Utilité

de l'allocation de leurs richesses entre des actifs financiers. Plus précisément, il est admis : * 1) que ces individus structurent leurs portefeuilles de façon à maximiser l'espérance d'utilité de leurs richesses finales ; * 2) que leur utilité croît avec la richesse et qu'ils ont de l'aversion pour le risque   * 3) qu'il est possible de représenter leurs préférences par des fonctions définies sur les deux premiers moments d'une distribution de richesse aléatoire, à savoir l'espérance

première reste inchangée : habiller, protéger, réchauffer, couvrir le corps… On peut donc mettre en avant la possible futilité d’acheter un vêtement juste pour sa beauté et non son utilité. Certaines personnes peuvent être dépendante de cette mode et donc collectionner certains objets qui, de ce fait, enlèvent toute utilité à l’objet pour la remplacer par une addiction. Cette addiction est caractérisée par une dématérialisation des fonctions principales de l’objet, remplacées par un besoin d’accumuler

Optimisation : les agents tentent de maximiser leur bien-être matériel au moyen du minimum de ressources dont il dispose. Optimalité au sens de Pareto : les utilités ne sont pas comparables entre elles et ne peuvent ni être agrégées, ni être compensées. Par conséquent (définitions) : une situation est Pareto – optimale lorsque aucun agent ne peut voir son utilité progresser sans que l'utilité d'un agent ou, a fortiori de plusieurs autres agents ne diminuent. Optimalité au sens de Kaldor : principe de compensation

l'homme dans un système = c'est un individu qui participe à la vie économique en vu de maximiser son bien-être, et il gère les ressources dont il dispose, les affecte à un usage ou à un autre, les échange, dans le seul but de maximiser son utilité globale. Utilité : lorsqu'on consomme un bien, c'est la satisfaction qu'on en retire. On raisonne dans une approche individualiste et subjective. La micro-économie raisonne sur l'homo-oeconomicus : il est intemporel, asocial et assexué. Il a des comportements

(unités) 20 10 40 30 10 10 Vêtements (unités) 30 50 20 40 20 40 Microéconomie (L2) Chap 2 8 / 97 2. Les préférences du consommateur 2.1 Les hypothèses sur les préférences 2.2 Courbe d’indifférence 2.3 Taux marginal de substitution 2.4 Utilité Microéconomie (L2) Chap 2 9 / 97 2.1 Les hypothèses sur les préférences Complétude : Les consommateurs peuvent comparer et classer tous les paniers possibles. Transitivité : Si un consommateur préfère le panier A au panier B et le

L'art sert-il à quelque chose? Les utilités de l'art sont contestées par beaucoup de gens au travers du monde, et cela est tout à fait compréhensible. En effet si l'on regarde une peinture ou une statue, on peut tout à fait se demander a quoi cela sert. Pourtant si l'on y réfléchie, pour tout le monde ou presque, l'art fait partie intégrante de notre vie, comment alors dire que l'art ne sert pas à quelque chose? L'homme passerait il autant de temps devant quelque chose d'inutile? C'est la question

somme non nulle). Retour à la valeur utilité Un raisonnement « à la marge » : (utilité marginale, coût marginal) débouchant sur une théorie de la demande : l’utilité marginale décroissante L’équilibre général de Walras et l’optimum de Pareto Retour à la conception subjectiviste de l’utilité déjà formulée par Condillac, Turgot et Say: la valeur d’un bien est donnée par l’utilité que l’on en a. Les prix des biens sont supposés proportionnels à leur utilité marginale. Retour sur l’exemple de

psychologique. Les néo-classiques ont cru pouvoir mesurer l’utilité ressentie par l’individu à partir d’unité subjectives que les anglo-saxons notent utils. Quand je consomme A un verre d’eau, il sera d’une grande utilité. Le second verre sera moins utile. Le luxe et la culture ont donc une utilité très importante (on ne se lasse pas des musées, du cinéma…) tandis qu’un verre d’eau, une fois la soif apaisée ne sera plus utile. 2. La notion d’utilité totale L’utilité totale est l’utilité retirée de

satisfaction (l’utilité n’est pas l’inverse de nuisibilité). Comme par exemple certains biens nuisibles pour la santé représentent une utilité pour le consommateur (tabac, alcool…). 4- L’utilité marginale : L’utilité marginale est définie par la satisfaction procurée par la dernière unité consommée d’un bien donné. Or, il est évident que plus on consomme un bien, plus son utilité marginale baisse. On dit qu’il y a une relation inverse entre la quantité consommée et l’utilité marginale. Quantité consommée

que des quantités plus faibles TMS Quantité d’un bien que l’on est prêt à sacrifier pour obtenir une unité supplémentaire d’un autre bien. Mathématiquement : La pente en un point de la courbe d’indifférence c’est le rapport : Utilité marginale du bien 2/ Utilité marginale du bien 1 Droite de budget La contrainte budgetaire a pour expression : xpx + ypy = R Optimum du consommateur On dit que le consommateur est à l’optimum lorsqu’il maximise sa satisfaction. Les ressources du