Université de Jendouba

ORGANISATION FRANCOPHONES ET LEURS ACTIVITES. Lisez le texte ci-dessous et parlez de la politique francophone. 12 La coopération francophone internationale est d ‘ abord le fait d’organisation internationales : AUPELF – l’Association des universités partiellement ou entièrement de langue française, fondée en 1961. FIPF –la Fédération internationale des professeurs de français, née en 1969. CILF –le Conseil international de la langue française, qui date de 1967. ACCT –l’Agence de coopération

milliers de jeunes accusés de terrorisme, victimes de torture, de traitement inhumain et de procès inéquitables, l’interdiction du congrès de l’Union générale des étudiants tunisiens (UGET), l’emprisonnement et l’expulsion de ses militants des universités, le passage à tabac des opposants, le putsch contre le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) et qui en dit long sur l’état de la presse et de la liberté d’expression, l’interdit qui frappe les activités de la LTDH, la persécution que

de jeunes accusés de terrorisme, victimes de torture, de traitement inhumain et de procès inéquitables, l’interdiction du congrès de l’Union Générale des Etudiants Tunisiens 38    (UGET), l’emprisonnement et l’expulsion de ses militants des universités, le passage à tabac des opposants, le putsch contre le Syndicat National des Journalistes Tunisiens (SNJT) et qui en dit long sur l’état de la presse et de la liberté d’expression, l’interdit qui frappe les activités de la LTDH, la persécution que

aux besoins de la Tunisie, et des pays en développement en général. Ce centre aurait quatre missions principales : • d'information; • de formation; • de recherche scientifique appliquée dans le cadre du partenariat Gouvernement / Secteur Privé / Université et Centre de recherche ; • de diffusion des technologies appropriées dans les pays voisins. - 48 - Concernant l'information, il s'agirait en fait de constituer une grande banque de données sur les éco- technologies applicables aux différents

personne et par an. Toutes les régions tunisiennes n’ont pas connu le même processus ni la même ampleur d’urbanisation. Le caractère rural de certaines régions reste fortement marqué. C’est en particulier le cas de la région du Nord-Ouest (Béja, Jendouba, El Kef, Siliana) et du Centre-Ouest (Kairouan, Kasserine, Sidi Bouzid), où le pourcentage de la population rurale est respectivement de 62,0 % et 67,7 %. Ces deux régions ont enregistré, en 2010, les dépenses moyennes par personne et par an parmi

Université de Tunis I.S.C.A.E C.E.S Révision Comptable (Année Universitaire 2011/2012) COURS EN MATIERE D’AVANTAGES FISCAUX ETUDE DE CAS (Mis à jour au 1er Janvier 2012) Elaboré par : Mohamed Salah AYARI Conseiller Fiscal PREMIERE PARTIE LES AVANTAGES FISCAUX PREVUS PAR LE CODE D’INCITATION AUX INVESTISSEMENTS LES AVANTAGES FISCAUX

systèmes, à savoir, le système romano-germanique et le système du Common law. 1-1-1. La notion de la précarité du travail dans les pays du système romanogermanique Le système romano-germanique, héritier du droit romain, élaboré au moyen âge dans les universités de l’Europe occidentale, notamment, l’Italie, se caractérise par le mouvement de la codification. Il englobe, les pays de l’Europe de l’Ouest hormis l’Angleterre et quelque pays scandinaves. Selon l’unanimité des auteurs dans ces pays, la forme

sur une période de 3 ans, financés par une dotation budgétaire de l’Etat de l’ordre de 60 millions de dinars. Il s’agit notamment des Gouvernorats suivants : Médenine, Tataouine, Gabès, Kébili,Tozeur, Gafsa, Sidi Bouzid, Kairouan, Le Kef, Siliana, Jendouba, Béjà et Zaghouan , Ce programme, qui repose sur une dotation du Budget de l’Etat de l’ordre de 60 Millions de dinars, sera réalisé à travers des mécanismes, à savoir : des ateliers d’entrepreneuriat, des crédits à moyens et longs termes et des participations

de formation universitaire et de recherche scientifique, en Tunisie comme à l’étranger. C’est d’ailleurs le cas avec les précieuses contributions de compétences étrangères (Loutfy BOULOS, Errol VELA, etc.), d’experts tunisiens exerçant dans des universités tunisiennes, des centres de recherche ou d’autres institutions (INAT, FST, INSAT, FLAHM, INRAT, IRA, ISPT, BNG, FSS, IRAM…). Cela vaut en particulier pour l’apport remarquable de trois botanistes tunisiennes, mesdames Z. GHRABIGAMMAR, A. DAOUD-BOUATTOUR