Veille sanitaire

la production de la veille et à la protection de son patrimoine informationnel. A) La veille Le fait de surveiller et d’observer la concurrence n’a rien de nouveau, cela a toujours été pratique courante. L’IE a fait apparaître la nécessité de compléter l’approche de l’étude de marché et de la concurrence à une observation et une surveillance constante de l’environnement de l’entreprise qui est dynamique et toujours en mouvement. Ainsi sont apparues les notions de veilles : concurrentielle,

juillet supprime la notion de | remboursée | | mutuel. | en fonction | identique pour Irène J.Curie). | concernant le | "salaire féminin". | en 1974. | | | du sexe | les garçons et le filles. | travail des | | | La loi Veil | | | femmes | | | autorise l'IVG | | | mariées. | Réforme du régime matrimonial de 1804 : | jusqu'à 12 semaines | Égalité des parents | | la femme peut gérer ses biens, | pour une période | dans l'exercice de | | ouvrir

Selon PORTER (1980), l’objet de la stratégie est d’acquérir et de conserver un avantage de compétitivité. Il y a deux idées nouvelles dans cette définition : * La stratégie doit être effectuée en permanence (même quand l’entreprise va bien) : veille stratégique pour conserver un avantage de compétitivité ; * La notion de compétitivité : jusque là, on ne parlait que de la compétitivité coût (c'est-à-dire faire moins cher que les concurrents). On prend conscience que cette vision n’explique

la loi Veil de 1976, puis par le loi Evin de 1991. L'objectif de ces lois est de protéger les non-fumeurs du tabagisme passif et surtout d'encourager les jeunes à ne jamais commencer à fumer. La loi Evin interdit toute publicité et interdit de fumer dans les lieux publics fermés comme les centres commerciaux, les gares ou les aéroports. * La loi Evin : La loi Evin de 1991 rassemblée dans le code de la santé publique et dans le code du travail, interdit notamment, suite à la loi Veil de 1976

d'anomalie grave chez l'enfant, ou de viol. En 1973 : projet de loi Messmer-Tattinger-Poniatowiski sur l'avortement. Ce projet de loi est le même que celui de 1970. (Autorisation de l'avortement pour les mêmes raisons). Le 17 janvier 1975, la loi Veil autorise l'avortement jusqu'à 10 semaines de grossesse pour les femmes dites « en état de détresse ». Les mineures doivent être accompagné du responsable légal ou d'une personne ayant une autorité parentale. Un médecin peut ne pas faire d'interruption

La veille a pris une nouvelle dimension depuis quelques mois avec Internet. L'arrivée des réseaux et des bases de données actualisées en permanence et accessibles partout dans le monde a en effet modifié la donne et la récente généralisation du haut et très haut débit contribue à une accélération des échanges et de l’utilisation de bases de données de plus en plus complexes et ce, à très grande vitesse. Et ce travail, qui consiste pour l'entreprise à analyser les sources d'informations pour découvrir

alors qu’elle fut votée en 1967). Mais les moyens de contraceptions restent payants et non remboursés par la Sécurité Sociale. La contraception est, elle, autorisé mais l’avortement, lui, reste un délit et ce jusqu’en 1975 grâce à la loi Veil (en référence à Simone Veil, ministre de la santé et qui fit voter cette loi) qui autorise celui-ci. Avant cette loi, il y avait plus d’1 millions de femmes qui avortaient clandestinement dans des conditions très dangereuses alors que pratiqué sous contrôle médical

valeur C’est le début de la parité. C’est le mouvement de libération des femmes. L’influence féminine. C’est la mise en place du nouvel usage du corps (le droit de disposé de sont corps : pilule…) c’est la légalisation de l’avortement avec la loi Veil en 1974. En 1975, la pilule est remboursée par la sécurité sociale. La société prend en charge se phénomène. Il y a trois aspects : - la représentation du corps - les interdits juridiques levés - les conditions d’exercices de la sexualité Les

Denise, entrée à 19 ans dans un réseau de Résistance à Lyon, est arrêtée en 1944, et déportée à Ravensbrück d'où elle est revenue. Simone transite par le camp de Drancy. Son père et son frère Jean sont déportés en Lituanie par le convoi 73[8]. Simone Veil ne les a jamais revus. Le 13 avril 1944, soit deux semaines après leur arrestation, Simone, sa mère et sa sœur Madeleine sont envoyées de Drancy (convoi n°71), vers le camp de concentration d'Auschwitz-Birkenau où elles arrivent le 15 avril au soir

Systèmes d'information documentaire LE PROCESSUS ET LES OUTILS DE VEILLE TECHNOLOGIQUE DANS UN CENTRE DE RECHERCHE ET DEVELOPPEMENT Véronique HENRY Sous la direction de Sylvie LAINE-CRUZEL Université Claude Bernard Lyon1 Septembre 1998 Université Lumière Lyon 2 Ecole Nationale Supérieure des Sciences de l'Information et des Bibliothèques Université Jean Moulin Lyon 3 LE PROCESSUS ET LES OUTILS DE VEILLE TECHNOLOGIQUE DANS UN CENTRE DE RECHERCHE ET DEVELOPPEMENT Véronique