Une femme de ménage

TD 6 : Les effets du mariage NOTE : 17/20 Pendant longtemps le code civil n’avait prévu aucune disposition relative aux dépenses des ménages. La jurisprudence quant elle a protégé les tiers contractants avec par la technique dite du mandat tacite, c'est à dire que la femme était censée avoir reçue mandat de son mari pour faire les actes de la vie courante. Mais cette pratique qui engageait seulement le mari a vite trouvé ses limites avec l’évolution de la place des femmes dans la société. Ainsi

commence la création de plusieurs publicités comme celle-ci. A cette époque, la femme française ne semble avoir qu'un seul rôle, celui de femme au foyer. Elle exécute toutes sortes de tâches ménagères à longueur de journée. La femme au foyer des années 1950 n'est pas seulement un fait social, la ménagère est présente dans la publicité, qui met en évidence les différents aspects de la femme. Le stéréotype de la femme ménagère y est alors omniprésent. Mais comment les publicitaires font de leurs produits

le produit » : La femme est secondaire et « fait partie du décor », il y une totale inadéquation entre le produit vendu et la présence féminine, le plus souvent représentée de façon sexy. Dans la publicité il existe plusieurs stéréotypes sur la femme. • La femme au foyer :  La femme des années 40-50 est ménagère. Elle doit garder la maison, cuisiner, prendre soin de la famille, et rester à disposition du pacha : le mari. Les publicités de produits d'entretien ménager s'adressent uniquement

contractée uniquement dans l’intérêt du ménage et que la Caisse n’a pas établi que l’argent prélevé a une contrepartie.  Problème juridique : Existe-t-il une présomption selon laquelle une cotisation de retraite est nécessairement contractée dans l’intérêt du ménage ?  Motif : Selon l’article 220 du Code Civil fait peser une obligation de solidarité sur les époux et que celle-ci s’applique à toute dette, même non contractuelle ayant pour objet l’entretient du ménage, et que comme l’assurance vieillesse

temps complet, la répartition des tâches est loin d’être égalitaire. Dans les couples de salariés, la part des tâches domestiques accomplies par les hommes est toutefois sensible à l’écart entre leur salaire et celui de leur conjointe. Lorsque la femme gagne plus, son conjoint en fait un peu plus. Cela ne suffit pas à combler l’écart de temps passé par les conjoints aux tâches domestiques. n Fr a n c e , s e lon l’ e nquête emploi du temps de 1998-99 (encadré 1), les femmes en couple consacrent

précisé précédemment, les ménages français sont très différent les uns de autres. En effet, en 2010, sur 27 785,9 ménages français : - 14.2% de ménages composé uniquement d’un seul homme soit 3 942.3 ménages. - 19.6% de ménages composé uniquement d’une seule femme soit 5 457.2 ménages. - 25.9% de ménages composé uniquement d’un couple sans enfant soit 7 189.5 ménages. - 26.8% de ménages composé uniquement d’un couple avec enfant(s) soit 7 453.1 ménages. - 8.3% de ménages composé uniquement d’une

tâches domestiques A/ De manière générale Le caractère inégalitaire de la répartition des tâches domestiques au sein d'un couple perdure depuis le début de l'histoire. Depuis toujours, on constate une répartition inégale entre l'homme et la femme, cette inégalité résulte notamment de la division sexuelle des activités. Lors de la révolution française, l'ordre de la société se sépare de celui de la famille, le premier relevant du « public » et le second du « privée ». La société se sépare ainsi

soin du ménage, à l'éducation des enfants et au bonheur de leur mari. La femme se trouvait dans une situation d'infériorité par rapport à l’homme. Mais depuis le début du 20e siècle, beaucoup de femmes s'opposent à cette image, Les avis sur cette nouvelle image de la femme sont divisés. Une grande partie de la population, y compris des femmes, ne voient que des désavantages si les femmes exercent un métier hors de la famille. En premier lieu, un travail rémunéré signifie pour la femme un doublement

POUR ou CONTRE Le travail de la femme Dissertation rédigée à partir de copies d’élèves Il y a un siècle, les jeunes filles n'avaient pas besoin (le droit) d'apprendre un métier parce qu'elles devaient se consacrer au soin du ménage, à l'éducation des enfants et au bonheur de leur mari. Leur raison d'être fut d'être belle, pudique, bonne cuisinière, couturière et d'épouser un mari qui subvenait à leurs besoins. La femme se trouvait dans 5 une situation d'infériorité par rapport à l’homme

Blanche-neige, pour obtenir ou non, l’homme idéal : «le prince charmant». Mais l’image des bonnes femmes est néanmoins lourdement ternis par une certaine débilité imposée, une incapacité à faire quelque chose (or mis le ménage), nous allons prendre quelques exemples concrets, comme Cendrillon, femme magnifique certes mais qui n’as aucune dignité et qui n’essaie même pas de sortir de sa situation catastrophique, montrant une image négative de son savoir-faire et de sa motivation inexistante. De plus avec le