Utopie Syphograntes

lecteur l’aspect philosophique du texte. Il nous engage, au-delà du merveilleux, à lire dans le récit d’Eldorado la description d’une utopie. B. La description et la fonction d’une utopie : - Description chronologique : Ce type de description, où un voyageur découvre peu à peu un monde nouveau, est typique de celui de livre décrivant une « utopie » dont Thomas More a publié le premier livre en 1516 L’Utopie. On retrouve ce type de description dans le texte avec quatre étapes : toilette

Montesquieu, dans les Lettres persanes, décrit un peuple imaginaire vivant dans l’harmonie et le bonheur. Voltaire, dans l’extrait de Candide, propose aussi un mode de vie idéal, en autarcie, où le travail harmonise les esprits. Il s’agit donc de trois utopies présentant chacune les caractéristiques d’une société parfaite où règne le bonheur. Dans un premier temps, on remarque que ces textes cherchent à nous dépayser. En effet, le cadre naturel donne à rêver de voyages dans ces mondes à l’aspect parfait

de respecter les convenances. Conclusion : les voyageurs n’ont qu’une vue superficielle et candide. Candeur au rôle révélateur ; but ; bien mettre en valeur le monde visité en inviter le lecteur à percevoir le contenu philosophique. II. Une utopie 1. L’utopie traditionnelle. - Connecteurs temporels qui différencient les quatre démarches des voyageurs : " après quoi ", " en attendant "… - Référence à Thomas More : le pays qui n’existe pas / où tout est parfait.. Pays imaginaire où un régime

Candide vit au château du Baron de Thunder-ten-tronckh. Il est amoureux de la fille de ce dernier, Cunégonde, et entretient de bons termes avec le précepteur, Pangloss, philosophe à la langue trop pendue, défenseur d’un optimisme béat. Le Baron, en apprenant les sentiments que Candide nourrit pour sa fille, le chasse de ses terres. Ainsi va commencer une suite interminable de malheurs qui infirmeront définitivement la devise de Pangloss (« tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles

(scène 3) Commentaire texte 16 pour l'oral Introduction : L'Île des esclaves est une courte pièce de Marivaux datée de 1725, en pleines prémisses des Lumières, ne comportant pas d'actes mais onze scènes de longueur variable, mettant en place une utopie : sur cette île, ce sont des esclaves qui règnent et font les lois, proposant une sorte de « thérapie psychologique » aux anciens maîtres. Il s'agit de placer ces derniers dans les rôles de leurs subordonnés, afin de comprendre en profondeur leurs

Les conséquences de la perfection Les contre-utopies ne sont pas le contraire des utopies, mais des utopies en sens contraire. Elles en récupèrent fidèlement le schéma général, les thèmes et les lieux communs, pour démontrer que chacun des bienfaits de l’utopie finit par se retourner contre son bénéficiaire, par menacer ce qui constitue proprement son humanité. Et elles le prouvent toujours de la même manière, en poussant la logique jusqu’à son terme, en imaginant l’utopie enfin achevée, close,

A. Huxley, La Culture et l'Individu Réaliser une utopie ? p355 à 357 Les problémes sociaux rencontrés au XXe, qui sont du à l'accroissement rapide des changements technologies et démographiques qui causent l'inadaptation des hommes par rapport à leur culture qui représente une menace pour eux même, Huxley nous propose plusieurs solutions pour y remédier dont la prise de psychédéliques inoffensifs. Par cela, l'auteur pense que l'adaptation humaine serait possible, mais qu'elle resterait à prouver

Bibliographie ❖ Manuels, ouvrages 1. Bachelard (Gaston), « La Poétique de l’espace », Presses universitaires de France, 1957, 9e édition en 2004, 214p. 2. Baty –Tornikian (Ginette), « Cités jardins Genèse et actualité d’une utopie », Paris Edition Recherches / IPRAUS, 2001, 158p. Ouvrage disponible à la bibliothèque de l’Ecole des Beaux Arts et Architecture. Cet ouvrage s'évertue à montrer des enjeux politiques, économiques, urbanistiques, architecturaux et environnementaux

ainsi : «  Nous avons voulu avertir et non mordre ; être utile et non offenser ; réformer les mœurs et non scandaliser. » ce qui résume parfaitement les idées humanistes. En tant que mouvement d’optimisme, l’humanisme veut établir un Idéal. Dans son Utopie (1516) Thomas More nous parlent d’un pays imaginaire où les principes humanistes sont prônés : un pays sans violence ni injustices où règnent la sagesse, la raison, la tolérance religieuse mais surtout la liberté. C’est une société ou les biens sont

n'existe pas, là où on se sent bien. Dans ces trois texte, la description de ces lieux utopiques est essentielle pour pouvoir s'imaginer dedans. Cependant, on remarque que le texte C est un contre-utopie, qui montre un lieux terrifient où l'on créer des armes de guerre. Cela montre que certaines utopies dégagent des leçons de savoir vivre. On retrouve l'utopie dans la Callipolis de Platon ou encore dans Gargantua de Rabelais.