Une journée d'Ivan Denissovitch

George Orwell / Alexandre Soljenitsyne L’origine de notre travail vient principalement de l’œuvre d’Orwell : La ferme des animaux. En appondissent nos recherches sur Orwell j’ai découvert par la suite l’œuvre de Soljenitsyne : Une journée d’Ivan Denissovitch. Ces deux œuvres sont éloignés dans le temps et l’espace et pourtant ont un même but : dénoncer le système communiste pendant le 20ème siècle. Ceci est devenu un avantage pour notre travail, cela nous a permis de comparer les œuvres dans

ujet : Le travail n’est-il que servitude ? Dans « Une Journée d’Ivan Denissovitch », Alexandre Soljenitsyne rapporte les conditions de travail des hommes : par –25°C, le ventre vide etc.Cependant, il rapporte de son héros que tout en construisant ce mur, il y trouvait une joie. Bien plus, pour l’amour du travail bien fait, cet homme a couru le risque de se retrouver au cachot. Cet épisodemet en évidence trois possibilités : le travail vécu comme contrainte ; le travail vécu comme libération individuelle

Il est vrai qu’Alexandre Soljenitsyne a été censuré pendant des années par son ex pays, l’URSS. Il a reçu le prix Nobel pour son courage et la vérité de son écriture. Le Roman qui fut l’objet d’une vague d’émotion, est : Une journée d’Ivan Denissovitch ! Récit d’une journée dans un goulag ! Celui-ci sera irrémédiablement censuré par l’Etat communiste. - L’écrivain confronté à la religion. Néanmoins, en Europe, c'est l'empereur Constantin Ier le Grand qui instaura un régime de censure

Le rapport secret du XXème congrès du PCUS se manifeste par une rupture de la loi du silence avec dénonciation des crimes staliniens. L’Histoire des camps n’est plus cachée (publication en 1962, avec l’autorisation de Khrouchtchev, d’une journée d’Ivan Denissovitch de Soljenitsyne). Conséquences immédiates : la nomenklatura se sent menacée, le modèle soviétique, remis en question en URSS même, n’apparaît plus comme le modèle idéal Les « limites intérieures »restent évidentes : Le PCUS reste le parti

toute personne reconnue comme « socialement dangereuse » * La délation … érigée en décret sous peine de mort. * Les familles prises en otage * Le goulag (Cf. : « L’archipel du goulag » de Soljenitsyne (Soljénitsine), « Une journée d’Ivan Denissovitch ») * La croisade antireligieuse , violente campagne athée menée par la politique et des komsomols (noms des jeunes communistes) pops emprisonnés, pratiquants. * Les grandes purges (près de 2 millions de personnes sont arrêtées,

(une cassure) avec elle de 1948 à 1956.  DEUX DISSIDENTS (OPPOSANTS) CELEBRES : Alexandre Soljenitsyne Ecrivain soviétique, il fut l’un des premiers à dénoncer la réalité des camps du Goulag (par exemple dans son livre de 1962, “une journée d’Ivan Denissovitch”). Interné par Staline de 1945 à 1953. Toutes ses oeuvres sont interdites en URSS, mais il publie à l’étranger et ne cesse de dénoncer le régime (“Le premier cercle” ou “L’Archipel du Goulag” en 1973). Prix Nobel de littérature en 1970,

témoignages écrits, datant d’époques diverses, pour construire les livres d’histoire, par exemple. Dès lors, pensez-vous encore que le livre d’Alexandre Soljénitsyne soit totalement inutile, et qu’il a perdu son temps à rédiger « Une journée d’Ivan Denissovitch ou Le premier cercle »? Certes, non, et j’affirme haut et fort que ces récits font partie intégrante de notre histoire, de l’Histoire universelle, avec un grand H. Notre belle littérature, la Littérature, ouvre les yeux à beaucoup de

circonscrire la déstalinisation à la dénonciation du culte de la personnalité  et de la répression. Les intellectuels sont ainsi encouragés à écrire des biographies des victimes de Staline : Alexandre Soljenitsyne Soljenitsyne peut publier Une journée d'Ivan Denissovitch. La dislocation de l'URSS a lieu en 1990 et en 1991 où Gorbatchev réveil le sentiment nationaliste des populations au sein de l’URSS, ce qui provoqua la création de 15 nouveaux pays : Russie, Arménie, Ukraine, Géorgie… où les accords de

Sujet : Le travail n’est-il que servitude ? Dans « Une Journée d’Ivan Denissovitch », Alexandre Soljenitsyne rapporte les conditions de travail des hommes : par –25°C, le ventre vide etc. Cependant, il rapporte de son héros que tout en construisant ce mur, il y trouvait une joie. Bien plus, pour l’amour du travail bien fait, cet homme a couru le risque de se retrouver au cachot. Cet épisode met en évidence trois possibilités : le travail vécu comme contrainte ; le travail vécu comme libération

signifier que le roman ne peut coexister avec la représentation d’un univers totalitaire, alors on ne saurait donner raison à l'auteur. De nombreux romans, et non des moindres, nous décrivent en effet un univers totalitaire. Ainsi, Une journée d'Ivan Denissovitch de Soljenitsyne peut être considéré comme un roman sur le totalitarisme. En effet, les prisonniers ne sont en vérité plus que des ombres de ce qu'ils étaient. Ils sont presque devenus des machines, ayant perdu toute volonté de lutter contre