle à manger. «  C’est toi, Augustin ? » dit la dame. C’était un grand

3.    Discutez les consequences que peuvent avoir ces deux manières d’aimer. Guy de Maupassant: Fort comme la mort, 1889 (extrait) Non, vous aimez en moi, comme vous le disiez fort bien avant dîner, une femme qui satisfait les besoins de votre cœur, une femme qui ne vous a jamais fait une peine et qui a mis un peu de bonheur dans votre vie. Cela, je le sais, je le sens. Oui, j'ai la conscience, j'ai la joie ardente de vous avoir été bonne, utile et secourable. Vous avez aimé, vous aimez encore