Vélodrome

mépris, Jo, ses copains juifs comme lui, leurs familles, apprennent la vie dans un Paris occupé, sur la Butte Montmartre, où ils ont trouvé refuge. Du moins le croient-ils, jusqu'à ce matin de 16 juillet 1942, ou leur fragile bonheur bascule... Du Vélodrome d'Hiver, où 13 000 raflés sont entassés, au camp de Beaune-La-Rolande, de Vichy à la terrasse du Berghof, La Rafle suit les destins réels des victimes et des bourreaux. De ceux qui ont orchestré. De ceux qui ont eu confiance. De ceux qui ont fui

collaborer avec les Allemands. Vichy marquait aussi la ligne de démarcation entre la zone libre, le sud, et la zone occupée, le nord. En collaborant, certains français participaient aux massacres des juifs par les nazis, comme en témoigne la rafle du vélodrome d’hiver orchestrée par les gendarmes francais eux-memes en 1942. Les « collabos » en profitaient souvent pour se remplir les poches et obtenaient ansi les bonnes graces des Allemands. Après l’invasion de la zone libre en 1942, Vichy pousse encore

RESEAU MANOUCHIAN : Constitués de 23 communiste dont 20 étrangers : → Espagnol rescapés de Franco ( enfermé dans camps francais dans pyrénées) → Italiens résistant au facisme → Arméniens → Juifs échapper de rafle du Vélodrome d'hiver ( juillet 1942)

Français (LVF) pour combattre aux côtés des Allemands sur le front russe. Pire, il livre, aux nazis les Juifs étrangers de la zone libre, puis la police française apporte son concours pour arrêter les Juifs français dans la zone occupée (rafle du Vélodrome d'Hiver en juillet 1942) afin d'aider les Allemands à les déporter. Au total 75000 Juifs seront victimes de la collaboration avec les nazis.

mais aussi de journalistes. Large diffusion 2) Etude précise du texte /16 Citation explication interprétation points 1 « 16-17 juillet 1942 » Rafle du Vel d'hiv : arrestation d'environ 13 000 juifs étrangers, regroupés pour la plupart dans le vélodrome d'hiver. 0,5 2 infamie Honte parce que la collaboration a été le souhait de Vichy, avant même toute demande nazie. Les gouvernements précédents refusaient de reconnaître cette honte. Vichy jugé illégitime et non représentatif des Français. 2 3

Manouchian était constitué de 23 résistants communistes, dont 20 étrangers, des espagnols rescapés de Franco, enfermés dans les camps français des Pyrénées, des Italiens résistant au fascisme, Arméniens, Juifs surtout échappés à la rafle du Rafle du Vélodrome d'Hiver (le populaire Vel'd'Hiv) de juillet 1942 et dirigé par un Arménien, Missak Manouchian. Il faisait partie des mouvements de Résistance communiste - Main-d'œuvre immigrée de la région parisienne.. La plupart d'entre eux sont enterrés dans le

) mais tous ne l’étaient pas par choix ou par convictions, certains appliquaient les ordres ou travaillaient par routine. Ils raflent environ 13 000 juifs, dont au moins 4 000 enfants. Ils sont ensuite détenus pendant quelque jours, dans le vélodrome d’Hiver a Paris. La-bas, ils attendent dans des terribles conditions à la déportation dans les nouveaux camps construits et ouverts par les autorités de Vichy autours de Paris Pithiviers, Beaune-la-Rolande. Pour être à la fin déportés et exterminés

il nous donne le nom du personnage principal du roman. Cadre spatio-temporel : L’histoire se déroule à deux époques différentes, en 1942 et en 2002. En 1942, une partie du roman se passe Rue de Saintonge, à Paris dans le 3° arrondissement, au Vélodrome d’hiver Rue Nélaton, dans le camp de Beaune-La-Rolande et près d’Orléans. En 2002, l’histoire se déroule à l’étranger : à New York et à Lucca en Italie et à nouveau Rue de Saintonge. Résumé : Ce livre raconte l’histoire parallèle de deux familles

Manouchian était constitué de 23 résistants communistes, dont 20 étrangers, des espagnols rescapés de Franco, enfermés dans les camps français des Pyrénées, des Italiens résistant au fascisme, Arméniens, Juifs surtout échappés à la rafle du Rafle du Vélodrome d'Hiver (le populaire Vel'd'Hiv) de juillet 1942 et dirigé par un Arménien, Missak Manouchian. Il faisait partie des mouvements de Résistance communiste - Main-d'œuvre immigrée de la région parisienne.. La plupart d'entre eux sont enterrés dans le

l’opération. Le bilan final de la rafle du 16 juillet 1942 à Paris et la région parisienne est de 13.152 arrestations. « C’est insuffisant » se plaint Legeay, secrétaire général de la Préfecture de Paris. On rassemble tout le monde de force au vélodrome d’hiver aujourd’hui disparu. Les autobus parisiens se chargent du transport. Les conditions d’hygiène et d’internement sont insupportables. Une clameur de fond incessante avec des cris de femmes et d’enfants qui hurlent jour et nuit. La situation