Un crime d'amour

marquis de la Mole : il fait de la politique, il prend julien à sa charge est en fais son secrétaire. il va monter un complot et ce servir de julien pour le réaliser. * Mathilde de la Mole : orgueilleuse et fière de son rang elle aime les romans d’amour (elle est romanesque). Julien est au pied de Mathilde elle est possessive et dominatrice, elle en tombe amoureuse et elle provoque son père avec cette amour. * L’Abbé Pirard : dirige le séminaire de Besançon où y rentre julien (école qui forme

larmes de bois » le « je » fait son apparition, elle commence à assimiler que Daniel est malade. Le diagnostic est posé, il souffre de la maladie d’Alzheimer mais dans une forme aggravée, la maladie à corps de Lévy. Désorientée, elle songe au crime d’amour, « j’ai décidé de le tuer » page 45. Cependant elle tente d’apprivoiser ou tout du moins d’accepter la maladie. Cécile Huguenin va se questionner sur l’histoire de vie de son mari pour peut être trouver une réponse logique à son état, dans son

à l’embellissement du monde et des relations humaines. Joueur disqualifié mais spectateur perspicace de cette partie de faux-semblants qu’est la vie moderne, le narrateur décrit la lutte quotidienne de ses congénères, toujours en quête d’un peu d’amour, de plaisir, d’argent. Cette lutte, étendue à tous les aspects de la vie humaine sous l’influence du modèle libéral, transforme le moindre de nos gestes en un combat épique, au terme duquel notre position dans la société humaine est corrigée, à la

C’est un texte de circonstances qui se réfère aux 165 bombardements de la ville de Brest entre le 19 juin 1940 et le 18 septembre 1944. La destruction complète de la ville inspire une réflexion pessimiste sur l’amour et la vie. I/ un poème d’amour Souvenir > anaphore " rappelle-toi Barbara " Souvenir lointain > Effet d'écho " Barbara " " Rappelle-toi " " Brest " Poète rend hommage à la mémoire d'une femme > Donne son nom au poème Aperçu une fois une femme avec son amant > fait une fixation

songer. La répétition de l'adverbe interrogatif "pourquoi, pourquoi", met en évidence son imcompréhension, son regret de s'être comportée ainsi. Cela va même plus loin dans la phrase suivante, elle se repentait comme d'un crime de sa vertu passé. La comparaison "comme un crime" montre bien l'évolution de pensées d'Emma, sa ferme décision, le regret du passé, sa colère. c. La colère d’Emma Cette colère ne fait que grandir. Elle s'extériorise tout d'abort dans le 1er discours direct d'Emma:

L’histoire, par exemple, de la version de Béroul ne commence pas de la même façon que la version de René Louis ou la version de Bédier. (La version de Béroul, par exemple, commence in media res.) Je propose d’analyser méticuleusement les types d’amours qui existent dans ces versions, et surtout, faire une petite comparaison pour voir les différences entre eux. D’autre part, on doit remarquer le sujet de la mort présent dans toute l’histoire de Tristan et Iseult. On doit souligner quelques appréciations

insupportable qui se traduit par des plaintes, des râles (acte IV, scène 5). par l’épouvante : sa passion est pour elle un sujet d’anxiété, elle ne s’y livre qu’avec réticence comprenant confusément que c’est une force de destruction : J’ai conçu pour mon crime une juste terreur J’ai pris la vie en haine, et ma flamme en horreur. par le mal de la persécution : pour se protéger, elle fait exiler Hippolyte et se comporte à son égard comme "une injuste marâtre". par la solitude : au début de la pièce, elle

Après la mort de sa mère, Meursault continue à mener son existence banale. Il se rend ainsi à son travail comme il l’a toujours fait, décide également d’aller à l’établissement des bains et y rencontre Marie, une ancienne connaissance. Une histoire d’amour semble commencer. Ce deuxième moment est également très important. Cette rencontre se fait par hasard mais elle va aboutir à une histoire plus officielle puisque Marie va le demander en mariage, ce qui est pourtant complètement absurde à cette époque

insupportable qui se traduit par des plaintes, des râles (Acte IV, scène 5).• par l'épouvante : sa passion est pour elle un sujet d'anxiété, elle ne s'y livre qu'avec réticence comprenant confusément que c'est une force de destruction :« J’ai conçu pour mon crime une juste terreurJ’ai pris la vie en haine, et ma flamme en horreur. »• par le mal de la persécution : pour se protéger, elle fait exiler Hippolyte et se comporte à son égard comme "une injuste marâtre".• par la solitude : au début de la pièce, elle

souvenir d'un tendre et affectueux mari, et les sentiments qu'Andromaque éprouve toujours pour lui font partie d'un récit du tableau d'adieu émouvant dans cette scène. Si Hector s'appuie autant sur sa femme, même si il s'agit là d'une preuve d'amour inconditionnel, est-ce une bonne chose pour Andromaque ? Nous verrons ici que cet amour du roi pour sa femme demande une grande loyauté de la part d'Andromaque et qu'il peut même arriver à influencer son jugement. A la mort d'Hector, Andromaque