Un long chemin vers la liberté

Ensuite pour choisir mes poèmes j'ai absolument tenue à se que le style d'écriture change, à ce que mes poèmes se ressemble le moins possible. J'ai aussi tenue à garder certain de mes poèmes telle qu'il ont était pour pouvoir conserver les rimes, les vers, toutes les petites choses qui rende un poème magnifique. Mais aussi pour avoir certains éléments réelles, d'origine. Grâce à mon parcoure de la poésie lyrique à travers les siècles j'ai pu mieux comprendre la poésie, les jeux de mots, et en fin de

un changement dans l’ordre des valeurs et des représentations, qui avait eu un impact considérable jusqu’en France. Cette acception nietzschéenne de la formule, comme caractéristique fondamentale de notre modernité, est celle qui a couru tout le long du XXème siècle. Mais l’expression, indépendamment de son sens profond, a aussi une histoire : Nietzsche ne l’a pas inventée, comme il est pourtant souvent dit. Selon un article de Eric von der Luft dans le Journal of the History of Ideas l’expression

enfants dix-sept petits-enfants et quatorze arrières petits-enfants -Il s’est impliqué dans plusieurs associations contre la pauvreté et le sida -Il est élue président de la république en 1994 -En 1995, il publie sa biographie : « Un long chemin vers la liberté » -Nelson Mandela s’implique dans des actions pour l’éducation -En 2001 Nelson Mandela a été atteint d’un cancer à la prostate -Lors de ses funérailles le dix décembre 2013, 91 chefs d’états étaient présents.

ce long retroussement d'averses », (v1), évoque un chemin que l'on suivrait. Les détours empruntés (« au détour des rues », (V3)) sont propices à la rêverie. On ne suit pas un parcours clair, direct, mais on ne se perd par pour autant dans le labyrinthe : on se promène en rêvant dans la ville. Il y a une impression de liberté, renforcée par le choix fait par l'auteur d'utiliser des vers libres. La liberté formelle du poète, détaché des contraintes d'une poésie en vers, fait écho à la liberté de la

rejet du christianisme apparaissant comme l’allié du pouvoir politique oppressant, rejet d’un christianisme qui justifie l’inégalité sociales (les pauvres et les riches) (Cfr. Le Pape Léon 13 qui a remit l’enseignement du christianisme sur le bon chemin !) La caricature du Christianisme a souvent entrainé l’athéisme. On rejette la religion parce qu’elle est contraire à la raison, à la science, au sexe, .... L’image du Christianisme était parfois fausse. A partir de quelque mauvaise voie

troublée de ne pas s'être aperçu avant qu'elle dépensait bêtement et cela va s'accentuer tout au long de l'acte II. Cependant, en même temps, Lioubov rappelle la mort de son garçon dans la rivière et le fait qu'elle soit directement partie à l'étranger après, pour ne jamais revoir cette rivière. Puis elle nous apprend qu'elle a reçu un télégramme de Paris et elle déchire ce télégramme. Elle avait fait un pas vers l'avenir mais le rappel de la mort de Gricha la replonge dans la tristesse de son passé. De

XVIe siècle. Le détour est alors l’endroit où un chemin ou une rivière s’éloignent de la ligne directe. Enfin, dès l’origine, le substantif « détour » s’emploie dans un sens figuré. Ainsi au XIIIe siècle, le mot est synonyme dep rétex te, de faux-fuyant. (Source : Dictionnaire historique de la langue française, Le Robert, 1992.) 2. Les sens actuels.  Le sens ancien perdure ; on parle toujours d’un « détour » pour nommer l’endroit où un chemin ou un cours d’eau s’écarte d’un tracé idéal qui serait

venaient tous de leur plein gré Vider les poubelles à Paris Elle croyait qu'on était égaux Lily Au pays de Voltaire et d'Hugo Lily Mais pour Debussy en revanche Il faut deux noires pour une blanche Ça fait un sacré distinguo Elle aimait tant la liberté Lily Elle rêvait de fraternité Lily Un hôtelier rue Secrétan Lui a précisé en arrivant Qu'on ne recevait que des Blancs Elle a déchargé des cageots Lily Elle s'est tapé les sales boulots Lily Elle crie pour vendre des choux-fleurs Dans la

La seule « non liberté » possible celle des sentiments, car je n’ai pas choisi d’en avoir Sous mes pétales d'amitié, les vers, je les construis... Je ne suis pas pétrie de vertu, ni de noble qualité. J’aime! C'est tout! Mais j'aime à la folie... La vie est un long manteau qui traîne pour effacer ses traces... Optimisme J'aime ma vie, Malgré tous mes ennuis, Je suis telle que je suis, Je m'accepte ainsi. J'ai longtemps désespéré, A défaut d'aimer, J'aurai voulu dépérir, Pour

esclave de mon baptême. Parents, vous avez fait mon malheur et vous avez fait le vôtre ». Au cœur de son siècle, Rimbaud s’inspire de la guerre opposant la France à l’Autriche pour écrire certains de ses poèmes, mais surtout de son grand désir de liberté. Vers 1975, à la fin de sa liaison avec Verlaine, il s’engage dans les troupes coloniales. Rimbaud appartient au symbolisme, mouvement né en réaction contre le réalisme et le parnasse. Les symbolistes préfèrent « suggérer sans nommer », s’appuyer