Vautrin

 3/ Vautrin le tentateur  · La verdeur du langage et la vivacité du rythme contribuent à la séduction du discours tentateur. · Les images des soldats à la maraude c'est-à-dire en quête de nourriture « des araignées dans un pot », du « boulet de canon », de « la peste » doivent frapper l'imagination. · Les procédés rhétoriques sont aussi présents, comme les fausses interrogations : « Vous travaillez ? », « Savez-vous comment on fait son chemin par ici ? » · Notons le jeu des rythmes. A la succession

romancier réaliste, la Comédie humaine, les personnages récurrents de Vautrin et de Rastignac. Lecture du texte. Reprise de la question posée par l’examinateur et annonce du plan. L1 : mise en valeur du nom Vautrin entre deux groupes nominaux en apposition ; entre ces deux personnages (on rappelle par les connotations de ce terme le projet romanesque de Balzac avec des personnages récurrents) et l’homme de quarante ans Vautrin : onomastique : vaurien par paronomase. L2 : aux favoris peints :

Père Goriot, parût en 1835 .Dans cette tirade, Vautrin qui s'impose en maître à son élève Rastignac, lui délivre un discours moratoire. Pour finir, nous étudierons la manière qu'emploie l'auteur pour dresser un tableau négatif de la société dans le choix du personnage de Vautrin. Plan Détaillé : Le pouvoir du discours de Vautrin sur Rastignac A. Le discours direct : B. La posture du professeur vis a vis de son élève: Vautrin met en confiance le jeune homme en flattant son

présentée et décrite dans la première partie du roman, tenue par madame Vauquer. En effet Vautrin, Rastignac, Goriot, Poiret et les autres personnages y habitent bien. On sent bien cette habitude que les uns ont avec les autres dans la pension (par exemple Vautrin appelle madame Vauquer « maman »). Dans cette deuxième partie du texte, 1 élément est principal et fait le titre : le discours de Vautrin. En effet Vautrin présente à Rastignac, nouveau venu, deux chemins et deux directions différentes pour

Vauquer et ses pensionnaires viennent d’être évoqués. La description a été faite selon le critère de la fortune, description ordonnée selon la hiérarchie sociale. L’analyse se focalise ensuite sur les personnages .Cet extrait présente le portrait de
Vautrin. I- Un portrait réaliste A) Balzac est soucieux du moindre détail Description minutieuse : phrase longues, énumération. « un de ces gens dont le peuple dit » effet produit sur les autres pour élargir la vision que l’on a du personnage.

/ janvier 2006 Thème(s) Cinéma, littérature, musique, théâtre Adaptation du roman d'Honoré de Balzac Réalisation : Jean-Daniel Verhaeghe, 2004 Adaptation et dialogues : Jean-Claude Carrière. Avec Charles Aznavour (Goriot), Tchéky Karyo (Vautrin), Malik Zidi (Rastignac), Florence Darel (Delphine de Nucingen), Nadia Barentin (Mme Vauquer), Rosemarie La Vaullée (Anastasie de Restaud), Pierre Vernier (Poiret), Dominique Laubourier (Mlle Michonneau), Maruschka Detmers (Mme de Beauséant) Production

bien propres à faire le tour du personnage : le physique, la personnalité, les occupations. II La puissance corporelle :       Vautrin est d’abord un homme impressionnant par son apparence physique, qui rend immédiatement perceptible sa force et laisse deviner un passé intensément vécu.       La force du personnage est manifeste dès l’expression initiale, « Vautrin, l’homme de quarante ans », qui dénote la plénitude de la maturité, en contraste avec Eugène et Victorine, qui sont de tendres jeunes

O COMMENTAIRE COMPOSE Au début du roman le « Père Goriot, de Balzac, après l’évocation des deux pensionnaires de la maison Vauquer, Victorine Tailleferre et Eugène de Rastignac, le narrateur fait le portrait initial d’un dernier résident : M. Vautrin. Ce portrait nous montre un homme assez mystérieux, dont l'aura sur les autres est importante, un homme à double visage. A R G 1 Tout d’abord, nous voyons que Balzac, dans ce portrait, il nous présente un personnage de la démesure. Dès la première

pour ne pas finir comme lui. L’extrait étudié est la première rencontre entre Rastignac et Vautrin. L'extrait se structure en 3 mouvements. Premièrement une présentation du présent puis un rappel du passé. Deuxièmement le thème de l'argent et de la génération de Rastignac est abordé. Troisièmement un nouveau chemin pour arriver à ses fins est envisagé. Nous soulignerons à chaque passage le caractère de Vautrin lors de son discours. L'extrait s'ouvre sur une métaphore présentant la vie de manière spatiale

‘‘le secrétaire de l’état civil’’ de son temps, il conçoit une vague fresque qu’il intitule « La Comédie Humaine », où tous les romans du grand œuvre seront reliés par le principe de réapparition du personnage. Parmi ces personnages reparaissant, Vautrin est au cœur d’un cycle de trois romans qui, par certains aspects, sont tous des romans d’apprentissages : « Le Père Goriot » (1834) ; « Illusions Perdues » (1843) ; « Splendeurs et misères des courtisanes » (1844). Mais, là où Eugène de Rastignac