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travail : la personne embauché en tant que salarié sur le territoire français doit être en possession d’une autorisation de travail qui est de droit français. Elle n’est pas de droit pour les ressortissants non-communautaires (hors UE). Relative au sexe : concerne la femme enceinte. Interdiction d’emploi jusqu’au 6 semaines après son accouchement. Les salariés soumis à une clause de non-concurrence avec leur ancien employeur ont interdiction de se faire embaucher par un concurrent pendant la durée

9-Hérédité liée au sexe 9.1-Système de chromosomes sexuels • Femelle homogamétique et mâle hétérogamétique Chez l’homme (peut-être chez tous les mammifères), les femelles ont une constitution chromosomique de type XX,  les femelles ne produisent donc q’un seul type de gamète (X) elles sont dites homogamétiques. Les mâles ont une constitution chromosomique de type XY,  les mâles produisent donc deux types de gamètes (X) et (Y) ils sont dits hétérogamétiques. Parents XX Gamètes

LA NON DISCRIMINATION A L’EMBAUCHE. La non discrimination à l’embauche Le non discrimination à l’embauche est le refus d'établir une différence dans le traitement de personnes, en fonction de leurs origines, de leur race, de leur sexe, de leur religion. A quel point la discrimination à l’embauche est elle présente dans les entreprises ? Dans une première partie, nous allons décrire les différentes sortes de discriminations à l’embauche qu’il est possible de rencontrer dans les entreprises

chose, on encourage l’idée qu’il y a qu’une seule nature, soit « hétérosexuelle ». Or, il est observable dans la nature humaine que des personnes éprouvent de l’affection et de l’attirance tant émotionnelle que physique, envers les personnes du même sexe. Il n’est donc pas vrai que tout le monde est hétérosexuel en occultant la diversité réelle des orientations sexuelles. C’est synonyme d’inversion des identités ou des rôles sociaux : On les pense tous efféminés en les traitant de « fif », « folles »

lors de rapports sexuels, peut l’amener rapidement à l’extase, et on compare cet effet clairement à ce que les femmes pourraient ressentir quand elle magasine chez 3 suisses. Vraiment, vous toutes ici aujourd’hui, le magasinage se compare au meilleur sexe que vous n’avez jamais eu? Non, non, je ne veux pas vraiment le savoir, mais j’essaie simplement de vous démontrer à quel point la femme se fait encore accolée à des petites activités de divertissement qui ne sont pas vraiment importantes.

chez les autres. 2. Confusion entre identité et orientation sexuelle Deuxièmement, il existe une confusion entre l’identité sexuelle (savoir qu’on est un garçon ou une fille) et l’orientation sexuelle (être attiré par une personne de même sexe ou de sexe opposé). Comme l’indique Boris Cyrulnik (neuropsychiatre et éthologue), « c’est la différence des rôles et non celle des sexes, qui permettent à l’enfant de se construire » et Marcel Rufo (pédopsychiatre) précise qu’un « père peut être plus

différents choix et réussites scolaires en fonction des sexes selon les matières et les espérances A. Mixité des structures, sexisme des mentalités B. Mathématiques, l'égalité des compétences C. Egalité des compétences, divergence des orientations D. Sexe et origine sociale, deux régimes distincts d'inégalités E. Enseignement professionnel, une mixité difficile III. Les différences de réussites professionnelles obtenues A. L'école en avance sur la famille et l'entreprise B. Ecole, famille et

l'homme est directe et est présent dès le début de l'extrait, en parlant de « jalousie honteuse » (l.3), ou alors « ses vices » et « sesdéfauts » (l.11). Ces adjectifs sont très dépréciatifs de l'homme, et ceci est plutôt étonnant, vu que l'auteur est du sexe masculin. En étudiant plus l'argumentation de l'auteur, on peut aussi remarquer laprofondeur de la dimension de son discours polémique. Dans le premier paragraphe, en posant des questions rhétoriques il y a exposition et une critique des arguments

cible PPL1040/FÉP/UDM 9 En résumé  L’égalité entre hommes et femmes doit être acceptée comme un principe fondamental  Le principe de l’égalité renforce le principe de nondiscrimination qui comprend l’interdiction de toute exclusion basée sur le sexe, la race, l’ethnie, l’âge, la caste, la religion, etc. PPL1040/FÉP/UDM 10 En résumé  Les droits humains et les droits des femmes et des filles sont universels et indivisibles  Les femmes et les filles doivent être considérées actrices et bénéficiaires

font l´objet de violence sont souvent dans une position de dépendance vis-à-vis de l´agresseur; ils peuvent être par exemple un parent, un frère ou une sœur, un autre membre de la famille, un intervenant, un gardien, un conjoint, un partenaire de même sexe ou une personne fréquentée. La violence est une mauvaise utilisation du pouvoir et une violation de la confiance. Les actes de violence peuvent être commis une fois, ou ils peuvent faire appel à différentes tactiques et se produire de manière répétée