Utilité marginale

(CPP) Marginalisme Th éco selon laquelle la valeur d’échange d’1 pdt = déterminée par unité de la dernière unité dispo de ce pdt. Sur marché du W, l’entrepreneur embauche tant que l’unité marginal > salaires Les Néo défendent la conception de la valeur « utilité/rareté » et non PAS de la valeur du W utilité = importance subjective qu’on accorde à 1 B/S pas l’utilité totale mais l’utilité de la dernière close de ce B Comparaison eau = pas cher pas rare/utile ms diamand = cher

services. Le consommateur est caractérisé par : * Une relation de préférence * Une dotation initiale qui donne l’ensemble dont il dispose au départ et qu’il cherche à utiliser au mieux. La fonction d’utilité du consommateur : * Utilité du consommateur= satisfaction du consommateur. * La fonction d’utilité= association d’un indicateur de satisfaction aux diverses quantités de biens consommées par le consommateur rationnel. * L’utilité du panier A est un nombre qui n’a pas

d'indifférence la plus éloignée de l'origine et la droite de budget. En ce point, la pente de la courbe (qui nous est donnée par le TMS) est égale à la pente de la droite de budget (le rapport des prix). −On exprimer lLe TMS en faisant le rapport des utilités marginales: (dU/dX)/(dU/dY) = Y/X −donc à l'optimum : Y/X = px/py = 1/3 soit X = 3Y −Nous avons deux équations et deux inconnues. Il suffit de résoudre le système: −X = 3Y et Y = 50 -X/3. On remplace X dans la deuxième équation: Y = 50 – 3Y/3. −On obtient

Remplissez le tableau 2. Représentez graphiquement U(x) et U'(x). 3. Le prix de chaque unité est 2; est-ce que notre consommateur a intérêt à acheter la neuvième unité? 2. Calculer pour les fonctions d'utilité les utilités marginales du bien 1 et 2 et les taux marginaux de substitution. |U(x1, x2) |U1(x1, x2) |U2(x1, x2) |TMS1/2 | |2x1+3x2 | |

matière grise que l'on y a injectée (astuce, design, qualité, normes, sécurité, etc …). La seconde découle de la logique de pénurie générale et indique que la valeur vient de plus en plus de la réalité, c'est-à-dire de la valeur d'usage des produits (utilité, utilisabilité, employabilité, etc …). Les deux logiques évoquées de dématérialisation et de pénurie se renforçant l'une l'autre (plus l'énergie est chère, plus la valeur vient de la néguentropie, donc de l'intelligence, de la "forme", etc …)

producteur est de maximiser son profit sous contrainte de production, et celui du consommateur est de maximiser son utilité sous contrainte de son revenu. Lorsque l'on parle de coûts ce n'est pas seulement le sens comptable qui est important. Trois coûts sont importants en microéconomie : le coût d'opportunité, les coûts irrécupérables (sunk cost en anglais) et le coût marginal. Historiquement, le développement de la microéconomie s'inscrit dans le programme de recherche de l'école néoclassique

où C1 et C2 représentent les consommations respectivement de la période 1 et de la période 2, en remarquant que C2 est en même temps l'épargne de la période 1. Cette fonction d'utilité respecte les propriétés liées à la décroissance de l'utilité marginale. Mais les néoclassiques estiment que les individus ont naturellement une préférence pour le présent et par conséquent pour la consommation immédiate (ou, symétriquement, une dépréciation du futur et de la consommation différée). Cela correspond tout

producteur est de maximiser son profit sous contrainte de production, et celui du consommateur est de maximiser son utilité sous contrainte de son revenu. Lorsque l'on parle de coûts ce n'est pas seulement le sens comptable qui est important. Trois coûts sont importants en microéconomie : le coût d'opportunité, les coûts irrécupérables (sunk cost en anglais) et le coût marginal. Historiquement, le développement de la microéconomie s'inscrit dans le programme de recherche de l'école néoclassique

du producteur est de maximiser son profit sous contrainte de production, et celui du consommateur est de maximiser son utilité sous contrainte de son revenu. Lorsque l'on parle de coûts ce n'est pas seulement le sens comptable qui est important. Trois coûts sont importants en microéconomie : le coût d'opportunité, les coûts irrécupérables (sunk cost en anglais) et le coût marginal. Historiquement, le développement de la microéconomie s'inscrit dans le programme de recherche de l'école néoclassique

du producteur est de maximiser son profit sous contrainte de production, et celui du consommateur est de maximiser son utilité sous contrainte de son revenu. Lorsque l'on parle de coûts ce n'est pas seulement le sens comptable qui est important. Trois coûts sont importants en microéconomie : le coût d'opportunité, les coûts irrécupérables (sunk costen anglais) et le coût marginal. Historiquement, le développement de la microéconomie s'inscrit dans le programme de recherche de l'école néoclassique