Valmont

je m’habille. Adieu, ma chère Sophie ; je t’aime comme si j’étais encore au couvent. P.S : Je ne sais par qui envoyer ma lettre : ainsi j’attendrai que Joséphine vienne. Paris, ce 3 août 17**. Lettre II La Marquise de Merteuil au vicomte de Valmont Paris, ce 4 août 17**. Revenez, mon cher Vicomte, revenez : que faites-vous, que pouvez-vous faire chez une vieille tante dont tous les biens vous sont substitué ? Partez sur-le-champ ; j’ai besoin de vous. Il m’est venu une excellente idée, et

conception me séduisait : des amours rapides, violentes et passagères » ( BT). Elle ressemble aussi à Cécile de Volanges car comme elle, elle est jeune et manque d'expérience Cécile avoue qu'elle « connaissais peu de chose de l'amour », Monsieur de Valmont caractérise l'adolescente des liaisons dangereuses de « jeune fille qui n'a rien vu, ne connaît rien ». Toutes les deux sont des jeunes fille indécises. En effet dans Bonjour Tristesse Cécile ne peut décider si elle veut Anne comme ennemi ou femme

reste longtemps interdit. Il raconte les manipulations libertines de la marquise de Merteuil et du vicomte de Valmont vis-à-vis des jeunes aristocrates, la présidente de Tourvel et Cécile de Volange. (accroche avec informations sur l’oeuvre) Le passage étudié est extrait de la lettre LXXXI située dans la deuxième partie du livre. La marquise de Merteuil reproche au vicomte de Valmont son manque de progrès dans l’entreprise de séduction de la présidente de Tourvel. Elle met en parallèle ses propres

ne peut renoncer à son mari car elle se doit de respecter les codes de la société. Les personnages ne sont pas tenus à respecter ces normes, Choderlos de Laclos dans Les Liaisons dangereuses met en scène deux personnages libertins : le Vicomte de Valmont et la Marquise de Merteuil, faisant partie du monde de l’aristocratie. Les règles conformes à la société sont bafouées, la tromperie et les moyens cruels sont mis en œuvres. Des scènes choquantes telles que la fausse couche de Cécile de Volanges ou

m'abandonne; la plume me tombe des mains; je sens affaiblir jusqu'à ma haine; je me meurs. Du sérail d'Ispahan, le 8 de la lune de Rébiab 1, 1720. Texte D – LACLOS, Les liaisons dangereuses, Lettre CXXVII. Lettre 127 La Marquise de Merteuil au Vicomte de Valmont Si je n’ai pas répondu, Vicomte, à votre Lettre du 19, ce n’est pas que je n’en aie eu le temps ; c’est tout simplement qu’elle m’a donné de l’humeur, et que je ne lui ai pas trouvé le sens commun. J’avais donc cru n’avoir rien de mieux à faire que

Lettre LXXXI La Marquise de Merteuil au Vicomte de Valmont Que vos craintes me causent de pitié ! Combien elles me prouvent ma supériorité sur vous ! & vous voulez m’enseigner, me conduire ! Ah ! mon pauvre Valmont, quelle distance il y a encore de vous à moi ! Non, tout l’orgueil de votre sexe ne suffirait pas pour remplir l’intervalle qui nous sépare. Parce que vous ne pourriez exécuter mes projets, vous les jugez impossibles ! Etre orgueilleux & faible, il te sied bien de vouloir calculer

qu’il fait dans la vie avec bravoure et courage. La publication en 1782 des Liaisons dangereuses un roman épistolaire de Pierre Choderlos de Laclos montre Mme de Merteuil un Heroine hors du commun. Dans ce meme recueil, nous trouvons le Vicomte de Valmont qui lui est bel et bien plein de volonté, d’envie, de charsimepour reussir ce qu’il veut de plus cher dans la vie. Avec un ascension le Roman fait des decouvertes , Le heros n’est plus ce qu’il était au debut de ce genre , Le heros Mediocre a

la divinité Manipulatrice ۞Elle manipule le Vicomte de Valmont pour qu’il fasse l’éducation de Cécile. ۞Elle exige une lettre d’amour de la présidente de Tourvel en échange d’une nuit avec elle. Puis elle l’oblige à rompre avec la Présidente et ne passe jamais la nuit avec lui. ۞Elle manipule tout le monde autour d’elle pour servir ses propres intérêts. Citation Jalousie ۞Elle est jalouse de l’amour que le vicomte de Valmont éprouve pour la présidente de Tourvel. C’est aussi pour cette

séducteurs se retrouvent elles aussi prises au piège de l’amour mais de manière différente car, au contraire des libertins, elles n’ont pas choisi de se retrouver impliquées dans une relation. La présidente de Tourvel, face au charme du vicomte de Valmont, n’arrive pas à résister à ses avances : « Que vous dirais-je enfin ? j’aime, oui, j’aime éperdumment. Hélas ! » (_Lettre 102_, p.292). Désemparée, elle ne peut que se résoudre à succomber, c’est en cela que sa liberté devient pervertie. De plus,

Lettre XX De la Marquise de Merteuil au Vicomte de Valmont Ah ! fripon, vous me cajolez, de peur que je ne me moque de vous ! Allons, je vous fais grâce : vous m’écrivez tant de folies, qu’il faut bien que je vous pardonne la sagesse où vous tient votre Présidente. Je ne crois pas que mon Chevalier eût autant d’indulgence que moi ; il serait homme à ne pas approuver notre renouvellement de bail, & à ne rien trouver de plaisant dans votre folle idée. J’en ai pourtant bien ri, & j’étais vraiment