Vanité

amour, Dominique, et lui dédie son recueil Le Phénix, transition entre l'horreur de la longue déliquescence de Nush et plus tard la renaissance à travers l'amour de Dominique, dans lequel les thématiques de la mort, du doute, du désespoir, de la Vanité des Vanités s'opposent en miroir à celles de la vie, de l'amour, de la sensualité et de la chair avec comme clef de voûte le poème écrit au moment de la mort de Nush, à la fois épitaphe et notes intimes qui nous font peut être plus que n'importe quel autre

Eyck : perspective de la Renaissance mais aussi, accentuation des détails tous représentés. Il est très représentatif de l’époque. Tableau de Holbein, les ambassadeurs : Deuxième artiste de l’époque. Il représente la vanité. On trouve ici la dimension de l’art baroque de la vanité avec le crâne allongé en bas du tableau. LA CONTRE-REFORME C’est la réaction de l’Eglise qui donne lieu au Concile de Trente (1545-1563) qui réaffirme l’autorité de l’Eglise, de la tradition, de la Vierge, des Saints

trace-une trace destinée a mourir- éphémère. Des motifs de passage de temps-la vanité-construction de l'espace pompeique; la vanité -catégorie de nature morte qui signifie que l existence terrestre est précaire ,;fragile, de peu d'importance, malgré l'existence des hommes,de la vie. Ici à la place des motifs typiques de la peinture on a ce trace qui rappele un passé mort et éphémèr. Le titre de cette peinture-le nom vanité est issue de l 'Ecclésiaste dans lequel on trouve ce mot répété plusieurs fois

lumière le luxe, le savoir et la jeunesse de ces deux hommes, cependant une pensée exaspérante les hante : celle de la mort. Il met en parallèle et en contraste ces deux idées. Ainsi ces biens spirituels comme les bien matériels ne sont que des vanités; le peintre veut en effet nous informer que l’important n’est pas le luxe, le savoir, la puissance mais c’est d’assurer son salut éternel d’où la représentation du Christ en haut à gauche du tableau. Conclusion Les objets représentés traduisent

Les Fleurs du mal Queneau, « Je crains pas ça tellment » in L'instant fatal, 1948 • Lecture d’images : Memento mori Antonio de Pereda (1611-1678), Allégorie du temps qui passe (1634) Jacques de Gheyn le jeune (1565-1629), Vanité (1603) Philippe de Champaigne (1602-1674), Vanité Hans Holbein le Jeune (1497-1543), Les Ambassadeurs (1533) Hans Baldung (1485-1545), Les Trois âges de la vie (1510) • Evaluations : Commentaires : Vigny, « Le Bal » ; Aragon, « Ce que dit Elsa » Corpus de bac sur le motif

biais. On aperçoit alors une tête de mort déformée projetant une ombre sur le carrelage en mosaïque et qui semblerait appartenir à la réalité des deux Ambassadeurs. Ce prodige de l'artiste est là pour rappeler aux hommes la brièveté de la vie et la vanité humaine. Dinteville, de nature mélancolique, ressentait souvent d'après son entourage, cette crainte de la mort et sa devise : Memento mori <<souviens- toi de la mort>> traduit l'expression du refus moderne de la mort que personne à

fait référence aux vanités Descript° de la reflexion sur le caractère ephémère de la vie Carpe Diem + memento mori (souviens toi que tu vas mourir) Utilisation du futur = mort certaine Métaphore filée de la nourriture = carcasse I. La charogne une nouvelle muse a. Le registre lyrique Idéal atteint par la charogne  Muse Synesthésie  correspondances horizontales (5sens) + correspondances verticales (idéal artistique) Champ lexical de l’art « artiste » « toile »  peinture  vanité a. Une reflexion

cylindriques ou coniques. L’anamorphose est liée aux recherches sur la perspective faites à la Renaissance. Le tableau devient alors une vanité, un memento memori nous rappelant « souviens toi que tu vas mourir ». « Souviens toi de la mort » est en effet la devise du commanditaire Jean de Dinteville. Pour lui, le luxe, le savoir, la puissance ne sont que des vanités et que le chrétien doit avant tout se préparer au Jugement dernier. Le crucifix dans l'angle gauche représente la possibilité du salut

modifiée pour passer du bizarre baroque à la régularité classique. (Dernière édition en 1660) Le Titre de la pièce est intéressant et a plusieurs niveaux de lecture. L’illusion renvoi à l’artifice, la fausse apparence, la tromperie mais aussi a la vanité « aspect morale du baroque ». Quand à l’adjectif comique renvoie à quelque chose qui fait rire mais aussi au théâtre. Il y a bien l’alliance de l’illusion et du théâtre dans ce titre. La scène 6 de l’acte V de L’Illusion Comique de Corneille édition

transforme mentalement en dentelle de feuilles-nervures. Je pense sans aucune tristesse et avec sérénité même "ils se marient et pourtant ils vont mourir". À l’heure où la mort - si possible violente, soudaine, irréfléchie- s’expose partout, où les vanités se banalisent, il faut tenter la méthode douce et légère pour apprivoiser notre condition mortelle. Sans pathos. Pénétrer le sujet par le futile, le décoratif, et laisser le memento mori nous infuser lentement. Je suis une dendrolâtre, de ceux