Un ennemi du peuple

pas ces ordres et n’applique pas ces lois est vue comme un ennemi, et doit être exterminé par toutes formes de violences. Seul différence qu’on trouve entre la définition de l’ennemi selon C. Schmitt et la définition que nuance H. Arendt est que l’ennemi du totalitarisme est tous ceux qui se présentent à l’opposition de sa démarche. Qu’ils soient un étranger ou même membre de la société, tous ceux qui présentent obstacle sont des ennemis de la politique totalitaire. Le système totalitaire tire

pouvoir du roi ne vient pas de Dieu mais de l'acceptation du peuple. = « on a trompé ce grand roi sur son pouvoir » - « il perd déjà 5000 à 6000 sujets très utiles, mais il s'en fait des ennemis, et le roi guillaume a composé plusieurs régiments de ces mêmes français qui auraient combattu pour leur monarques» (l.39) « on a trompé ce grand roi sur ses intérêts » (ligne 51): les Français qui quittent le pays grossissent les rangs des ennemis de la France. Dénonciation d'une politique absurde, qui ne

leurs entrailles. Et la balance fut renversée. La paix fut détruite et le règne humain commença. Ils s'en prirent d'abord aux tribus magiques, qu'ils traquèrent et massacrèrent sans relâche pendant près d'un demi siècle, et ce sous prétexte que ces peuples leurs volaient des terres et les dépossédaient de leurs biens. Après les avoir presque tous exterminés, ce fut le temps du sang des dragons. Les hommes, jaloux de leurs pouvoirs immenses, cherchèrent en vain un moyen efficace pour anéantir les seigneurs

clos autophage dans une entité politique, le génocide connaît une plus grande proximité avec la guerre civile : la désignation d’ennemis intérieurs, la barrière du corps qui tombe, la « brutalisation » des sociétés favorisent la discrimination d’un ennemi qu’il faut rendre visible pour mieux le faire disparaître. La « bascule » dans le génocide révèle les mécanismes fantasmatiques du politique qui concrétisent l’éventualité destructrice de l’État. Aussi faut-il se demander si le génocide appartient

Députes aux arrêts d’après une rumeur. Le peuple agité par cette rumeur et par l’appel de Camille Desmoulins, le peuple a décidé de prendre les armes mais il manquer de la poudre. Alors ils se rendirent à la bastille où il y avait une réserve de poudre. Bernard René Jourdan le gouverneur de la forteresse refusa de remettre les armes et la poudre que les assaillants sont venus cherche et donna l’ordre de tirer sur le peuple. Enfin le peuple pris la Bastille malgré le nombre de morts

7ème siècle avant Jésus-Christ, des peuples venus du centre de l'Europe franchissent le Rhin et s'installent sur une partie du territoire de ce qui est aujourd'hui la France.On les appellent : les CeltesLes Celtes vont peu à peu occuper tout notre pays.Ce pays sera alors appelé la Gaule et ses habitants, les Gaulois. Les Gaulois sont des guerriers valeureux.Un chef dirige chaque tribu composée de plusieurs familles.Ces tribus se regroupent en différents peuples qui se font souvent la guerre. Les

les Tainos parce qu'ils étaient des indigènes anthropophages. Il y eut à cette époque plusieurs contestataires de cette pratique, le Pape Paul III dans ses bulles pontificales condamnent l'esclavage des peuples indigènes et « toute mise en doute de la pleine humanité de ceux-ci » et « tout peuple qui pourrait être découvert dans l'avenir ». Il y eut ensuite la Controverse de Valladolid de 1550 à 1551 qui opposait le dominicain Bartholomé de las Casas et le théologien Juan Ginés de Sepulvéda. Les

fais connaître à tous les peuples ton amour et la douceur du Saint-Esprit, pour que les hommes oublient la douleur de la terre, qu’ils abandonnent tout mal et s’attachent à toi avec amour, et qu’ils puissent vivre en paix, accomplissant pour ta Gloire ta sainte volonté. Ô Seigneur, daigne nous accorder les dons du Saint-Esprit, afin que nous connaissions ta Gloire et que nous vivions sur terre dans la paix et dans l’amour, afin qu’il n’y ait ni haine, ni guerre, ni ennemis, mais que seul règne l’amour

détruisant, que sa soit en utilisant la violence ou politique, l’ennemi faire la paix, à s’imposer.2) La guerre réelle quand a elle est un moyen moins violent d’obtenir une certain forme de paix. En effet, celle-ci vise a récupérer des territoires ennemies pour le contraindre à faire la paix et obtenir ce que l’on veut. 3) (ligne 1-3) Il commence son chapitre en instaurant l’idée principal de son livre : la politique est la cause de chaque guerre.

centaines d’hommes, d’autres des dizaines seulement. Mais aucune de ces guerres n’est comparable aux croisades, véritables exploits de l’Église chrétienne. L’Église a réussit, durant près de 180 ans, à réunir un grand nombre de royaumes, jusque-là ennemis, contre un opposant commun, les Sarrasins. Ces expéditions guerrières, au nombre de dix, ont opposé plusieurs groupes. Tous ces conflits avaient leurs motivations, le plus souvent religieuses, sauf quelques exceptions. Toutes les croisades ont une