Valet Miroir Maitre

et Toinette par une comédienne sourde, explore le monde intérieur du protagoniste, son imaginaire, et projette sur scène la manière dont Argan voit le monde à travers sa maladie. Le ridicule d’Argan, exagéré et caricatural, permet de tendre un miroir au spectateur et de lui révéler une vérité, qui apparaît alors avec une lumineuse évidence : l’extravagance et 21-FRGEME1BISC Page 11 / 32 l’outrance sont paradoxalement la forme spécifiquement comique de la vraisemblance, il y a bien une part

», « comment », « pourquoi»… Une citation à approfondir, à expliquer Exemples de sujets Êtes-vous d’accord avec l’affirmation « L’homme est un loup pour l’homme » ? Qu’apporte la mise en scène au texte de théâtre ? Pour Stendhal, le roman est un miroir que l’on promène le long d’un chemin : comment le comprenez-vous ? Exemples de problématiques Peut-on avant tout définir les relations humaines par leur agressivité ? Quels éléments supplémentaires sont ajoutés à un texte à travers sa mise en scène

10 services : * Le service clientèle est assuré par les réceptionnistes, les garçons d’étages, le conducteur de navette pour transporter les clients de l’aéroport vers l’hôtel et vis versa ; * Le service hébergement (femmes de chambres, les valets de chambres) qui s’occupent du nettoyage  et la recouche ; * Le service économat * Le service technique ( frigoristes, électriciens, peintres , menuisiers, jardiniers, femmes de ménage et les ouvriers polyvalents) ; * Le

Molière Dom Juan Éd. présentée, annotée et commentée par Laurence Giavarini,... Larousse-Bordas, 1998 Note du transcripteur : les didascalies ont été notées en GRAS et */* Les personnages : DOM JUAN, fils de Dom Louis. SGANARELLE, valet de Dom Juan. ELVIRE, femme de Dom Juan. GUSMAN, écuyer d'Elvire. DOM CARLOS, DOM ALONSE, frères d'Elvire. DOM LOUIS, père de Dom Juan. FRANCISQUE CHARLOTTE, MATHURINE, paysannes. PIERROT, paysan. LA STATUE du Commandeur. LA VIOLETTE, RAGOTIN, laquais

parti           Que de renvoyer son épouse,           Querelleuse, avare, et jalouse. Rien ne la contentait, rien n'était comme il faut: On se levait trop tard, on se couchait trop tôt; Puis du blanc, puis du noir, puis encore autre chose. Les valets enrageaient; l'époux était à bout: « Monsieur ne songe à rien, Monsieur dépense tout,           Monsieur court, Monsieur se repose. »      Elle en dit tant, que Monsieur, à la fin,           Lassé d'entendre un tel lutin,           Vous la renvoie

déroulement de la représentation. • • I. La pièce Dom Juan, jeune noble vivant en Sicile séduit sans relâche les jeunes filles de bonnes familles et les servantes avec un égal succès. Seule la conquête l'intéresse, comme il l!explique à son fidèle valet Sganarelle. Mais l!une de ses proies, Elvire, qu!il a enlevée de son couvent pour ensuite l!abandonner, lui réclame des comptes. L!arrivée des deux frères de la jeune femme bafouée embarrasse Dom Juan… DOM JUAN OU L’HYPOCRITE FOUDROYÉ – Note du metteur

décadrés (cf. le plan en plongée verticale de Valmont tué en duel). - montage alterné de la Passion de Tourvel et du suicide de Valmont. - colère irrépressible de Valmont dans la séquence de déclaration de guerre et hystérie de Merteuil brisant ses miroirs à l'annonce de sa mort. II. LE THEATRE DES APPARENCES – ANALYSE DU PROLOGUE Dans la séquence initiale, consacrée aux préparatifs matinaux de Valmont et Merteuil, le réalisateur présente deux personnages similaires et introduit deux thèmes importants

divin. Face à lui, Sganarelle est à la fois le complément indispensable et l'antithèse exacte : son costume est coloré quand celui de Don Juan est noir, et ses réactions de pantin de comédie italienne font contrepoint avec la rigidité glaciale de son maitre. Les représentations diffèrent en fonction de l’interprétation de chaque dramaturge mais aussi en fonction des évènements de l’époque. Par exemple un an après les évènements de mai 68, Patrice Chéreau, jeune metteur en scène de vingt-cinq ans

détails (sa voix, son apparence) qui donne à cette femme un semblant d'identité. - Sa métamorphose La femme devient un monument d'espoir sculpté dans l'imaginaire. Mais dans sa réalité que l'on devine dans les derniers vers ne représente-t-elle pas le miroir abstrait dont a besoin le poète pour que lui soit retournée l'image de sa souffrance qui amplifiée devient la source du pouvoir magique du poète. - Le thème de la mort. Cette femme rêvée apparaît dans les vers 11 à 14 sous le signe de la mort "

bas, et aspirant très haut ; ayant sur le dos les marques de la servitude et dans le cœur les préméditations du génie ; le peuple, valet des grands seigneurs, et amoureux, dans sa misère et dans son abjection, de la seule figure qui, au milieu de cette société écroulée, représente pour lui, dans un divin rayonnement, l’autorité, la charité et la fécondité [Ruy Blas, valet, est amoureux de la reine d’Espagne]. Le peuple, ce serait Ruy Blas. Victor Hugo, Préface à Ruy Blas Le romantisme en littérature