Une Ironie Satirique Les Animaux Malades

répétition anaphorique de « j’accuse ». Accusation qui porte sur des cibles différentes qui se font par gradation en touchant la hiérarchie militaire. Il accuse aussi - les expert graphologue à qui il reproche d’avoir truquer leur expertise (avec ironie). - Au ministère de la guerre qui il reproche d’avoir orchestré une campagne de propagande. - Il signale les irrégularités commises par la procédure judiciaire (dissimilation de document). C/ Les valeurs qui soutenue ce réquisitoire. → Il

présence pour les Fables de Florian des animaux ; il se peut aussi qu’il soit question des vers. Pour nuancer cette représentation, on peut avoir recours à la table des matières et demander, en s’appuyant sur les titres du livre I, si toutes les fables évoquent des figures animalières. Un parcours rapide de ces titres montre que cinq fables sur quatorze mettent en scène des animaux, quatre font référence à des humains, deux autres mêlent humains et animaux, une évoque l’univers des plantes et deux

l´intention idéologique, car il se constitue souvent a la base de l´ignorance. Le stéréotype porte plutôt une connotation idéologique. Le cliché a une intention nulle, rhétorique ou esthétique. Dans la littérature on a utilisé des clichés dans un but satirique ou parodique : par exemple Cervantès dans Don Quijote où il utilise des clichés du langage chevaleresque. Le cliché n´a pas une intention idéologique, mais il porte, comme le stéréotype, une connotation idéologique. Plusieurs aspects de cliché

ses sentiments, il simule la mort, et on l'enterre. Cador, un ami de Zadig, réussit à consoler la jeune femme et, d'accord avec son compère, feint de souffrir affreusement d'une crise de rate. Le seul remède, prétend-il, est de poser sur la partie malade le nez d'un homme qui vient de mourir. Voilà la veuve, un couteau à la main, qui se dirige vers le tombeau de son mari. Aussi la répudie-t-il. Chapitre III : ‘’Le chien et le cheval’ Désabusé des femmes, Zadig se retire dans sa maison de campagne

pommiers. Le ciel pur était tacheté de nuages roses ; des fumignons bleuâtres se rabattaient sur les chaumières couvertes d’iris ; Charles, en passant, reconnaissait les cours. Il se souvenait de matins comme celui-ci, où, après avoir visité quelque malade, il en sortait, et retournait vers elle. Le drap noir, semé de larmes blanches, se levait de temps à autre en découvrant la bière. Les porteurs fatigués se ralentissaient, et elle avançait par saccades continues, comme une chaloupe qui tangue à chaque

pommiers. Le ciel pur était tacheté de nuages roses  ; des fumignons bleuâtres se rabattaient sur les chaumières couvertes d’iris ; Charles, en passant, reconnaissait les cours. Il se souvenait de matins comme celui-ci, où, après avoir visité quelque malade, il en sortait, et retournait vers elle. Le drap noir, semé de larmes blanches, se levait de temps à autre en découvrant la bière. Les porteurs fatigués se ralentissaient, et elle avançait par saccades continues, comme une chaloupe qui tangue à

pommiers. Le ciel pur était tacheté de nuages roses  ; des fumignons bleuâtres se rabattaient sur les chaumières couvertes d’iris ; Charles, en passant, reconnaissait les cours. Il se souvenait de matins comme celui-ci, où, après avoir visité quelque malade, il en sortait, et retournait vers elle. Le drap noir, semé de larmes blanches, se levait de temps à autre en découvrant la bière. Les porteurs fatigués se ralentissaient, et elle avançait par saccades continues, comme une chaloupe qui tangue à

soutenu. Récit plus proche de l’oral, plus commun. LES TEMPS ORGANISES AUTOUR DU PRESENT: (ANCRES DANS L’ENONCIATION. TEMPS DU DISCOURS) présent futurpassé composé ||| imparfai t Hier, j’attendais le bus quand j’ai vu Pierre. Aujourd’hui, il est malade. On le verra demain. LES TEMPS ORGANISES AUTOUR DU PASSE: (COUPES DE L’ENONCIATION. TEMPS DU RECIT) passé simple imparfait plus-que-parfait | | | futur dans le passé (conditionnel présent)passé antérieur Il avait entendu un cri; il ouvrit

pommiers. Le ciel pur était tacheté de nuages roses ; des fumignons bleuâtres se rabattaient sur les chaumières couvertes d’iris ; Charles, en passant, reconnaissait les cours. Il se souvenait de matins comme celui-ci, où, après avoir visité quelque malade, il en sortait, et retournait vers elle. Le drap noir, semé de larmes blanches, se levait de temps à autre en découvrant la bière. Les porteurs fatigués se ralentissaient, et elle avançait par saccades continues, comme une chaloupe qui tangue à chaque

pique tous les jours, toutes les heures, toutes les minutes, d’un coup d’épingle à quelque place inattendue pendant quatre ans» (66). - «ulcères» (79) pour désigner le «crime» et le «vice», «le bagne» et «le lupanar», la métaphore étant suivie avec «malade», «maladie», «palliatifs», «cautérisation qui gangrénait la plaie», «vésicatoire», «mauvais sang», «amputation barbare» (79-80). - «Le fer rouge, le boulet et le couperet» (80) qui sont les instruments de la flétrissure, du bagne (le boulet au pied