Un Roi Sans Divertissement Malheur

1635 - 1636 Tragi-comédie : • le Cid (1637) Tragédie : • Horace, 1640 • Médée, 1635 • Cinna, 1642 • Polyeucte, 1643 (tragédie chrétienne) Comédie mode espagnol : • le Menteur, 1643 • Don Sanche d'Aragon, 1650 Divertissements de cour : • Andromède, 1650 Tragédie : • la Mort de Pompée, 1643 • Rodogune, 1644 - 1645 • Nicomède, 1651 • Pertharite (1651) • l'Imitation de Jésus-Christ (1651 - 1656) • Examens et trois Discours (1660). Théâtre

trahisons, abuse de ses malheurs; devant cette politique anglaise. Devant cet accroissement énorme, cette prétention insolente, cette inimitié implacable, qu'alarment encore l'impuissance et les désastres de la France, la France se devait, avant tout, d'oublier toutes choses pour se défendre contre tant de menaces. Il lui fallait abandonner la politique de l'ancienne France, cette longue poursuite de l'Autriche allemande et de l'Autriche espagnole, contre lesquelles le grand roi avait poussé, toute sa

retrouve dans les salons philosophiques parisiens.  Ils sont des libres penseurs, se préoccupent des autres et du bien pour la société. Ils critiquent l’obscurantisme (empêcher la diffusion du savoir et le fanatisme (le pouvoir unique; Dieu ou le roi) L’encyclopédie (1751-1772)  Directeurs: Diderot et d’Alembert  Première encyclopédie française qui contient tous les savoirs de l’époque.  Elle est le symbole de l’ œuvre des Lumières.  Une arme politique  4000 exemplaires et

vide car changeant et inconstant. • L’homme s’attache à la vanité, c’est-à-dire à de faux biens, à des biens illusoires. Par exemple la quête des grandeurs et de la gloire (cf conceptions de la société), ou encore les plaisirs frivoles du divertissement : croisement entre les liasses : fragments 33, 36, (celui d’Astrid) 66. (liasse misère) Fragment 49 : adoration des animaux. : quelle étape de la religion chrétienne ? Rhétorique persuasion : phrase nominale, répétition « jusqu’ », avec insistance

des courses de bagues, ou de semblables divertissements; les couleurs et les chiffres de madame de Valentinois paraissaient partout, et elle paraissait elle-même avec tous les ajustements que pouvait avoir mademoiselle de La Marck, sa petitefille, qui était alors à marier. La présence de la reine autorisait la sienne. Cette princesse était belle, quoiqu'elle eût passé la première jeunesse; elle aimait la grandeur, la magnificence et les plaisirs. Le roi l'avait épousée lorsqu'il était encore

n'est plus uniquement considéré comme étant un divertissement à part entière, mais aussi un art. En effet, en 1630, le théâtre est reconnu comme un art officiel par Richelieu. Il n'est donc plus principalement destiné à n'importe quel citoyen quelque soit sa classe sociale. Les pièces traites de sujets plus vastes et touchent plus émotionellement les nobles car les personnages sont plus raffinés. Beaucoup de pièces sont destinées et écrites pour le Roi. De plus, elles ne sont pas joués en plein air

Versailles vue par Ezéchiel SPANHEIM (1689) Plan de l’exposée I) La journée ritualisée A) le lever B) une journée type du roi II) La Cour A) le rôle du courtisant b) une cour soumise au roi III) un roi dominant a) la nécessité d’être vue par tous b) l’affirmation de son pouvoir Introduction de l’exposée : « A lui seul, il surpasse la plupart » est la devise roi soleil, c’est une phrase qu’il aurait dit en parlant des courtisans et des gens du peuple lorsqu’il fit construire Versailles

des courses de bagues, ou de semblables divertissements ; les couleurs et les chiffres de madame de Valentinois paraissaient partout, et elle paraissait elle-même avec tous les ajustements que pouvait avoir mademoiselle de La Marck, sa petite-fille, qui était alors à marier. La présence de la reine autorisait la sienne. Cette princesse était belle, quoiqu'elle eût passé la première jeunesse ; elle aimait la grandeur, la magnificence et les plaisirs. Le roi l'avait épousée lorsqu'il était encore

 » D’après la Boétie : Certes il n’est pas bon d’avoir plusieurs maîtres en cela même du fait que d’avoir un seul maître est déjà une chose révoltante. C’est un grand malheur d’être assujettit car l’on dépend du bon vouloir d’une personne. Maintenant multiplier le nombre de personne auxquelles vous êtes assujettis et votre malheur s’en retrouvera également multiplié. Comment une population peut-elle accepté de se soumettre à un Tyran qui n’a que de puissance (légitimité) celle que lui donne le peuple 

l’effet de mise en abyme qu’il crée, et donc le jeu de miroir possible. Enfin, il révèle aussi pour une part la « philosophie » à l’œuvre dans la pièce. I – Les fonctions du roman dans la pièce 1.1 ) Le roman comme rituel, divertissement Le récit de Hamm appartient aux rituels de la pièce. La réplique, p.65, « C’est l’heure de mon histoire », indique que chaque jour, vraisemblablement, Hamm avance son histoire (ou la raconte inlassablement > cf. étude de l’infinie répétition