Usine

Chapitre2 : Présentation du projet Introduction : La présente étude a pour objectif la présentation d’un nouveau projet qui est la réalisation d’une usine moderne de fabrication de parpaing, hourdis et ordures de trottoir. Le projet est estimé à 58 400 000 ,00 DA, il est réalisé par 5 employés qui travailleront 8h par jours. Le projet en question permettra de mettre sur la marché des produits de bonne qualités et faire face à la demande très prisée et consommée en grande quantités par

descriptif d’un lieu précis. C’est le résultat d’une réalité. a) Ville industrielle : la ville se développe et s’étend : insistance sur un décor immense « à l’infini », « des lieus immensément ». C’est un lieu urbain et industriel « faubourg, banlieue, usine, fabrique ». b) Ville monotone et triste : les pluriels et le présent d’habitude insistent sur la banalité et le monotonie du lieu. Champs lexical de la géométrie : ca donne une impression de malaise tant tout semble identique, enfermant, sale, triste

Certification 1994 : Dès fin 93, la certification ISO 9002 de l'usine de Perpignan couronne les efforts de notre savoir-faire et des exigences de qualité. Une usine en Côte d'Ivoire 1996 : Afin de mieux maîtriser la matière première, le groupe investit dans la construction d'une usine de traitement des fèves de cacao ultramoderne en Côte d'Ivoire qui sera opérationnelle dès octobre 1997. Chocolat bio 1999: Lancement de la gamme CEMOI Equitable de chocolat biologique. Extension de l'usine d'Abidjan

quand son action modifie la situation d’un autre agent. On distingue : - des externalités positives : l’implantation d’une usine crée des emplois - des externalités réciproques : l’apiculteur bénéficie de la proximité d’un verger, l’arboriculteur bénéficie des abeilles qui favorisent la pollinisation de ses arbres fruitiers - des externalités négatives : une usine pollue l’environnement. Le problème qui se pose alors est celui de “l’internalisation de l’effet externe”, c’est-à-dire de

dévastes, plusieurs immeubles aussi on été complètement détruits (murs lézardés, portes et fenêtres enfoncées, toitures et panneaux soufflés ou envolés, vitres brisées, etc.) Cette usine aujourd'hui représente un risque industriel. Pour conclure, on peux dire que ce risque technologique a menacé la population car cette usine chimique étaient trop proches de la civilisations et des bâtiments.

qui produisent des médicaments chimiques ainsi que des médicaments génériques dans la même usine déléguant ainsi leur savoir faire (avantage financier pour les entreprises pharmaceutiques qui voient ainsi réduire leur charges salariales du coup elles embauchent moins et licencient des employés ). • « La Mondialisation, qui incite les grands groupes à confier la production d’un médicament à une seule usine dans le monde, fragilise celles mal situées ou peu modernes » 3) Il est important qu’un

grande quantité et à faible coût. (exemple : Eau de Javel, acier, puces électroniques...) La chimie fine :synthétise des substances plus complexes, en faible quantité et à coût élevé. (exemple : médicaments, parfums...) Par exemple, l’usine AZF, usine de chimie lourde qui produisait : 1 000 tonnes d'ammoniac par jour ; 1 200 tonnes d'urée par jour ; 820 tonnes d'acide nitrique par jour ; 820 tonnes de nitrate agricole et 400 tonnes de nitrate industriel par jour… On peut parler de chimie lourde

ont été arrêtés au fil des restructurations) est devenu le seul laminoir à rails de France et l'un des plus performants du monde : L'usine TATA STEEL France RAIL SA est spécialisée dans la fabrication de rails pour chemins de fer, cette usine anciennement Usine Saint Jacques a été inaugurée le 2 janvier 1897. Elle a été dès le départ spécialisée dans le laminage de produits longs (poutrelles et rails), elle comportait en plus des trains de laminages d'importantes batteries de chaudières à vapeurs

les conditions de vie et les infrastructures. USINE D’EMBOUTEILLAGE DE L’EAU POTABLE La demande en eau potable augmente rapidement en RDC. De plus en plus sensible à l’importance de la santé, la population prend des précautions face aux maladies transmises par l’eau. En plus de garantir la qualité de l’eau, le conditionnement en bouteille facilite également le transport. C’est à Kindu, dans la région de Maniema, que MRA a ouvert sa première usine d’eau potable, dont la capacité est de 5 000 litres

masse permet de réduire le prix, et c'est le début du succès, avec deux millions d'appareils vendus entre 1933 et 1935. En 1937 l'usine de Bagnolet étant saturée, Jean Mantelet décide de s'installer en Normandie, à Alençon dans les bâtiments d'une usine désaffectée. Il peut profiter d'une main-d'œuvre féminine et rurale de bonne qualité. C'est à cette époque que la Manufacture d'emboutissage de Bagnolet Mantelet et Boucher est rebaptisée Le Moulin-Légume. En 1957 la société prend le nom de Moulinex