Vanessa Paradis

épprouvés. Le tableau gravé sur le marbre (au-dessus des 10 lettres) est conservé au louvre (le tableau s’appelle ‘’les bergers d’arcadie’’). On y voit 3 bergers et une femme autour d’un tombeau (c’est sencé représenté l’arcadie c-a-d une sorte de paradis terrestre dans la mythologie greque). Sur ce tableau une inscrit ‘’moi aussi je suis uen arcadie’’ mais c’est un anagramme de ‘’je cache les secrets de dieu’’. Ce tableau a été commandé par un cardinal devenu pape après avoir récut ce tableau. Il

d’une dégradation physique et morale. Le rire et la douleur s’expriment par les organes où résident le commandement et la science du bien ou du mal : les yeux et la bouche. Dans le paradis terrestre (qu’on le suppose passé ou à venir, souvenir ou prophétie, comme les théologiens ou comme les socialistes), dans le paradis terrestre, c’est-à-dire dans le milieu où il semblait à l’homme que toutes les choses créées étaient bonnes, la joie n’était pas dans le rire. Aucune peine ne l’affligeant, son visage

cela l'a mené à combattre les injustices politiques et religieuses. C'est un texte narratif et argumentatif. Cet extrait peut se découper en trois parties: le récit du peigne cassé (par.30-31), la découverte de l'injustice (par.32-35) et la fin du paradis (par.36). L'analyse suivra 2 axes: la mise en forme du texte (1) et les répercutions de cette injustice sur sa vie(2). Axe 1: Nous pouvons tout d'abord délimiter le temps de narration (par.30, 31, 34 et 36), qui est le moment décrit (passé) et

Candide Intrduction: Dans le chapitre 1, après une enfance heureuses dans le meilleur des châteaux possibles, Candide est chassé du paradis 'à grands coups de pied dans le derrière' pour avoir embrasé Cunégonde. Le début du chapitre 2 raconte l'enrôlement et l'instruction militaire de Candide par les Bulgares. Candide, comme parcours du roman d'apprentissage, va commencer par des initiations en se frottant à réalité. C'est l'occasion aussi pour Voltaire de débuter la critique principal

des délices) est le nom du jardin merveilleux où la Genèse (chapitres 2 et 3) place l'histoire d'Adam et Ève. Il est souvent assimilé au Paradis. Quelques théologiens chrétiens pensèrent, comme le jardin d'Éden commençait à être associé au paradis (cf. infra), que le Jardin n'avait jamais eu une existence terrestre propre, qu'il s'agissait d'un « bout de paradis céleste sur terre » au sens littéral. C'est le Serpent qui entraîne la chute d'Adam et Ève en les faisant goûter au fruit défendu.

travers « l’usage du monde » qu’ils en faisaient, j’étais captivé pages après pages, mon livre comme seul moyen de transport, en dehors du temps, à m’imaginer les dernières contrées de l’Europe, aux portes de l’Oural. Je rêvais de quitter le petit paradis terrestre que j’habitais (au cœur de l’Europe, vous voyez ?) pour des destinations exotiques et bouleversantes de changements… Depuis, cet esprit de « Suissitude » que je haïssais en ce temps la, m’a rattrapé, conscient parfois de la chance insolente

Gerardmansoif on descend dAdam //Yannickduzero cest une histoire non religieuse mais qui fait reflechi soudayssi : tu vois tous ce que vous dite c'set des theories de l'homme et non celle de dieu gerardmansoif : ok bah honnetement un paradis avec çe genre de paradis ça donne pas trop envie en fait yannickduzero : des preuves concrete je veut. yannickduzero : winnie je veu pas des preuves ecrite par je ne c qui ou quoi soudayssi : oui le pedo et assa entreront au pardis gerardmansoif : la théorie

aux pauvres une vie nouvelle. Quand Baudelaire mentionne les pauvres il parle de ceux qui ont souffert des cruautés de la vie. Dans la strophe finale il y a une autre métaphore biblique, toute la strophe se réfère au paradis et à la vie après la mort. Le vers final réfère au paradis particulièrement quand le poème dit, « c’est le portique ouvert sur les Cieux inconnus ! » Aussi ce vers dépeint la mort comme un portail au endroit mieux que la vie. Le vers final est une bonne fin parce que c’est un

et jugent indispensables à leur propre vision d’un monde qu’ils qualifieraient d’idéal : « Sept grands cercles qui portent le nom des sept planètes » (extrait de La Cité du Soleil), « Par bonheur, ce lieu-là était, comme vous le saurez bientôt, le paradis terrestre, et l’arbre sur lequel je tombais se trouve justement l’arbre de la vie. » (extrait de L’autre monde ou les états et empires de la lune). Nous voyons bien ici qu’il s’agit de mondes inventés par les auteurs. « Le fondateur de l’empire

charitable et redoutable de bienfaisance de charité et de redoutabilité  le malheureux peintre de la réalité  se trouve soudain alors être la triste proie  d'une innombrable foule d'associations d'idées  Et la pomme en tournant évoque le pommier  le Paradis terrestre et Ève et puis Adam  l'arrosoir l'espalier Parmentier l'escalier  le Canada les Hespérides la Normandie la Reinette et l'Api  le serpent du Jeu de Paume le serment du Jus de Pomme  et le péché originel  et les origines de l'art  et