Vaudou

________________________________________ Lis le texte narratif suivant et complète le schéma suivant. Ce qui est dit Ce qu’on doit deviner = ce qui s’est passé Inférence générale : que s’est-il passé à la fin de l’histoire ? Vaudou Madame Decker venait de rentrer d’un voyage à Haïti – voyage qu’elle avait fait seule – et dont le but était de donner au couple Decker le temps de réfléchir avant d’entamer la procédure d’un divorce. Le temps de réflexion n’avait rien changé. En

interprétative du spectateur ne cesse d'enrichir les perceptions possibles de ce spectacle. Ainsi, la sensibilité de chacun permet de lire War Sweet War comme la confrontation du corps et de l'esprit, la dégustation de la mort, un rituel de possession vaudou ou encore la métaphore du pélican engluer dans la mer pétrolière. Cette dernière image fait glisser l'enjeu du spectacle d'un enjeu politique à un enjeu social. La guerre se reflète dans l’écho des grands génocides familiaux de l'Histoire. De plus

aspect. En effet si pour certains ce journal humoristique et caricatural n’est an aucun cas dérangeant pour d’autre ce n’est pas le cas. Ainsi ce journal fait l’objet de nombreuses controverses. -autre exemple : la commercialisation d’une poupée vaudou a l’effigie de Nicolas Sarkozy avait fait débat entre les personnes revendiquant une liberté totale et les autres étant indignés. -certains défendent alors une liberté d’expression plus régulée pour lutter contre les contenus choquant, vexants ou

les deux femmes aux pouvoirs surnaturels : parler aux invisibles. Une autre forme de manifestation du réalisme magique apparait dans une partie du roman où Tituba reçoit son apprentissage de la part de la mère adoptive Man Yaya, qui pratiquait le Vaudou, « écouter le vent, apprendre la mer, les montagnes et les mornes. », la communication avec les éléments de la nature découle de l’ordre de l’obscur, pouvoir que Tituba utilisera par exemple dans son voyage de retour a la Barbade, où elle recourt

grand-mère à Jackson (Mississippi), tandis que son frère part vivre à Détroit avec sa tante. Il décrit notamment la ségrégation raciale qu'il découvre en grandissant et contre laquelle il va lutter, notamment grâce à l'écriture. Sa première nouvelle, Le Vaudou du demi-arpent de l'Enfer, écrite à 14 ans, sera publiée dans un journal local, le Southern Register. Son adolescence est marquée par le rejet de sa famille, sa mère étant trop faible pour le défendre. Il subit notamment les foudres de sa grand-mère

profil religieux assez diversifié. La majorité de la population est de confession catholique. Néanmoins, de par un phénomène de syncrétisation, de nombreuses pratiques, relevant notamment de l’héritage africain et indo-pakistannais, subsistent. Le vaudou est ainsi encore présent en Martinique et dans toute la Caraïbe ; il se manifeste en Martinique sous l’expression créole « quimbois ». Des minorités juive (synagogue de Schoelcher) et musulmane sont également présentes. D’autres mouvements religieux

par les populations du sud-ouest du Nigeria. Le personnage du premier panneau est une représentation du dieu haitien Ogun, dieu forgeron, d’où les clous. Ces différentes références ainsi que ce dessin ( les bonhommes de secte là ) en référence au vaudou, sont une façon de parler de ses origines et de ces traditions. Ce tableau dans lequel il a aussi utilisé des techniques plus « occidentales » sert de passerelle entre les deux cultures de Basquiat, il a fait les choix d’utiliser ces techniques car

dans une forme d’extase. Dans le plan suivant on voit un homme avec un couteau à la main, totalement habité par la musique. Puis la caméra recule et cadre un mouton égorgé à ses pieds. La transe prend alors la forme d’un sacrifice et rejoint le rite vaudou… Enfin, grâce à un montage alternant les scènes de concert et des images d’archives, le réalisateur montre à quel point cette transe est liée à la culture de son pays. Ces images filmées en noir et blanc proviennent de l’enterrement de Mohamed V (1961)

L’énigme du retour, 2009 (Prix Médicis) (Poète haïtien) Extrait 1 Je ramène au pays sans cérémonie des adieux ces dieux qui m’ont accompagné durant ce long voyage en m’empêchant de perdre la raison. Si tu ne connais pas le vaudou, le vaudou te connaît. Les visages autrefois aimés s’effacent au fil des jours de notre mémoire brûlée. Le drame de ne plus reconnaître même ceux qui nous furent proches. L’herbe repousse, après l’incendie, afin de camoufler toute trace du

le plus grand sérieux, j'ai tracé deux grandes croix avec une cigarette, pris deux savoureuses bouffées, et puis je me suis avancé jusqu'au milieu. Là, j'ai pris mon temps : après une grande inspiration, j'ai sorti l'objet de mon sac : une poupée vaudou, avec d'énormes pattes velues et deux yeux blancs gélatineux et laiteux, maladifs. C'était Aïda, simplement, je l'avais baptisée ainsi. J'ai planté rapidement les aiguilles dans son ignoble corps et je suis tombé à genoux, implorant les cieux de