Une Mort Héroïque

péripéties, et le dénouement qui voit souvent la mort d’un personnage. • Des thèmes récurrents : l’amour, la haine, la jalousie, le sens de l’honneur et la fatalité contre laquelle l’homme tragique ne peut rien. • Le dynamisme du héros : le héros tragique est héroïque. • Des procédés rhétoriques particuliers : l’alexandrin reste le vers tragique par excellence. On trouve de nombreux procédés d’amplification qui visent à rendre les personnages héroïques. Le monologue rend compte des conflits internes

dépourvu de repères. Ce héros est donc un être humain comme les autres, présentant des faiblesses. Meursault non plus ne répond guère aux caractéristiques du personnage héroïque. S’il a un nom, il n’a pas de prénom, nous savons très peu de choses sur lui, sa profession est à peine évoquée, son passé seulement par l’intermédiaire de la mort de sa mère. Il a peu de caractère, n’est déterminé par rien à part la pulsion de l’instant et le hasard. On peut dire de lui que c’est un personnage “transparent”.

tambours, les canons formaient une telle harmonie […] ». Cependant la violence de la guerre apparait tout de même avec la présence des moyens de destructions « canons », « baïonnette », « mousqueterie » ou encore avec le compte approximatif du nombre de mort par Candide « à peu près », « environ », « quelques ». Néanmoins certains indices nous montrent bien que le héros n’est pas choqué par la violence de cette guerre, l’expression « le tout » déshumanise les individus morts qui sont réduits à un simple

d'amour, d'émotion ardent, parfois plus fort que le raisonnement. Nous verrons donc, dans un premier temps, que l'amour passionné peut surmonter toutes les épreuves puis nous verrons comment cet amour passionné se transforme en un amour libre et héroïque, UN AMOUR PASSIONNE AU DELA DE TOUTES EPREUVES Le Cid est une pièce de l'amour passionné, malgré les contraintes de bienséance de l’époque qui interdisait toutes allusion au corps, à la sensualité et à la sexualité, nous pouvons remarquer la

Echange verbal. On rentre directement dans l’action du théâtre. Défi lancé Attaque du moucheron Défaite du lion Mort du moucheron Morale + Decrescendo, puis crescendo de la violence + Texte réaliste et vivant, grâce à un lexique de la guerre : « guerre », « sonna la charge », « l’invisible ennemi triomphe », « se retire avec gloire », « trompette », « embuscade ». + Stratégie militaire du moucheron : harcèlement, guérilla : emploi d’octosyllabe rejets vers 13-14 enjambements vers

égorgées, qui tenaient leurs enfants à leurs mamelles sanglantes ; là des filles éventrées après avoir assouvi les besoins naturels de quelques héros rendaient les derniers soupirs ; d'autres, à demi brûlées, criaient qu'on achevât de leur donner la mort. Des cervelles étaient répandues sur la terre à côté de bras et de jambes coupés.Candide s'enfuit au plus vite dans un autre village : il appartenait à des Bulgares, et des héros abares l'avaient traité de même. Candide, toujours marchant sur des membres

littéraire, l'épopée se voit remplacée par le roman, qui devient le principal genre narratif. Toutefois, malgré le déclin du genre, le registre épique n'a pas disparu : il est caractérisé par la présence d'un style soutenu (longtemps appelé « héroïque », une vision du monde où les héros décident du sort des groupes qu'ils représentent, ou l'intervention de forces irrationnelles ou surhumaine (le destin, le sort…). Ce registre a souvent été repris dans des domaines autres que le littéraires

espoirs à ses proches après sa mort. Cette résistance est pour le peuple un espoir de changer les choses. De Gaulle regagne cette idée en stipulant dans son discours que la flamme de la résistance ne doit pas s’éteindre et qu’elle ne s’éteindra pas. Guy Môquet retrouve cette idée en affirmant dans sa lettre qu’il espère que sa mort sert à quelque chose. Guy Môquet sait qu’il va mourir, il l’affirme dans sa lettre, il fait comprendre qu’il est conscient que sa mort est un sacrifice, il sacrifie sa

guerre et qu’il assiste à cette bataille comme si on assistait à un spectacle musical. De plus, Candide semble être naïf, car il ne réalise pas les enjeux de la guerre : le protagoniste compare les soldats tués à des choses et est insensible à la mort de ces derniers. L’insensibilité est illustrée par une gradation des chiffres( « six mille hommes, neuf à dix mille coquins, quelques milliers d’hommes »). Le lecteur a donc l’impression que Candide nie la cruauté de la guerre et qu’il n’est pas touché

s’achève par le renoncement. Le passage que nous allons étudier se situe au début du roman, l'héroïne est présentée à la cour d'Henri II pour la première fois. Le lecteur la découvre également pour la première fois. Son portrait s'inspire du roman héroïque mais relève aussi du roman psychologique par l'importance accordée au portrait moral et surtout à l'analyse à laquelle se livre Mme de la Fayette pour expliquer les vertus dont est dotée son héroïne. Il s'agit d'étudier en quoi ce portrait de Mlle