Vallon

une histoire hors norme pour un lieu devenu culte pour les amoureux de l'architecture. A Wachendorf, au sud de Bonn, se dresse une petite chapelle, comme un donjon au milieu des champs, sur un promontoire d'où l'on peut embrasser le doux paysage vallonné de l'Eifel. Ouverte, il y a juste un an, elle attire déjà de très nombreux visiteurs dont des amoureux de l'architecture contemporaine venus du Japon et des Etats-Unis ! A la grande surprise des villageois qui y ont d'abord vu le travail d'un "fada"

morceaux de ville. Selon leur structure originelle plus ou moins lâche, leur importance ou leur situation, tous n'ont pas gardé des caractéristiques aussi significatives. St Ferjeux, av ec ses grands domaines encore en place, Bregille dans son vallon où reste encore quelque chose des anciennes villégiatures, Velotte, entité séparée par le relief, ont une identité encore agissante, alors que St Claude, à la structure originelle plus épa rpillée, a déjà largement muté et que l'ancien hameau

d’un fleuve inconnu et d’adjectifs mélioratifs mettent aussi en avant le fait qu’il s’agit d’un pays merveilleux loin de ce que le lecteur de l’époque connait. Par ailleurs, des ces trois textes nous retrouvons le champ lexical de la nature : des « vallons » et des « campagnes » (l.6) recouverts de « lauriers, de grenadiers, de jasmins » (l.7) dessinent un cadre champêtre merveilleux dans le texte de Fénélon ; des « jeunes filles ornées de fleurs » (l.4) au milieu des « prairies » (l.14) constituent

“personnage”. En 1996, date de cette lettre, le transfert 13 D. Viart, Dis-moi qui te hante, in Paradoxes du biographique, «Revue des Sciences Humaines», 263, Université de Lille 3, 2001. 14 M. Boyer-Weinmann, La relation biographique, Seyssel, Champ Vallon, 2005, p.124. 220 Annie Oliver semble s’avérer trop difficile et peut être périlleux. Pour que son «je» ne sonne plus «faux», à l’instar de celui de Romand, Carrère devra encore attendre deux ans. Mais le «je» de Carrère est aussi celui

de 4 appuis intermédiaires (piles) dont les hauteurs varieront de 7 à 22.5 m. Le tablier sera réalisé en béton précontraint. Enfin, les principes de fondation varieront en fonction de la géologie rencontrée. 2.5 Vallon des Mercureaux De part son relief doux, la traversée de ce vallon ne présentera pas de difficulté particulière (principalement remblai / déblai), si ce n’est la constitution d’un petit ouvrage permettant la traversée du ruisseau des Contours et qui facilitera également le passage

« vecteur » de l’amour. Adjectif laudatif « bel » mais 4 syllabes seulement ! b- Evoquée indirectement - Caractérisations personnifiantes de la nature décrivent peut-être la femme : blondoyantes, rousoyantes. - Antres moussus, vallons bossus = images érotiques du corps de la femme ? - Disponibilité nature s’opposerait à indisponibilité femme. III La mise en scène de la parole lyrique a- L’expression de la souffrance - Lexique sentimental négatif : version

découverts Ciel, air et vents, plains et monts découverts,Tertres vineux et forêts verdoyantes,Rivages torts et sources ondoyantes,Taillis rasés et vous bocages verts, Antres moussus à demi-front ouverts,Prés, boutons, fleurs et herbes roussoyantes,Vallons bossus et plages blondoyantes,Et vous rochers, les hôtes de mes vers, Puis qu’au partir, rongé de soin et d’ire,A ce bel oeil Adieu je n’ai su dire,Qui près et loin me détient en émoi, Je vous supplie, Ciel, air, vents, monts et plaines,Taillis

21 | Jacques Terrier | RESTAURANT COTE SUDBD JEAN MATHON07200 AUBENAS | MME VOLLE AUDREY04.75.36.59.66 | | NEVEUX DamienMME CHOUAN CORINNECHAMPANSER07380 PRADES06.60.86.24.93 | Jacques Terrier | RESTAURANT LE CHELSEA45 BD PESCHAIRE ALIZON07150 VALLON PONT D’ARC | MR CHAFFOIN CHRISTOPHE04.75.88.01.40 | Fermé le mercredi 3 novembre 2010 commence jeudi | HERBULOT EmmanuelMR HERBULOT HERVELES CLAUX07150 LA BASTIDE DE VIRAC06.14.35.35.95 | Jacques Terrier | AUBERGE LES 4 VENTSLES CHAMPS07210 BAIX

lui. L'horizon devant nous était caché par les hautes futaies couronnées de feuillages qui bordaient les lacets du chemin. Mais après vingt minutes de marche, nous découvrîmes tout à coup un petit village, planté en haut d'une colline, entre deux vallons : le paysage était fermé, à droite et à gauche, par deux à-pics de roches, que les Provençaux appellent des « barres ». « Voilà le village de La Treille ! » dit mon père. Nous étions au pied d'une montée abrupte. « Ici, dit le paysan, il faudrait

relatif à la nature, qui symbolise des choses qui éprouvent des contradictions : « reste de verdure », « feuillages jaunissants », « soleil pâlissant », « faible lumière ». De surcroît, le poète exprime sa tristesse par le regret. « Terre, soleil, vallons, belle et douce nature, / je vous dois une larme aux bords de mon tombeau » (vers 17-18). Dans cet extrait, la larme aux bords de son tombeau fait figure d’une allégorie qui symbolise abstraitement son regret de ne pas avoir « joui » de la nature