Valeur Travail Marx Ricardo

 Année universitaire : 2013 /2014 I – les grands courants de la pensée économique  1- Courant classique  A. Adam Smith B. David Ricardo C. Jean-Baptiste Say 2- Ecole néoclassique  A .Comparaison entre les néo-classiques et les classiques  B .Le courant libéral  3- Ecole keynésien  4- Ecole Marxiste  5- Le monétarisme  II –Les politiques économiques : 1- La politique monétaire 2-Le carre magique

profils d'accumulation des personnes au cours de leur vie, et les conséquences de ces rythmes de constitution d'épargne. Le modèle de base considéré par F. Modigliani, est celui d'un salarié qui part à la retraite, accumulant dans ses années de travail, puis consommant son capital lors de la retraite. Cela donne une courbe en "chapeau pointu". 6 © 2002 Tous droits réservés. http://bibliotheques.univ-lille1.fr/grisemine UNIVERSITE DE BRETAGNE OCCIDENTALE DEUG 1ERE ANNEE HISTOIRE DES

marginaux, existent. Il y a d'autres types d'échanges comme les dons. Les philosophes grecques et la pensée scolastique faisaient partie de l'éducation. Les auteurs économiques ultérieurs s'en sont inspirés malgré les contresens. Menger (marginalisme) et Marx se sont inspirés en particulier d'Aristote. Schumpeter, quant à lui, s'inspire de la pensée médiévale. A partir du XVIe siècle, un autre mode d'organisation sociale : •    un essor des échanges ; •    une mutation de la structure d'organisation

Section 3 Le « socialisme scientifique » de Marx I. La singularité du mode de production capitaliste (MPC) A- Le mode de production capitaliste 1°) Une théorie générale de l'histoire Le matérialisme historique est une interprétation économique de l'histoire. La compréhension du fonctionnement d'une société repose sur la compréhension de son économie (infrastructure). Cette infrastructure (économique) détermine la superstructure (différentes formes politiques : régimes, institutions

paradigme avec l’école physiocrate (QUESNAY et Vincent De GOURNAY). La question est alors : comment enrichir le royaume ? Il faut regarder l’environnement. En France, à cette période , c’est l’agriculture qui prime. En effet, elle produit/crée de la valeur, un surplus. Il faut donc la défendre en levant les impôts sur les grains « laisser faire-laisser passer » pour qu’il y ait une libre circulation => libéralisation de ce marché. « Politique économique » : Jusqu’à présent, les stratégies économiques

avancée des droits sociaux : lois Bismarck (cf. dernier chapitre : État-providence & Cohésion sociale) Régime politique autoritaire, Domination politique Opposition envers la France sur tous les plans IDEES DE L'AUTEUR Influence des valeurs notamment religieuses dans le développement (c'est sa thèse principale) Rationalisation de toutes les activités Importance de la bureaucratie Utilisation de l'idéal-type Primat de l'individualisme sur le holisme : l'acteur est maître de son destin

régaliennes) ; et David Ricardo, qui met en évidence les avantages comparatifs de chaque pays, cela signifie qu’un pays peut avoir des facilité de production dans certain secteurs, et pourra donc répondre aux besoins des pays qui sont spécialisé dans un autre secteurs, et inversement. Le libre échanges permet aux marchés de ce stabiliser naturellement. Le second courant économique moderne est la pensée Marxiste apparue dans la second moitié du 19ème siècle. Karl Marx est l’instigateur d’une économie

II.1.2 Le Mercantilisme Français ou le Colbertisme 5 II.1.3 Le Mercantilisme Anglais ou Commercialiste 6 II.1.4 Limites du Mercantilisme comme pensée économique 6 II.2 Libéralisme physiocratique 6 III. La pensée économique Classique 8 III.1 Valeur, Répartition et croissance 8 III.2 La politique monétaire 9 III.2.1 Rapport de la monnaie face aux métaux précieux 10 III.2.2 Rapport de la monnaie face aux métaux précieux 10 III.3 Le Marxisme 10 IV. Le Néo-classicisme 11 V. La pensée économique

......................................................................... 6 III. La pensée économique Classique............................................................................................................................... 8 III.1 Valeur, Répartition et croissance .............................................................................................................................. 8 III.2 La politique monétaire .............................................................

Résultat Efficience= moyens/résultat, soit l’inverse de la productivité. L’échange et le rôle de la monnaie : * les ressources étant rares, l’homme économique les utilise à bon escient et avec parcimonie pour obtenir des biens qui ont plus de valeur que les dépenses que ces biens exigent. * Il fait des choix pour déterminer les besoins qu’il doit satisfaire en priorité. Il examine l’alternative : « doit-il faire ex : produire lui-même le bien (make) ou le faire-faire ex l’acheter (buy) sur