Vautrin

 TEXTE 3 : Le portrait de Vautrin lecture analytique 1) Présentation du texte a° le Père Goriot est une œuvre qui a était publiée en 1835 par l'écrivain Honoré de Balzac elle appartient au réalisme ce mouvement littéraire est en opposition avec le romantisme dans leurs œuvre les écrivains du réalisme représente le monde tel qu'il est sans idéaliser mais en disant la vérité  « all is true »dans l’incipit tout est vrai c'est le premier

l'extrait étudié, Balzac nous peint le portrait de l'énigmatique Vautrin, criminel endurci qui se cache de la police. → Comment ce portrait mêle-t-il grandeurs et louanges, avant de susciter le caractère énigmatique ? On montrera comment l'ancien forçat est présenté de manière élogieuse et combien son portrait représente ses aptitudes peu communes, avant de soulever la crainte et la méfiance chez le lecteur. Le portrait de Vautrin est principalement rédigé suivant un ordre précis de composition

l’argent nécessaire de sa famille pour bien se vêtir, débuter son ascension sociale et reçu les conseils de Mme de Bauséant qui lui propose de parvenir à son but grâce aux femmes. C’est une fois que R. est prêt à se lancer dans son aventure, que Vautrin (V.) un mystérieux personnage de la pension Vauquer, aux contours encore flous va l’interpeller seul à seul, et lui parler... Problématique : Comment est constitué le discours de V. ? B. explication de texte. -dégagement des structures : Idée

Discours de Vautrin Ligne 476 à 513 Introduction : Comme lui a conseillé sa cousine, Mme de Bauséant, Rastignac a fait son entrée dans le monde. Ils rencontrent les deux filles de Monsieur Goriot : la baronne de Nucingen et la comtesse de Restaud. Il est confronté à un problème : il manque d’argent. Il décide donc d’envoyer une lettre à ses sœurs (et sa mère) pour leur demander de l’argent. Dans ce passage, nous allons voir que Vautrin propose

GOUBEAU Elisa 1ereL le 4/12/2014 Lecture analytique : Le Père Goriot de Balzac Le Discours de Vautrin C’est sous le titre de la Comédie Humaine qu’Honoré de Balzac, considéré comme l’un des plus grands écrivains de la première moitié du XIXème siècle, réalise la première édition regroupant l’ensemble de ses romans écrits depuis 1829. Parmi eux, le roman d’apprentissage Le Père

Michonneau parlait avant-hier d'un monsieur surnommé Trompe la-Mort ; ce nom-là vous irait bien. Ce mot produisit sur Vautrin l'effet de la foudre: il pâlit et chancela, son regard magnétique tomba comme un rayon de soleil sur mademoiselle Michonneau, à laquelle ce jet de volonté cassa les jarrets. La vieille fille se laissa couler sur une chaise. Poiret s'avança vivement entre elle et Vautrin, comprenant qu'elle était en danger, tant la figure du forçat devint férocement significative en déposant le masque

manière du portrait de Mme Vauquer, faire le portrait de Vautrin en insistant sur la description du corps et sur l'expérience décrite. Dans cet extrait, Vautrin nous y est décrit comme un colosse: "épaules larges", "muscles apparents", "mains épaisses". On peut très vite se faire une idée du personnage de par sa description physique, qui est brute, et impressionante. Le narrateur emploie de longues descriptions sur les attraits physiques de Vautrin, que l'on peut très vite qualifier de viril. Chaque

il comporte trois intrigues apparemment distinctes et parallèles : Le parcours aventureux d’un jeune ambitieux à Paris, Le triste destin d’un père de famille qui s’est ruiné pour ses filles, Les intrigues du mystérieux Vautrin. Pourtant cette complexité foisonnante de l’existence et cette étude sociologique du Paris de la Restauration organisée autour des deux pôles de la pension Vauquer et des beaux quartiers aristocratiques, sont composées selon une unité secrète

personnage nommé Vautrin, qui est un personnage clé de l’œuvre, c’est clairement un texte descriptif. L’intérêt de ce texte est de présenter Vautrin, personnage aux allures sympathiques mais à la figure inquiétante. En quoi Vautrin, malgré ses allures franches et amicales, est-il un personnage inquiétant et sombre ? Mon plan comporte un axe composé de deux sous parties : une description clairement méliorative, pourtant assombrie par des éléments inquiétants sur cet homme. I/Vautrin, un personnage

l’arrivé d’Eugène que Vautrin s’amuse directement à titiller. Madame Vauquer est présente et tient une réplique. Ce bref dialogue rend encore plus surprenant et étonnant la lecture du mot « Trompe-la-mort » inopinément répliquer par Bianchon, cela renforce le coup de surprise, l‘interrogation et l’inquiétude par rapport à la manière dont Vautrin va réagir. Tout s’enclenche à partir de ce moment. Poiret vient en aide à Michonneau, pris de peur et de malaise à la vue de Vautrin qui la fixait de toute