Une fille d'Ève

Delphine Goriot, épouse du baron du Nucingen, est un personnage de La Comédie humaine d’Honoré de Balzac dont les aventures débutent dans le Père Goriot. Fille du vermicellier Jean-Joachim Goriot, née en 1792, elle a une sœur aînée Anastasie de Restaud. Les deux sœurs se jalousent et se détestent copieusement. Chronologie dans la Comédie humaine 1819 : Delphine de Nucingen apparaît pour la première fois dans le Père Goriot, femme du baron de Nucingen, qu’elle a épousé en 1808. Ce riche banquier

des bas résilles et à se trémousser toute en suggestions sur une musique sautillante. A première vue rien de très original, car nombreuses sont ces jeunes starlettes excentriques, interprètes de tubes à succès tentant de se créer un look de petite fille provocante, d’Alice au Pays des Merveilles des temps modernes (on pense notamment à Katy Perry ou encore à Gwen Stefani) mais cela sans grand succès, leur image ne durant jamais plus que le temps de leur passage dans les charts. Mais ce qui change

p. 142)« Elle voudrait lui crier ses quatre vérités, ça la soulagerait d’un poids. Elle a trop peur. » (Dénès, 2017, p. 147)« Elle ne le craint plus. Elle veut vivre. » (Dénès, 2017, p. 159)RésuméUne poule sur un mur, est un témoignage d’une jeune fille de 22 ans, Eve. Insouciante, célibataire, elle s’installe dans un studio à Bordeaux pour suivre ses études de droit. Cette nouvelle vie est l’inconnu, elle est loin de sa famille et de ses amis qui sont en Bretagne.C’est dans ce contexte, qu’elle fait

Ni d’Ève ni d’Adam, Amélie NothombIntroduction : Ni d’Ève ni d’Adam est une autobiographie (mémoire :il s'agit davantage d'un témoignage d'une époque plutôt que d'une mise en avant d'un auteur. Ainsi, il est possible de s'imprégner de revivre des moments historiques à travers le regard d'un contemporain)d’Amélie Nothomb lors de son voyage au japon. Il est parallèle a une autre autobiographie, stupeur et tremblement . Pacte autobiographique :Elle brise

donnant le sein à Enée sous le regard rêveur d'Anchise, ou encore la colère de Zeus au loin donnant l'éclair annonçant la guerre de Troie mais on a également évoqué le destin Egyptien de Io dont voici la légende : Dans la mythologie grecque, Io est la fille du dieu fleuve Inachos. Elle a une sœur, Mycénée. Prêtresse au temple d'Héra à Argos, Zeus la remarqua un jour et elle devint rapidement une des ses nombreuses maîtresses. Zeus lui donnait de fréquents rendez-vous en se changeant en nuage. Leur relation

Bibliographie de l’auteur - Le voyage d’hiver ,Paris ,Albin Michel , 2009 - Le fait du prince, Paris, Albin Michel , 2008 - Ni d’Eve ni d’Adam, Paris , Albin Michel , 2007 - Journal d’hirondelle , Paris , Albin Michel , 2006 - Acide sulfurique , Paris , Albin Michel , 2005 - Biographie de la faim, Paris , Albin Michel , 2004 - Antéchrista , Paris , Albin Michel , 2003 - Robert

Vénus », Botticelli (1486)Description: Ce tableau est la suite de l’événement représenté dans un autre tableau de Botticelli intitulé «Le Printemps». C'est une peinture historique racontant un épisode mythologique : d'après Hésiode, Aphrodite est une fille d'Ouranos dont les organes sexuels tranchés par Chronos tombèrent dans la mer et engendrèrent la déesse, née des vagues, Vénus-Aphrodite. Vénus fut poussée par les Zéphyrs d'abord à Cythère, puis sur la côte de Chypre. Là elle fut accueillie par les

étage de la pension Vauquer, rue Neuve-Sainte-Geneviève, fut alors en relations avec Jacques Collin, dit Vautrin, qui s’intéressera particulièrement a lui et voulut lui faire épouser Victorine Taillefer ; devint l’amant de Mme de Nucingen, seconde fille de Joachim Goriot, ancien vermicellier, et, en février 1820, habita, rue d’Artois, un joli appartement loué, aménagé et meublé par le père de sa maitresse. Goriot mourut dans ses bras ; seul avec le domestique Christophe, Rastignac suivit le convoi

l’aime toujours. Elle reste tout le temps avec lui malgré que Pierre ne la reconnaisse pas et qu’il la nomme Agathe. « Elle ne le quitte pas d’une semelle, elle ne sort jamais,(...) elle ne reçoit personne. » Les parents d’Eve s’expliquent cette situation par l’entêtement de sa fille. Eve sait que son mari est incurable, mais elle s’obstine, elle ne veut pas en avoir un démenti. Elle n’a aucun aide, elle est délaissée dans son sacrifice. Pierre est seul dans son monde irréel, dans le monde de ses

de naissance”, lecteur de Rimbaud ; Clélio, “un sale besogneux”, “avaleur de clous rouillés des autres”, “avec assez de colères pour remplir dix fois le panier percé de sa vie” ; et, enfin, Savita, la “bonne fille” qui ne veut plus être ce qu’elle est et qui est, elle aussi, amoureuse d’Eve... Quatre destins éperdus dans un lieu de bannissement où “les mères disparaissent dans une brume démissionnaire et les pères trouvent dans l’alcool les vertus de l’autorité”. Quatre destins qui s’entrecroisent