Venin

la petite plaque calcaire) Face inter-radiale ou inter-ambulacraire (entre les bras) b) Tégument Épiderme cilié et glande Derme épais Muscles Structure associée Pédicellaire (pince) et parfois des glandes à venins : structure dure, forme simple ou composé (2 ou 3 mors) Pied (podium au pluriel podias) structure souple, déformable Rôle des piquants : défense et capture c) Endosquelette Calcaire : carbonate Ossicules (plaques) : articulé

que tu n’as pas seulement le pouvoir, mais le droit de me tuer. Oui, tu as droit sur ma vie, puisque deux fois tu me l’as conservée et rendue. Une première fois, naguère : j’étais le jongleur blessé que tu as sauvé quand tu as chassé de son corps le venin dont l’épieu du Morholt l’avait empoisonné. Ne rougis pas, jeune fille, d’avoir guéri ces blessures : ne les avais-je pas reçues en loyal combat ? ai-je tué le Morholt en trahison ? ne m’avait-il pas défié ? ne devais-je pas défendre mon corps ? Pour

présence/absence des crochets à venins Aglyphes : petit crochet pas de venin Opistoglyphe : crochet tout petits mais au fond de la bouche (ex : serpent corail) Protéroglyphes : crochets a venin, a l’avant, percé par canal injectant venin en profondeur parfois trous à l’avant => projette venin(cible les yeux). Solénoglyphes : (les plus dangereux et plus venimeux) dent creuse avec systeme de tube, dent au repos sont repliées, systeme de muscle qui rabat les dents. Comment agit le venin 2 types : -Hemotoxyque :

scorpions qui possèdent un venin extrêmement puissant. La piqûre provoque généralement un gonflement important qui peut parfois amener une coloration bleuâtre et noirâtre de la zone touchée, accompagnée également de brûlures intenses. La douleur provoquée remonte dans le membre touché, pouvant entrainer une perte de connaissance dans les cas les moins grave, et dans les pires cas, la mort par arrêt cardiaque ou noyade. La noyade est due à son puissant venin neurotoxique paralysant les

corps de reptile surmonté de 9 têtes. A chaque fois que notre héro en vainquait une, 2 en repoussaient. Mais l’une d’elles était immortelle, il la coupa et à partir de ce moment l’hydre mourut. Hercule en profita pour recueillir son venin et d’embaumer ses flèches de son venin. 3.Le sanglier d’Erymanthe. Le troisième travail était de capturer le sanglier d’Erymanthe et de le ramener vivant à la cour d’Eurysthée. Ce sanglier affirmait être une bête féroce qui ne sortait de son repaire que pour dévaster

pithécan­thropes tombent au champ d'honneur, mangés par des carnassiers, écrabouillés par des éléphants et des mas­todontes, transpercés par des rhinocéros, piqués à mort par les serpents doués de venin et comprimés à mort par ceux qui ne le sont pas. Et ce qui survit de notre espèce à ces cornes, ces crocs, ces sabots, ce venin, tombe sous les atteintes d'autres ennemis mortels, dont beaucoup sont si minuscules qu'ils échappent à la vue, en nombre si infini qu'il nous est – pour le moment – impossible de les

mariée. Au sein du recueil, on distingue un cycle « Madame Sabatier » Du poème XL (Semper Eadem) à XLVIII Dans le poème « A Celle qui est trop Gaie », Baudelaire suggère à sa muse de lui infuser son venin… « A travers ces lèvres nouvelles, Plus éclatantes et plus belles, T'infuser mon venin, ma soeur ! » La pièce sera condamnée pour outrage aux bonnes mœurs lors du procès des Fleurs du Mal le 20 août 1857. Aglaé Savatier est toujours décrite positivement par Baudelaire : Dans le poème « L’Aube

«Refuser ce qu’elle refuse — est-il dit à propos de Silvia qui dédaigne de devenir la favorite du Prince —‘ cela n’est point naturel, ce n’est point là une femme, voyez-vous, c’est quelque créature d’une espèce à nous inconnue... » (I, 2). Le venin de la vanité Par un reversement de perspective, « l’état de nature » des petits paysans apparaît comme un « prodige » inhumain à ces mondains dont la stratégie consistera à éveiller en Arlequin et Silvia ce second « naturel ». « Je connais mon sexe

espèces, la plupart tropicales et de grande taille, quelques-unes européennes et plus petites. Elles ne présentent pas de véritable danger pour l'homme, à l'exception de quelques espèces australiennes (en particulier Atrax robustus). La toxicité du venin n'est nullement proportionnelle à la taille des mygales : les plus grosses, qui ont si mauvaise réputation, ne sont pas les plus dangereuses. Certaines espèces d'Amérique du Sud disposent toutefois de « poils » urticants qui constituent, en plus du

coeur ( ligne 18: “ l’ennui ne laisserait pas de sortir du fond du coeur, où il a des racines naturelles, et de remplir l’esprit de son venin ). L’ennui est dans le coeur depuis la nuit des temps, c’est “ naturel “ c’est donc encore une fois quelque chose qui est le propre de l’homme depuis toujours. L’ennui ne va pas hésiter, de son plein grès, à laisser son “ venin “ ( sa présence ) dans le coeur et l’envoyer jusqu’à l’esprit, c’est à dire que tout être humain ressentira l’ennui comme une maladie