Un grain de folie

Le podium justement, celui du ballet était en forme de « T » digne d’un défilé de haute couture. Un point de plus qui lie les deux mondes l’un à l’autre. La chorégraphe à voulu faire de son show un véritable défilé mais en y ajoutant son grain de sel, de folie et d’extravagance qui font du spectacle un défilé hors du commun (démarche, posture…). Ces costumes, de part leur composition, assemblage, couleur, matières et mouvements dans l’espace, proposent de véritables effets de scène: tourbillons

alla crier famine Dit-elle à cette emprunteuse. Chez la Fourmi sa voisine, - Nuit et jour à tout venant La priant de lui prêter Je chantais, ne vous déplaise. Quelque grain pour subsister - Vous chantiez ? j'en suis fort aise. Jusqu'à la saison nouvelle. Eh bien! Dansez maintenant. Explication : Jean Baptiste Oudry (1686-1755) fait au XVIIIe siècle une gravure de la fable :

faut changer, non de climat. La conscience d'avoir bien agi est une récompense en soi. Nécessairement, le hasard a beaucoup de pouvoir sur nous, puisque c'est par hasard que nous vivons. On ne trouve guère un grand esprit qui n'ait un grain de folie. Tirons notre courage de notre désespoir même. La plus grande partie de la vie passe à mal faire, une grande partie à ne rien faire, toute la vie à faire autre chose que ce que l'on devrait. Un soldat utile est celui qui sait obéir à

l'Enfer épouvante. L'homme qui connaît la grandeur d'Allah ne sème pas dans son coeur les mauvaises graines de la terreur et de l'imploration. XXV Au printemps, je vais quelquefois m'asscoir à la lisière d'un champ fleuri. Lorsqu'une belle jeune fille m'apporte une coupe de vin, je ne pense guère à mon salut. Si j'avais cette préoccupation, je vaudrais moins qu'un chien. XXVI Le vaste monde: un grain de poussière dans l'espace. Toute la science des hommes: des mots. Les peuples, les bêtes et les

et Philosophie, Littérature, Sagesse par thème Voici un choix de citations, celles que vous aimez ou les vôtres sont les bienvenues : Vos citations Thèmes abordés sur cette page : Avoir ou Etre... Condition humaine, Absurde, Univers...  Folie, Sagesse... Liberté, Idéal... Philosophie, Pensées... Raison, Science...  Temps, Age, Souvenir, Histoire... Vie, mort, existence... + de thèmes Avoir ou Etre : "La fortune ne devrait être possédée que par les gens d'esprit : autrement, elle

Baudelaire des effets ressentis : « D’abord une certaine hilarité saugrenue et irrésistible s’empare de vous. Les mots les plus vulgaires, les idées les plus simples prennent une physionomie bizarre et nouvelle. Vous riez de votre niaiserie et de votre folie; vos camarades vous rient au nez et vous ne leur en voulez pas (…) La seconde phase s’annonce par une sensation de fraîcheur aux extrémités, une grande faiblesse. Les sens deviennent d’une finesse et d’une acuité extraordinaire. Les yeux percent l’infini

jamais content. Refusant de se soigner, il accusait les filles de lui voler son air lorsqu’il lui en manquait. Sa mère, d’habitude silencieuse, lui dit qu’elle voudrait pouvoir respirer quelques jours après la mort du père. Sa mère sombra dans la folie. Les filles quittèrent souvent la maison, elle était seule avec son père. Elle revint secrètement une nuit à la maison et vit ses sœurs faire la fête. Elle emporta des affaires et se rendit à la tombe de son père, creuse et vida son sac. Elle

grand lys, Flotte très lentement, couchée en ses longs voiles… — On entend dans les bois lointains des hallalis. Voici plus de mille ans que la triste Ophélie Passe, fantôme blanc, sur le long fleuve noir Voici plus de mille ans que sa douce folie Murmure sa romance à la brise du soir. Le vent baise ses seins et déploie en corolle Ses grands voiles bercés mollement par les eaux ; Les saules frissonnants pleurent sur son épaule, Sur son grand front rêveur s’inclinent les roseaux. Les

l’oreille comme des souffles légers ; c’étaient de petits chants gracieux, menus, sautillants, qui voletaient ainsi que des oiseaux ; et soudain, cette coquette musique s’élargissait de nouveau, redevenant effrayante de force et d’ampleur, comme si un grain de sable se métamorphosait en un monde. Puis des voix humaines s’élevèrent, passèrent au dessus de têtes inclinées. Vauri et Landeck, de l’opéra, chantaient. L’encens répandait une odeur fine de bonjoi, et sur l’autel le sacrifice divin s’accomplissait

terreur instauré par les dervis: « (…) il y a de certains dervis qui n’entendent point raillerie, et qui font brûler un homme comme de la paille. Quand on tombe entre les mains de ces gens-là, heureux celui qui a toujours prié Dieu avec de petits grains de bois à la main, qui a porté sur lui deux morceaux de drap attachés à deux rubans, et qui a été quelquefois dans une province qu’on appelle la Galice ! Sans cela un pauvre diable est bien embarrassé. ». Les hérétiques (autres religions que chrétiennes