Veme Republique Conclusion

Pour mener cette réflexion, il faut d’abord observer le comportement de la gauche sous la IVe République, entre opposition et participation au pouvoir. Ensuite, l’histoire de la gauche sous la Ve République peut s’étudier en deux phases, une période d’opposition et d’adaptation au régime, jusqu’en 1981, puis un tournant avec le retour de la gauche au pouvoir. I - La gauche sous la IVe République a) Le Parti communiste français, premier parti, mais perpétuel opposant Avant la Seconde Guerre

ses compétences en se contenant à sa fonction de juge de l’administration alors que l’Administration relève du pouvoir exécutif que la Constitution de la Vème République de 1958 confie au chef du gouvernement, le Premier ministre en vertu des articles 20 à 22 de la Constitution, voir de manière très circonstancielle au Président de la République au vu des articles 13 à 17 de la Constitution, notamment en son article 16 qui dispose les pouvoirs exceptionnels. Cette distinction, issue de la séparation

des minorités (opposition politique peut s’exprimer lorsque minoritaire= pluripartisme comme critère majeur de la véritable démocratie) ; (défense des droits fondamentaux individuels. Voir : contrôle de Constitutionnalité/Juge Constitutionnel). Conclusion : Constitutionnalisme démocratique, elle reflète l’évolution de la démocratie. B1 : un Constitutionnalisme écrit. Apparu à la fin du 18ème siècle. Document solennel qui regroupe l’ensemble des règles de fonctionnement des institutions politiques

cette affaire Robert Boulin est extrêmement intéressante car malgré l’importance de l’affaire, une impression de secret d’état en ressort, secret d’état qui s’il est avéré fait fi de toutes les valeurs démocratiques martelées par les présidents de la Vème

des pouvoirs. On se rend compte qu’elle tend a l’organisation des institutions des régimes démocratiques c'est-à-dire « le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple », qui a été introduite dans la constitution de 1958 de la Cinquième République française La séparation des pouvoirs qui peut être rigide ou souple n’est pas la simple classification juridique des régimes. On entend par rigide l’indépendance des pouvoirs caractéristiques du régime présidentiel. On l’oppose généralement a là

qu’on peut pourtant considérer comme le pays d’origine du constitutionnalisme (l’Antiquité grecque mise à part). Ensuite, diverses constitutions, surtout du passé, sont lacunaires, à l’image des Lois constitutionnelles de 1875, créant la IIIème République, régime le plus durable que la France ait connu depuis 1789, qui n’évoquent pas le Président du Conseil, institution la plus importante de l’Etat, occupée entre autres par Georges Clémenceau ou Léon Blum. Enfin, l’étude exégétique de tous les articles

françaises vérifient l’existence formelle de la ratification ou de l’approbation, ne contrôlant donc pas la régularité de celles-ci. L’article 53 introduit une distinction entre les « traités », normes solennelles, ratifiés par décret du président de la République, et les « accords », approuvés par une autre autorité telle que le ministre des Affaires étrangères après leur signature, sans formalité préalable. Une autorisation préalable du Parlement est nécessaire lorsque le traité ou l’accord entre dans l’une

Vietnam et quelques temps plus tard les chinois se retirent. Pendant quelque temps l’on a craint une intervention soviétique contre la Chine mais le Vietnam, la plus puissante armée d’Asie du Sud-Est, est parvenue à enrayer l’agression chinoise Conclusion partielle sur l’Asie  Ce sont là les premières guerres entre pays communistes … (et la faillite évidente du slogan de Marx, « Prolétaires de tous les pays unissez-vous » comme de l’analyse de Lénine selon laquelle la guerre ne peut être que le

nous n’évoquerons pas en détail les événements se passant en Algérie durant cette guerre. La guerre d’Algérie a de nombreuses conséquences sur le plan politique en France et notamment elle conduit en partie à la fin de la IVème République et à la mise en place de la Vème mais l’inverse est vrai aussi, certaines décisions du gouvernement français provoque des troubles en Algérie. La guerre d’indépendance algérienne débute le 1er novembre 1954 par une série d’attentats simultanés perpétrés

du président de la république dans le texte constitutionnel est assez générale pour certaines dispositions tandis qu’elle est très précise pour d’autres. En conséquence cela laisse ouverte un certain nombre d’interprétations de la même manière que c’est dans l’expérience pratique et l’utilisation par les différents présidents successifs que l’on peut analyser dans la réalité ces attributions. C’est en effet au cours des périodes de cohabitation entre un président de la république et un premier ministre