Une charogne

Phares[2]). En parallèle de poèmes graves (Semper Eadem) ou scandaleux pour l'époque (Delphine et Hippolyte), il a exprimé la mélancolie (Mœsta et errabunda) et l'envie d'ailleurs (L'Invitation au voyage). Il a aussi extrait la beauté de l'horreur (Une charogne). Sommaire [masquer] 1 Éléments biographiques 2 Regards sur l'œuvre 2.1 Horreur et extase 2.2 Art poétique 2.3 Jeanne Duval 2.3.1 Poèmes lui rendant hommage 3 Principaux ouvrages 4 Éditions de référence 5 Voir aussi 5.1 Bibliographie

travers les âges (Les Phares3). Outre les poèmes graves (Semper Eadem) ou scandaleux (Delphine et Hippolyte), il a exprimé la mélancolie (Mœsta et errabunda) et l'envie d'ailleurs (L'Invitation au voyage). Il a aussi extrait la beauté de l'horreur (Une charogne).

(« Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère ») et même entre les artistes à travers les âges (Les Phares3). Outre des poèmes graves (Semper Eadem) ou scandaleux (Delphine et Hippolyte), il a exprimé la mélancolie (Mœsta et errabunda), l'horreur (Une charogne) et l'envie d'ailleurs (L'Invitation au voyage) à travers l'exotisme. Premièrement, analysons la structure et l’organisation utilisée par Baudelaire pour mettre en place cette analogie entre l’Albatros et le poète. En effet, ce poème est composé

« Aube » de Rimbaud est une description du matin où intervient le langage des fleurs et des animaux. Dans son imaginaire, il court après le jour pour l’attraper. L’art de l’écriture permet de transformer le laid en beau. Dans « Une Charogne », Baudelaire compare la femme qui l’accompagne à une carcasse en décomposition, objet tout à fait répugnant. Mais au fur et à mesure de son écriture, il fait transparaître des éléments esthétiques du tableau qu’il observe et finalement utilise des

les âges (Les Phares[3]). Outre les poèmes graves (Semper Eadem) ou scandaleux (Delphine et Hippolyte), il a exprimé la mélancolie (Mœsta et errabunda) et l'envie d'ailleurs (L'Invitation au voyage). Il a aussi extrait la beauté de l'horreur (Une charogne). Un an plus tard, sa mère, Caroline Archimbaut-Dufays (1793-1871) se remarie avec le chef de bataillon Jacques Aupick. Le futur poète ne pardonnera jamais à sa mère ce remariage, et l'officier Aupick, devenu plus tard ambassadeur, incarne à ses

Phares). En parallèle de poèmes graves (Semper Eadem) ou scandaleux pour l'époque (Delphine et Hippolyte), il a exprimé la mélancolie (Mœsta et errabunda) et l'envie d'ailleurs (L'Invitation au voyage). Il a aussi extrait la beauté de l'horreur (Une charogne) . Sa mère, Caroline Archenbaut-Defayis (Dufaÿs ou Dufays, par corruption) a 27 ans. Son père, Joseph-François Baudelaire, né en 1759 à La Neuville-au-Pont[2], en Champagne, est alors sexagénaire. En 1827, son père meurt lorsque Charles a six

peut-être tente de nous révéler une part du mystère de ce monde. La poésie permet aussi de réunir des réalités en apparence totalement différente et de transformer le beau en laid. Dans "Une Charogne", le poète rapproche la femme aimée de la pourriture pour réfléchir à la mort et à l'éternité. En même temps cette charogne devient une objet hautement poétique, vivant, musical et chatoyant. De même, Henri Michaux dans la "Paresse" renouvelle l'image du paresseux pour en faire un être doté d'une âme rêveuse

poétiques comme l’amour, la mort, la solitude, l’angoisse existentielle, la nature ou la rêverie. En effet la poésie a su faire entrer la modernité dans le champ poétique y compris dans ses aspects les plus surprenants ou les plus prosaïques (« Une charogne » chez Baudelaire, la ville industrielle chez Verhaeren et le quotidien trivial chez Verlaine dans ces vers de Cythère, dans Les fêtes galantes, « l’Amour comblant tout, hormis / La faim, sorbets et confitures / Nous préservent des courbatures »…)

et son lecteur (« Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère ») et même entre les artistes à travers les âges (Les Phares). Outre des poèmes graves (Semper Eadem) ou scandaleux (Delphine et Hippolyte), il a exprimé la mélancolie, l'horreur (Une charogne) et l'envie d'ailleurs (L'Invitation au voyage) à travers l'exotisme GENRE Poesie realiste THEME L’homme et ses aspirations CONTEXTE Historique Contexte littéraire Realisme et parnasse REGISTRE lyrique RESUME Le poete raconte les mauvais traitements

manière d'immortaliser son amante. Selon lui certainement, seule l'écriture poétique permet de garder le souvenir et perpétuer l'image de sa bien-aimée. En conséquence, nous pouvons rapprocher cette oeuvre de celle de Charles Baudelaire: le poème Une Charogne reflète le désespoir de l'auteur face à la mort, qui emportera un jour son amour: "Alors, ô ma beauté ! dites à la vermine qui vous mangera de baisers, que j'ai gardé la forme et l'essence divine de mes amours décomposés !"