Une Mort Heroique Baudelaire

Victor HUGO - La mort de Gavroche 1 HUGO, Les Misérables, cinquième partie, Livre I, Chapitre XV, 1862. [Le 5 juin 1832, une manifestation républicaine organisée à l’occasion des funérailles du général Lamarque, député de gauche populaire, se termine en émeute violemment réprimée. Hugo groupe derrière la barricade de la rue de Chanvrerie, dans le quartier des Halles, les principaux personnages du roman : Marius, Javert, qui seront tous deux sauvés par Jean Valjean, et le petit Gavroche (douze

la transformation et la transmutation d’un élément sensible et matériel : une charogne en un objet poétique et recomposé en œuvre d’art grâce a l’agent alchimique du soleil et grâce a la beauté du verbe poétique cher à Baudelaire. Nous avons donc ici un exemple d’alchimie et de transposition de la boue (la charogne) et l’or (œuvre d’art). Ce poème est à la fois, étrange, bizarre, macabre et étonnant car il définit une espèce d’esthétique de la laideurIl fait cohabiter

de Baudelaire Le premier poème qui me semble approprié à la problématique se nomme Le Mort joyeux . En effet, ce poème évoque la problématique dès la lecture du titre puisque Le Mort joyeux est une oxymore opposant les termes « le mort », qui est de manière générale vu comme quelque chose qui attriste et angoisse et est souvent représenté de manière sombre. Le côté sombre de la mort peut faire penser à

Cette synthèse à pour but d'évoquer de quel façon le mythe de Don Juan à évolué. Il a  traversé les siècles en passant par Tirso de Molina jusqu'à Brassens.    Le  mythe  de  Don  Juan  trouve  son  origine  dans  une  histoire  appelée  ​ Le  jeune  homme  et la mort​ . Celle­ci narre la rencontre entre un jeune homme et la mort dans un cimetière.     Tirso  de  Molina  est  le  premier  à  avoir  reprit  le  mythe  de  Don  Juan  en  1630.  Il  a  introduit  ce personnage mythique en tant que croyant ​ et séducteur. Pourtant religieux, celui­ci 

Introduction Le poète romantique Charles Baudelaire (1821-1867) passe pour l'un des plus grands artistes du sonnet, lui qui ne pratiquait pas particulièrement le culte des règles traditionnelles ou de la rigueur formaliste. Dans ce poème, extrait du recueil intitulé « Les Fleurs du Mal » (publié en 1857), Charles Baudelaire se montre un brillant causeur extraverti : il exprime la violence pasionnée de ses sentiments avec un lyrisme plutôt baroque, noyé dans une profusion de métaphores, forces élémentaires

en fait une lettre de Charles Baudelaire à Arsène Houssaye, homme de lettres français et ancien ami de ce dernier, a pour but d'attiser la curiosité du lecteur sur cette oeuvre. Or, une préface s'adresse généralement au lecteur en plus du destinataire direct - qui est ici Arsène Houssaye, et Baudelaire s'attaque à ce dernier, donc par définition, il s'attaque au lecteur. Ce paradoxe l'entraîne donc dans une situation rhétorique, car en détruisant son lecteur, Baudelaire se détruit lui-même ; De plus

éprouve. 27) Une mort héroique Un histrion de génie, embarqué dans une conspiration contre le Prince, se voit, découvert, proposer une ultime représentation avant sans doute le bourreau. Au moment même où son génie explose sur la scène, le sifflet d’un petit page, diligenté par le Prince, le blesse mortellement dans sa performance d’acteur et provoque sa fin réelle. Cette fois, réussite « à la Edgar Poe ». On nous fournit, comme inspiration probable de ce bref conte, Le Masque de la mort rouge, l’une

limiter à la petite musique personnelle du poète chantant un des thèmes traditionnels et a priori poétiques comme l’amour, la mort, la solitude, l’angoisse existentielle, la nature ou la rêverie. En effet la poésie a su faire entrer la modernité dans le champ poétique y compris dans ses aspects les plus surprenants ou les plus prosaïques (« Une charogne » chez Baudelaire, la ville industrielle chez Verhaeren et le quotidien trivial chez Verlaine dans ces vers de Cythère, dans Les fêtes galantes,

repris par Baudelaire) qui ne comporte ni vers, ni rimes + qui se distingue de la prose classique par intensité des images + travail sur rythme et sonorités.  poésie lyrique : thèmes classiques, expression des sentiments personnels, musicalité du discours (ode, ballade, sonnet, élégie).  épopée : récit d’évènements héroïques avec prédominance du discours narratif et registre épique. Le langage poétique • strophes : tercet, quatrain, quintile, sizain,... • thèmes lyriques : amour, mort, nature

coupait le flot noir, Mais le calme héros, courbé sur sa rapière, Regardait le sillage et ne daignait rien voir. | | Baudelaire J’ai choisi ce poème car, comme pour le châtiment de Tartufe de Rimbaud, il montre une autre vision d’un personnage connu, qui est ici Don Juan, et que nous avons évoqué lors de notre dernier commentaire composé. Ici, Don Juan est à la fois