Une charogne

fait ressortir la dangerosité de la femme. Bien que pour Baudelaire, la femme représente l’idéal de la beauté ; il ne fait pas son éloge tout au long du recueil ; on peut observer certains poèmes ou il la dénigre presque, notamment dans : « une charogne » ou en passant devant la carcasse d’un animal avec son amante, il dit à celle-ci qu’elle finira également ainsi, sous terre et pourrie. Cela nous montre que Baudelaire garde tout de même les pieds sur terres face à cette beauté qu’il vénère, il

Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère ») et même entre les artistes à travers les âges (Les Phares3). Outre des poèmes graves (Semper Eadem) ou scandaleux (Delphine et Hippolyte), il a exprimé la mélancolie (Mœsta et errabunda), l'horreur (Une charogne) et l'envie d'ailleurs (L'Invitation au voyage) à travers l'exotisme.

celle de l’homme n’ont pas droit de cité en poésie. Avec les romantiques, puis plus nettement encore avec Baudelaire, c’est une révolution que d’introduire en poésie des sujets et des mots que l’on considère à leur époque comme antipoétiques (« une charogne » chez Baudelaire, en étant le meilleur exemple, la vision détaillée d’un cadavre rappelant la vanité des choses humaines). B. Une morale de l’écriture Cette révolution n’est pas une simple provocation, elle ne procède pas seulement

(« Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère ») et même entre les artistes à travers les âges (Les Phares). Outre des poèmes graves (Semper Eadem) ou scandaleux (Delphine et Hippolyte), il a exprimé la mélancolie (Mœsta et errabunda), l'horreur (Une charogne) et l'envie d'ailleurs (L'Invitation au voyage) à travers l'exotisme.

qu’au vers 15, les amants disparaissent. L’évocation de la femme donne une figure fantastique du vampire, avec une transformation importante : ici, le vampire ne vit pas du sang de ses victimes, mais il pourrit sur place (vers 20). Comme dans Une Charogne, le sang, dénué de connotations positives, transforme la vie en mort et la séduction en infection. La métamorphose de la femme est dramatisée par l’enjambement (vers 19-20) : l’accent est mis sur le ventre, sur le sexe, en opposition radicale à

Phares[2]). En parallèle de poèmes graves (Semper Eadem) ou scandaleux pour l'époque (Delphine et Hippolyte), il a exprimé la mélancolie (Mœsta et errabunda) et l'envie d'ailleurs (L'Invitation au voyage). Il a aussi extrait la beauté de l'horreur (Une charogne). Rejetant le réalisme et le positivisme dont il est contemporain, Baudelaire sublime la sensibilité et cherche à atteindre la vérité essentielle, la vérité humaine de l'univers, ce qui le rapproche en termes philosophiques du platonisme. Il écrit

désespoir et de la mort. « Or cette proie échue, à ces démons des nuits/ n’était autre que ma vie en laque, aux ennuis » (v.9-10) Nous montre le désespoir qui habite l’auteur. Les vers, « Déchirant à larges coups de bec, sans quartier, / mon âme, une charogne éparse au champ des jours / que ces vieux corbeaux dévoreront en entier »(v.12-14) immanent bien la mort.

Phares). En parallèle de poèmes graves (Semper Eadem) ou scandaleux pour l'époque (Delphine et Hippolyte), il a exprimé la mélancolie (Mœsta et errabunda) et l'envie d'ailleurs (L'Invitation au voyage). Il a aussi extrait la beauté de l'horreur (Une charogne) .

facilité la tache "Et moi j'en ai fait de l'or", l'or représente l'œuvre de Baudelaire. La citation signifie que Baudelaire a toujours pris le meilleur même la ou il n'est pas toujours évident à voir (par exemple: dans la mort avec le poème "une charogne"), et grâce à cela il en fait son œuvre , œuvre qu'il qualifiera comme une de ses meilleure œuvre. Ce titre est formée sur une antithèse car les fleurs sont une métaphore de la beauté, donc en opposition avec le mal. De plus on peut remarqué

Lectures cursives Des rayons et des ombres, La fonction de poète, Hugo. Groupement de textes s’articulant autour du thème de la mort en poésie : *Derniers vers, Ronsard, « Je n’ai plus que les os » * La ballade des pendus, Villon * Une charogne, Les fleurs du Mal, Baudelaire * Ophélie, Poésies, Rimbaud (extrait) Histoire des arts : Etude du triptyque de Jérôme Bosch « Le jugement dernier » et plus particulièrement le panneau central. La fuite du temps en poésie du XVI°s au XX°s Problématique