Une journée d'Ivan Denissovitch

reçoit le prix Nobel de la Paix. Andrei Jdanov : Alexandre Soljenitsyne (1918-2008) : Ecrivain russe et membre de l’Armée rouge pdt la Seconde Guerre Mondiale. Il est envoyé au goulag et est libéré en 1953. Il publie en 1962 Une journée d’Ivan Denissovitch et devient un écrivain dissident et est expulsé d’URSS à la suite de la parution de l’Archipel du Goulag. Prix Nobel de Littérature. Fidel Castro (né en 1926) : Révolutionnaire cubain, il s’empare du pouvoir contre le dictateur Batista

de plus en plus critique par la bourgeoisie libérales des KD (constitutionnels-démocrates) et des octobristes qui formèrent alors un bloc progressiste, LA DOUMA (1905). 17/09/2012 Chapitre 2 : Révolution de 1917. La situation du pas fait des journées de manifestation en février débouchèrent en l’abdication du tsar Nicola II et diriges par militants révolutionnaires et appela tous les citoyens de Russie à s’organiser sur ce modèle ; la forme d’organisation sera une démocratie populaire directe

mondial de la jeunesse et des étudiants à Moscou (34 000 jeunes de 130 États : « inter-baby boom » et stilyaga) en 1957 ; • le premier concours international Tchaïkovski (gagné au piano par un américain) en 1958 ; • la publication d'Une journée d'Ivan Denissovitch de Soljenitsyne en 1962 (anonymement) ; • la diffusion de quelques chansons occidentales (Beatles)... Cette libéralisation (surnommée « dégel ») est limitée : par exemple Boris Pasternak, l'auteur du Docteur Jivago publié en 1957 en Italie

de son entreprise. En 2011, elle porte plainte contre la multinationale59,60. En Russie L’écrivain russe Alexandre Soljenitsyne (1918-2008) a dénoncé le goulag soviétique dans plusieurs livres et l’a ainsi révélé au monde entier : « Une Journée d’Ivan Denissovitch » publié en 1962 est un récit sur un détenu ordinaire du Goulag. Ses autres livres clandestins « Le Pavillon des Cancéreux » (1968), puis « Le Premier Cercle » (1968) et « l’Archipel du Goulag » (1974) vont dans le même sens et finalement

tradition, de la justice, de la morale, ou celles du bon sens, ne nous est plus d’aucun secours pour nous accorder à leur ligne d’action, pour la juger ou pour la prédire. Lectures conseillées : Si c’est un homme de Primo Lévi Une journée d’Ivan Denissovitch d’Alexandre Soljénitsyne Des différences essentielles existent entre un régime tyrannique et un Etat totalitaire : Le tyran : Le tyran, notamment dans le théâtre grec, désigner le roi, le basileus qui s’arroge un pouvoir qui excède

le stalinisme André Gide, Retour de l’URSS, Gallimard, 1936 Vassili Grossman, Vie et destin, L’Age d’Homme/Julliard, 1980 Vassili Grossman, Tout passe, Possev-Verlag, 1970, Julliard/L’Age d’Homme, 1984 Alexandre Soljénitsyne, Une journée d’Ivan Dénissovitch, Novy Mir, 1962, Julliard, 1975 Alexandre Soljénitsyne, Le premier Cercle, 1968 Alexandre Soljénitsyne, L’Archipel du Goulag, 1974, Fayard, 1991 Arthur Koestler, Le zéro et l’infini, Londres, 1941, Calmann-Lévy, 2005 Arthur London, L’Aveu

en 1953, après la mort de Staline, il est envoyé en exil perpétuel au Kazakhstan, vaste steppe d’Asie centrale alors fédérée à l’U.R.S.S. En 1956, il est réhabilité. Il s'installe alors à Riazan où il enseigne les sciences physiques. Une journée d’Ivan Denissovitch, publié en 1962 dans la revue Novi Mir, grâce à l'autorisation de Nikita Khrouchtchev en personne, fait connaître son nom dans le monde entier. Trois ans plus tard, sous le régime lugubre de Brejnev, et dans le contexte quasi apocalyptique

en 1953.-> En URSS, répression et culte de la personnalitéTout est contrôlé, un seul journal autorisé (“la Pravda” : la Vérité...). Ainsi Soljenitsyne est interné de 1945 à 1953, il décrit dans ses livres la vie des camps (1962, “une journée d’Ivan Denissovitch”). L’enseignement est réécrit en fonction du marxisme-léninisme et le “réalisme socialiste” s’abat sur l’art. En Europe de l’est : mise au pas des sociétés civiles (“du passé, faisons table rase...”) -> L’épuration des PC : procès et

avoir d’autres cultures que la culture officielle. L’Union des écrivains et des artistes survivront jusqu’en 1991 de façon clandestine et limitée. Au début des années 1960, Soljénitsyne (romancier et dissident russe, auteur notamment d'Une journée d'Ivan Denissovitch et de L'Archipel du Goulag) est remis au goût du jour. Le système soviétique par le biais de ce roman acceptait des camps. Jusqu’au bout, il faudra maintenir cette conception. Il faut aussi souligner l’importance de la culture chinoise

Pravda” : la Vérité...). La culture occidentale est interdite car jugée “décadente et pourrie”. Les intellos et artistes sont mis au pas. Ainsi Soljenitsyne est interné de 1945 à 1953, il décrit dans ses livres la vie des camps (1962, “une journée d’Ivan Denissovitch”). L’enseignement est réécrit en fonction du marxisme-léninisme et le “réalisme socialiste” s’abat sur l’art. Partout on rend un culte au vénéré Staline : son 70ème anniversaire est l’occasion de véritables scènes d’idôlatries. Même au sommet