Un Problème Moral Admet Il Une Solution Certaine

méthodologie pour l'explication de texte philosophique Préliminaires : 1. Il s'agit de l'explication de texte philosophique : elle porte donc sur des concepts, idées et raisonnements, et avant tout sur un problème. Une explication ne saurait avoir de caractère philosophique si un problème précis n'a pas été repéré et discuté. En revanche, sont à exclure absolument les explications de type "littéraires" sur le "style", le choix des mots employés, les analyses de type "structuraliste" (champs

  ce   qui   sera.   C’est   pourquoi   la   science   fascine.   La   connaissance   scientifique   n’est   pas   perçue   comme   un   certain   mode   de   savoir   mais   plutôt   comme   un   mode   de   savoir   certain.   Qui   détient   (ou   du   moins   est   le   plus   proche   de)   la   vérité   si   ce   n’est   le   scientifique  ?   Les

. Comparaison avec la loi qui est forte. La loi c’est l’acte que fait le Parlement, c’est le texte souverain. L’article nous dit que le C c’est comme une loi . Cette FO n’est pas surprenante. Pour des raisons morales (respect de la parole donnée) et pour des raisons d’intérêt général (principe économie libérale est que les richesses circulent). II- La bonne foi dans l’exécution du contrat Prévu dans l’ancienne article

les effets en France des jugements étrangers mais aussi l’impact de la division en Etats sur le droit de la nationalité(appartenance politique et juridique d une personne a la population constitutive d un Etat, qui est français ? qui n est pas ? problème des apatrides et des étrangers sur le territoire français. Plan I L objet du DIP II Les pluralites de methodes engendrees par le dip III Les sources I L’objet du DIP _ Il n y a pas de situation de DIP si l’objet du litige est strictement

contrat, mais qui est différent car ce contrat va donner naissance a un groupement, se pose donc la question de savoir si la société est plutôt un contrat ou plutôt une institution. Cette idée d’institution part du constat exact que dans une société certaines règles sont incompatibles avec les règles du contrat. Exemple  : Le principe majoritaire : pour décider l’unanimité n’est pas toujours nécessaire, cela est contraire au droit civil. De plus l’art 1832 parle de «  société instituée » cependant

toute la chrétienté, régissait certaines matières du droit privé (mariage, filiation). ° Les ordonnances royales : a partir du 17e siècle en effet louis XIV fait des ordonnances royales qui vont s’appliquer à l’ensemble du territoire, qui ont les mêmes présentations que les ordonnances modernes. La loi devient une véritable source du droit. Louis XIV est intervenu par voie d’ordonnances qui sont celles de son ministre des finances (Colbert a codifié partiellement certaine matière du droit. Ex : le droit

soit dans le code pénal (pénalité par renvoie admise). Néanmoins une interdiction ou une obligation non assortie d’une peine ne constitue pas une infraction pénale donc c’est la peine qui constitue le critère d’identification de l’infraction. Le problème est que les différentes définitions de la peine ne permettent pas de distinguer la peine d’autres sanctions ; Il y a quatre critères de la peine : critère de la qualification législative mais celui-ci ne fonctionne pas toujours,seulement

du siège + supériorité sur parquet. Le fonctionnement de la justice française dépend beaucoup des moyens. La fonction du juge est délimitée. Ils ne peuvent trancher un conflit qu’en référence à une procédure. Les juges doivent écarter toute morale, toute politique et toute religion. En Cour de cassation, le juge doit toujours trancher en fonction des règles de droit qui sont applicables. Les règles de droit sont les lois (parlement) ajoutées à leur interprétation. ‡ Au delà du cadre strict

- LES TERMES DU SUJET Le texte d'ALAIN ne comporte pas de concepts techniques ni spécifiquement philosophiques. ALAIN réfléchit ici sur l'idée d'opinion publique. Le candidat aura dû chercher à définir cette idée à son tour. II - ANALYSE DU PROBLEME La problématique s'élabore à partir de la notion d'opinion publique. Celle-ci est-elle l'opinion de tous les citoyens? D'une majorité d'entre eux ? Quel est donc le "public" qui serait l'auteur d'une opinion générale ? Il serait utile dans

personnes publiques qui sont caractérisées par une personnalité morale leur conférant des droits et obligations, et le pouvoir de commandement dont l'état est le premier titulaire. Ainsi l’Etat est la première personne publique investie de la souveraineté. Du fait de la décentralisation territoriale, les collectivités locales sont également des personnes publiques sous la tutelle de l’Etat certes, mais investies de la personnalité morale et du pouvoir de prendre des actes unilatéraux dans un objectif