Univers parallèle

genre du conte traditionnel. Pour cela, nous tenterons d’abord d’établir les convergences génériques entre le conte traditionnel et cet extrait avant d’étudier les modalités de ce détournement. I. Un incipit caractéristique du conte a. Un univers merveilleux -Formule traditionnelle d’un début de conte, au même titre qu’ « il était une fois », « il y avait » (l.1) -La « Westphalie » (l.1) existe réellement mais c’est une région suffisamment isolée et peu connue du lecteur du XVIII°

l'interprétation rendue possible par le décalage qu'il a choisi, comme le montre la vidéo disponible sur le site de l'AFEF. Déroulement de la démarche : du roman au film/du film au roman L'entrée se sera progressivement dans le roman et dans le film en parallèle. Après une découverte du premier chapitre du roman, de la bande-annonce du film, de l'affiche, puis de quelques chapitres supplémentaires du roman, les élèves entreront dans le roman tout entier et visionneront le film. Ensuite, ils découvriront

l’amour (abstrait). 1) 2 champs lexicaux primordiaux. - « mer » x6 relié par « eau » (singulier ou pl. x4) - « amour » x8 + « aimer » et l’adjectif « amoureux » relié par le feu. 2) La façon dont ces thèmes sont entrelacés. a) Répétition en parallèle et en chiasme. - Chiasme V.2/3/4 : ABBA BAAB avec A= mer et B= amour. b) Le rythme et les rimes. - 4 T.I.A, tout les vers sont frappés de la même manière. c) La graphie. - Les thèmes s’interpénètrent dans la graphie elle-même, « amer/mer/aimer/enflammer

noir, bleu, orange, marron) donnent un aspect lugubre au lieu. Les habitants sont tous des monstres, inspirés librement des univers de Mary Shelley, de Stephen King, de films d’horreur « à petits budgets » (comme le reconnaissent les scénaristes eux-mêmes), des mythes et légendes Slaves, Nordiques et Anglo-Saxonnes. Malgré l’aspect repoussant que pourrait avoir cet univers, ses habitants sont heureux, et semblent se plaire dans leur horreur, en rire, au point d’organiser des concours du plus monstrueux

Longtemps considéré comme un message divin voir prémonitoire, aujourd'hui le rêve apparaît pour certain dépourvu de sens, ou au contraire comme un immense univers à analyser et à comprendre, voir même un chemin à suivre pour d'autres. On peut considérer qu'il témoigne d'une production psychique survenant pendant le sommeil où celui-ci lui permet de s'exprimer. Parfois partiellement mémorisé, il est aussi une représentation plus ou moins idéale voire chimérique de ce que l'on souhaite réaliser, ou

En quoi cette scène est-elle singulière ? I Une scène d’exposition particulière a) Une présentation inattendue - Univers carcéral mis en relief par les informations scéniques: chemin de ronde ; une prison ; gardiens (didascalie initiale) ; coups de feu, projecteurs, sirènes (didascalie finale) .- Le lieu est présenté comme coupé de toute réalité, comme vide de toute consistance : il n’y a rien à voir, il n’y a rien à entendre ; oreilles tendues à ne guetter rien

conceptions des Hommes quant à la forme de la Terre - Représentation mythologiques (déesses dans l’Univers, disque terrestre,), une dizaine d’années av JC- 500-600 ans av JC : disque flottant sur un océan infini, Terre cylindrique au milieu d’un Univers infini, dans un espace à coussin d’air - Vème siècle av JC, Pythagore, sphéricité de la Terre. Platon dit que la Terre est entouré d’une sphère de feu, d’une sphère d’eau

Le développement du monde virtuel : Second Life, jeux en réseaux, le coaching virtuel… Ces univers sont aujourd’hui un véritable phénomène de société ; on s’y rencontre, on y échange, on y guerroie, et de plus en plus, on y vit. I. Le Monde Virtuel et ses caractéristiques Qu’est-ce que Le Monde Virtuel ? « Un monde virtuel est un monde simulé, il est créé par un logiciel, on peut héberger une communauté d’utilisateurs présents sous la forme d’avatar. La représentation de ce monde et

information cruciale qui servira de résolution finale. * Montage par leïtmotiv : structure le film autour d’un plan ou d’une scène qui revient comme un refrain. * Griffith (Birth of a Nation) : continuité spatio-temporelle (la porte) et montage parallèle. * Dziga Vertov : démultiplication des points de vues. * Eisenstein (Cuirassé Potemkine) : le montage expressif : crée des émotions. Montage discursif * Essentiellement basé sur des liaisons intellectuelles qui tendent à démontrer

nos faiblesses, nos forces. Leurs univers n'est ni plus beau ni plus édifiant que le nôtre. Mais eux, du moins, courent jusqu'au bout de leur destin.» Cette définition du héros peut-elle s'appliquer aux personnages de roman, tels que vous ont permis de les découvrir vos lectures et les textes étudiés en classe? Vous veillerez à appuyer votre réflexion sur des exemples précis, notamment extraits du corpus proposé. Le roman est la création d'un univers qui fonctionne comme un reflet du monde