Valenod

devenir secrétaire du Marquis de la Mole, le prince Korasoff qui lui donne quelques conseils d’ordres sentimentaux, Mathilde de la Mole qui le fait devenir officier. Les opposants: Sa fierté l’empêchera d’accepter certaines aides financières, Mr Valenod qui aime aussi Mme de Rênal est fait tout pour lui nuire, L’abbé de Frilair qui ne veut nuire au protégé de l’Abbé de Pirard qu’il ne porte pas dans son cœur. Norbert qui veut protéger sa sœur, MM de Croisenois qui est son rivale directe, sa passion

 mais il n’a de passion que pour  Napoléon, qu’il admire à travers du Mémorial de Sainte‐Hélène de Las Cases.  Un jour le maire ultraroyaliste de Verrières – M. de Rênal – désire engager Julien comme précepteur pour ses fils, pour pouvoir s’en venter devant son rival M. de Valenod. Installé à la grande maison de M. de Rênal à Vergy, Julien se trouve soudain au milieu de la haute bourgeoisie où il doit cacher son admiration pour l’ancien empereur et son mépris envers son employeur. Julien est bien traité par son patron

derrière –9– son immense mur de soutènement, car, malgré l’opposition du conseil municipal, il a élargi la promenade de plus de six pieds (quoiqu’il soit ultra et moi libéral, je l’en loue), c’est pourquoi dans son opinion et dans celle de M. Valenod, l’heureux directeur du dépôt de mendicité de Verrières, cette terrasse peut soutenir la comparaison avec celle de Saint-Germain-en-Laye. Je ne trouve, quant à moi, qu’une chose à reprendre au COURS DE LA FIDELITE : on lit ce nom officiel en quinze

parfaitement le personnage de Julien : « En lui se cristallisent les qualités humaines, la qualité humaine tout court.» Valenod, l’hypocrisie et la fausseté personnifiées, le condamne à mort sous une fausse inculpation, en confondant une tentative de meurtre avec une meurtre, et contre tous les efforts pour le sauver et tout l’espoir de le voir acquitté. Mais qui est le vainqueur : Valenod qui tue par basse vengeance ou Julien qui se fait tuer dans la dignité ? Je cite de nouveau Michel Crouzet : « Sa

CHAPITRE II - UN MAIRE  Le Rouge et le Noir l'opposition du conseil municipal, il a élargi la promenade de plus de six pieds (quoiqu'il soit ultra et moi libéral, je l'en loue), c'est pourquoi dans son opinion et dans celle de M. Valenod, l'heureux directeur du dépôt de mendicité de Verrières, cette terrasse peut soutenir la comparaison avec celle de Saint-Germain-en-Laye. Je ne trouve, quant à moi, qu'une chose à reprendre au COURS DE LA FIDELITE ; on lit ce nom officiel

dans la Vie d’Henri Brulard. Par ailleurs il nous montre des personnalités politiques, comme M. Appert, membre influent de la société des prisons, ou divers ministres de la Restauration. Que le comte Altamira soit en réalité son ami di Fiori, que M. Valenod ait été copié sur Michel Faure, directeur du dépôt de mendicité à Saint-Robert (Isère), voilà ce qui aujourd’hui est absolument prouvé et su. Sur bien d’autres points il reste de la besogne pour les chercheurs ; et sur la ressemblance de Fouqué et

derrière son immense mur de soutènement, car, malgré l’opposition du conseil municipal, il a élargi la promenade de plus de six pieds (quoiqu’il soit ultra et moi libéral, je l’en loue), c’est 8 pourquoi dans son opinion et dans celle de M. Valenod, l’heureux directeur du dépôt de mendicité de Verrières, cette terrasse peut soutenir la comparaison avec celle de Saint-Germain-en-Laye. Je ne trouve, quant à moi, qu’une chose à reprendre au COURS DE LA FIDELITE : on lit ce nom officiel en quinze

malgré CHAPITRE II - UN MAIRE 7 Le Rouge et le Noir l'opposition du conseil municipal, il a élargi la promenade de plus de six pieds (quoiqu'il soit ultra et moi libéral, je l'en loue), c'est pourquoi dans son opinion et dans celle de M. Valenod, l'heureux directeur du dépôt de mendicité de Verrières, cette terrasse peut soutenir la comparaison avec celle de Saint-Germain-en-Laye. Je ne trouve, quant à moi, qu'une chose à reprendre au COURS DE LA FIDELITE ; on lit ce nom officiel en quinze

Le Rouge et le Noir, lecture analytique n°2 Place dans le récit : Julien Sorel est donc le percepteur des enfants de Monsieur et Madame de Rénal. Il attire la jalousie des domestiques, l’admiration de Madame de Rénal et la hantise de Mr. Valenod. Il refuse les avances d’Elisa et commence à toucher la main de Madame de Rénal. Résumé : Dans cet extrait Julien et Madame de Rénal, dans l’ombre, se tiennent la mains en présence de Monsieur de Rénal trop occupé a critiquer les petit capitalistes

constitution écrite et prônent un retour à l’Ancien Régime. Dans Le Rouge et le Noir, ce mouvement est incarné par M. de Rênal, M. de la Mole et Mathilde de la Mole. b. Dans le roman, la figure la plus représentative des libéraux est M. Valenod. En effet, M. Valenod est partisan d’une monarchie constitutionnelle garantissant la liberté et l’égalité. M. de Rênal, dans le chapitre 3 de la première partie (p.34), les nomme des « marchands de toile ». 2. a. Julien, qui considère Napoléon comme un