Un ennemi du peuple

du totalitarisme est le chef charismatique et le culte dont il est l’objet. Issu du peuple, il est censé exprimer ses aspirations profondes.   Pour l’URSS, c’est le « camarade Staline ». En union soviétique, les portraits et les statues de Staline se multiplient sur les places et dans les édifices publics. La propagande impose l’image d’un dirigeant juste et bon. On l’appelle même le « petit père des peuples ». En Italie, Mussolini fait l’objet d’une véritable idolâtrie de la part de la majorité

type a impliqué l’apparition de nouvelles formes de violences ainsi qu’une généralisation d’une violence de masse inédite. Dans un premier temps, ces violences se sont démarquées au niveau militaire. Les prisonniers de guerre étaient jugés par leurs ennemis sans moyens de se défendre, ainsi ils ont été massivement tués en URSS par exemple. Toujours chez les soviétiques, dès qu’une personne était soupçonnée d’être opposante au régime en place elle connaissait le même sort que les prisonniers de guerre

gouverner son peuple. Le roi n’est pas dieu il n’est que le représentant. Le roi est distingué du pape, mais le pape a était investi d’un pouvoir spirituel. ET dieu lui a donné un pouvoir temporel, le gouvernement de son peuple. Ca implique qu’il existe une limite morale (pas institutionnelle) dans l’exercice de son pouvoir. Il doit gouverner en respectant la loi de dieu, par exemple il s’engage conformément a la loi de dieu de maintenir la paix dans le royaume et gouverner le peuple avec miséricorde

idée, ou un point de vue, influencer les peuples, et modifier leurs avis, leurs actions, et leurs espérances dans un cadre précis. * On a nommé « Bourrage de crane », le fait de rapporter des nouvelles, et de faire des propagandes, positives, mais mensongères du front, afin de maintenir le moral a l’arrière. * La propagande est considérée comme une arme de guerre, puisqu’elle permet la deshumanisation de l’ennemi, et la manipulation des peuples en leur suscitant la haine contre certains

au-delà des canaries…’’‘’…en rapporter au royaume beaucoup de marchandises bon marché…’’‘’… savoir jusqu’où allait la puissance des infidèles…’’et’’…savoir, si en ces régions, il y aurait quelques princes chrétiens[…]pour qu’ils aidassent contre les ennemis de la foi.’’‘’… augmenter la sainte foi de notre Seigneur Jésus-Christ…’’L’Europe et la Méditerranée sont parcourues par les Européens depuis l’Antiquité, mais le reste du monde est toujours méconnu des européens.Recherche d’une nouvelle route vers

à son armée d'éliminer tous types de personnes ennemis même en empruntant une voie illégale («Les actes accomplis par des membres de la Wermacht […] échappent à l'obligation de poursuites même lorsque l'action constitue un crime ou un délit militaire.»). Ensuite dans le second texte l'ennemi est considéré comme une bête sauvage et il est déshumanisé («on ne doit pas s'attendre à ce que l'ennemi applique les lois de l'humanité ou le droit des peuples») et même à deux reprises puisqu'Hitler se justifie

édité par l'Etat, est autorisé. Deuxièmement, des ennemis sont désignés par l'État qui utilise la propagande; il s'agit des animaux domestiques de couleur blanche ou noire qui sont exterminés. En revanche les animaux de couleur Brune sont glorifiés et seuls autorisés. Ajoutons que sont arrêtés ceux qui possèdent ou ont possédé des animaux domestiques de couleur noire ou blanche. Enfin, le Régime utilise la terreur pour réprimer tous les ennemis désignés et opposants au régime en place par le biais

s’il lui plaisait, on le d ́ebarrasserait d’Ariminius en l’empoisonnant : c’ ́etait le plus puissant ennemi des Romains et quand ils ́etaient sous le commandement de Varus, il les avait tr`es ignominieusement trait ́es ; lui seul faisait obstacle `a l’expansion de la domination romaine en ces contr ́ees. Tib`ere r ́epondit que le peuple romain avait l’habitude de se venger ouvertement de ses ennemis, les armes `a la main, et non en fraude et en cachette : il laissa l’utile pour l’honnˆete. 3. C’

Eternel,        que mes ennemis sont nombreux ! Quelle multitude se lève contre moi! 2 Combien qui disent à mon sujet : Plus de salut pour lui auprès de Dieu !Pause. 3 Mais toi, ô Eternel ! tu es mon bouclier, Tu es ma gloire, et tu relèves ma tête. 4 De ma voix je crie à l'Eternel, Et il me répond de sa montagne sainte.-Pause. 5 Je me couche, et je m'endors; Je me réveille, car l'Eternel est mon soutien. 6 Je ne crains pas les myriades de peuples Qui m'assiègent de toutes parts. 7 Lève-toi

n’est ni une mère, ni une vierge (comme Louise, Catherine ou encore Marie) elle est donc considérée comme une femme -> une catin.). Elle souligne et incarne parfaitement cette même débauche régnant à Florence. La Marquise finira sous les critiques du peuple de Florence, car ayant tout avoué à son mari, celui-ci la pardonne. -Citation « Qui j’aime le Duc ou Florence ? » = cette citation laisse entendre que son acte d’adultère n’était pas pour sauver la ville de Florence mais bel et bien un péché