Une femme douce

pour vivre leur amour. Je suis très fier d'avoir réalisé cette anthologie qui a permis de mettre sur papier ma sensibilité que je n'aurait pu exprimer auparavant. « A Meline » Mais à qui mieux pourroy-je presenter Ces petits chants, qu'à toy, douce Meline, Mon Eraton, qui la fureur divine Souflas en moy, qui me les fit chanter ? Tu m'i verras une foix enchanter De ta rigueur le souci qui me mine Une autre fois en ta douceur benine Tu me verras gayement contenter. Icy lisant, l'amour qui me tourmente

situation semblable, les deux personnages occupent une position très probable et leurs corps semblent plus figés que dans la première proposition. On peut aussi remarquer la forme d'un carré créer par la position statique de Cupidon penché sur sa douce, et le dos et les jambes de Psyché qui est étendue. De plus, l'arrière-plan est très claire et les éléments le composant sont distincts les uns des autres. Une perspective linéaire est donc observable avec l'environnement du dernier plan qui compose

extrait de la section spleen et idéal, il appartient plus précisément au cycle de Marie Dubrun, jeune actrice que connut Baudelaire. Annonce du plan : cette invitation prend le triple visage de l'évocation d'un lieu idéal, l'évocation d'une femme aimée, évocation d'une initiation esthétique. Ce poème compte 3 strophes séparées par le refrain auxquelles correspondent 3 paysages. La première strophe est un paysage extérieur de la hollande. La seconde est un regard intérieur. Les 3émé strophes

l’attention sur le seul personnage du passage, Figaro. Les questions rhétoriques qu’il pose, ou bien encore le fait de s’adresser à une personne absente rendent le monologue vivant « femme ! (...) le tien est-il donc de tromper ? », « Non, monsieur le Comte ». La ponctuation joue également un rôle dans la vivacité du monologue « femme ! », « décevante !... », « tromper ? ». Les points de suspensions, les points d’interrogations ainsi que les points d’exclamations permettent de dévoiler le caractère énervé

s’embrasser et vivent une relation d’amour intense. 4. Les deux poètes boivent de absinthe à plusieurs reprises pour vivent loin de leur monde. 5. Mal : Paul Verlaine frappe sa femme quand elle est enceinte et il lui brûle les cheveux. 6. La femme : La mère de Rimbaud est la femme douce et apprécier tandis que la femme de Verlaine est la cruauté parce que elle lui prend son amant. 7. L’exil : Rimbaud vient à Paris en train à l’âge de 16 ans. Il a le besoin de partir voir ailleur ou le soleil

correspondances.  Un élément, ici, le sein, représente la femme : métonymie.  Le parfum et la femme ; sensuelle, rapport maternel : une vision de rêve ou onirique.  2. L’image de la femme :  v2 et v9, notion d’intimité " ton sein ", " ton odeur ". La femme est rassurante, tendre, douce, protectionniste et prétexte de rêve. Dès qu’il mentionne la femme, le verbe " je vois " suis : elle permet la rêve.  Ce rêve parvient au spiritisme, la femme atteint l’âme du poète.  Deuxième axe de lecture : 

importante voir essentielle au sein des maisons de celle-ci. L'étude de trois livres ayant pour personnages principaux des bonnes, Anna la Douce de Deszo Kostolanyi, A judgement in stone de Ruth Rendell et La préférence Nationale de Fatou Diome, a permit de découvrir l'intérêt que celle-ci suscite auprès de certains auteurs. Kosztolanyi écrit dans son roman éponyme Anna La Douce que : "la bonne est l'être le plus proche et le plus lointain, l'ami et l'ennemi en une seule personne : la mystérieuse invitée

. Le pont Mirabeau, Alcools, 1913 Le pont Mirabeau a été publié en 1912 dans une revue : les soirées de paris. Il est inspiré par Marie Laurencin, une femme artiste peintre. Apollinaire a eu une liaison avec Marie Laurencin qui a duré 5ans de 1907 à 1912. Il était très amoureux de cette femme qui a fini par le quitter à cause de son caractère très difficile. A cette époque, Apollinaire habitait dans le XVIème arrondissement, le quartier à Auteuil et il avait en face le Pont Mirabeau. C'est une

exactement au décor de Watteau où les personnages sont dominés par les arbres qui réfléchissent une douce lumière de fin de journée ou de fin de saison. Le personnage central de l’assemblée dans un parc est une femme aperçue de dos qui contemple le soleil couchant ainsi que le feuillage des arbres de la perspective. Ce qui fait un peu référence aux femmes cité dans le poème (v.9). De plus, la lumière douce « lueur du soleil » (v.6) est reflétée par l’eau d’un « humble bassin » (v.5), ainsi que dans le

vouloir se piquer d’un faux honneur d’être fidèle, de s’ensevelir pour toujours dans une passion, et d’être mort dès sa jeunesse à toutes les autres beautés qui nous peuvent frapper les yeux ! » - « au premier objet qui nous prend » à réification : la femme est considérée comme un bien matériel. - « un faux honneur d’être fidèle », contrairement à son valet, Dom Juan ne pense pas qu’être fidèle soit une valeur morale mais plutôt une idiotie. - « qu’on renonce au monde pour lui » : le « monde » à les