Variole

contagieuse. Il n'existe qu'un type antigénique du virus de la rougeole et les êtres humains sont le seul réservoir pour le virus. Cela signifie que si des taux d'immunisation élevés sont maintenus, il peut être possible d'éradiquer le virus comme variole et la poliomyélite. Causes et Mode de transmission Causes La rougeole est provoquée par un type de virus appelé paramyxovirus. Il est transmis par de minuscules gouttelettes produites par la personne infecté lorsqu'elle tousse, respire ou éternue

Elle utilise l'éducation pour la santé, la promotion de la santé et l'information auprès de la population. C'est la meilleure des préventions : elle peut aboutir à la disparition de la cause, l'éradication de la maladie, comme c'est le cas pour la variole qui fut éradiquée grâce à des campagnes de vaccination massive menées par l'OMS. On peut la retrouver sous forme individuelle, comme pour les campagnes de vaccination, de recommandations d'hygiène bucco-dentaire, physique ou alimentaire et également

débats des philosophes sur la nature de l'homme font écho les progrès des sciences de la nature avec l'œuvre deBuffon, ou les progrès de la médecine avec la découverte de la vaccination par Edward Jenner (la famille royale sera vaccinée contre la variole). L'Encyclopédie : l'esprit des Lumières La grande œuvre du XVIIIe siècle, celle qui symbolise le mieux cette grande espérance qu'un nombre croissant d'individus met dans la connaissance, est l'Encyclopédie. Sous la maîtrise de Diderot, le "

premiers explorateurs, viennent les conquérants et les missionnaires. Mais ils ont été précédés par un terrible « choc microbien ». Les maladies européennes ont franchi l'Atlantique avec les caravelles de Christophe Colomb et des autres navigateurs : la variole en particulier est très meurtrière. Les historiens pensent que des millions d'Amérindiens sont morts avant que les petits groupes armés des conquistadores espagnols comme Hernán Cortés (Empire aztèque) et Francisco Pizarro (Empire inca) ne se lancent

Voltaire déplore la lenteur de ce progrès, le décalage entre les découvertes scientifiques et leur application à travers trois exemples : celui de la physique avec « Newton », celui de « l’inoculation », allusion à la découverte du vaccin de la variole qui tue encore beaucoup au XVII° siècle, enfin celui de « l’agriculture ». Tout se passe en fait comme si l’esprit humain, pourtant apte à améliorer sa société, à lui apporter plus de bien-être, était effrayé de ses propres progrès : « nous commençons

siècle est un siècle de grand déclin démographique car les conditions sanitaires sont telles que personne n’échappe aux infections meurtrières. Le siècle est ravagé par les maladies. La peste disparaît rapidement après celle de Londres en 1665 mais la variole, le typhus, la typhoïde, la dysenterie continuent à tuer. Au-delà des maladies se pose le problème de l’hygiène car à défaut de bien se laver, on purge violemment l’intestin, on saigne la personne malade et même la bien portante. Louis XIII soumit

de l’écologie humaine. Les maladies = contraintes sélectives et moteur evolutif supérieur à celles exercées par conditions physiques environnementales. Sur plan social, épidémie = facteur majeur de déstabilisation et d’effondrement culturel (ex variole chez les amérindiens) Association : anthropologie-épidémiologie : • Paléo-épidémiologie • Germes comme marqueurs de migrations : microbes évoluent en même temps que pop qui les hébergent … ( L’étude des transitions (démog, épidémiologiques

qualifier de « business ». La traite des fourrures a donc permis d'élargir les relations commerciales entre les Premières Nations de tout le continent. Par contre, a favorisé la propagation rapide des microbes et virus en provenance d’Europe (la variole, la rougeole, la coqueluche, le typhus et la grippe). Les Premiers Occupants n’étant pas naturellement immunisés, on estime que 90% d’entre eux décèdent. Le commerce et la baisse démographique de plusieurs tribus provoquent des guerres interminables

a été amorcé avant leur avènement : le XIXe siècle a été marqué, dans les pays en voie d'industrialisation, par une révolution sanitaire sans précédent, où l'hygiène a joué incontestablement un rôle de tout premier plan. Dans les années 1800, variole, rougeole et diphtérie étaient des maladies si familières qu'elles étaient considérées comme des caractéristiques de l'enfance. Les épidémies de choléra et de paludisme étaient récurrentes. Le typhus et la typhoïde menaçaient les pauvres et la tuberculose

XVIIIème siècle. • Dès le XVIIIème siècle, la croissance démographique s’accélère parce que la mortalité commence à chuter fortement. C’est à cette époque que sont mis au point les premiers vaccins : en 1796, Jenner invente le vaccin contre la variole ; en 1884, Pasteur met au point le vaccin contre la rage… A la même époque, on prend conscience de l’importance de l’hygiène et de la propreté (on parle alors d’hygiénisme) : on recommande aux populations de se laver tous les jours, de nettoyer