Venise Au Moyen Age

pensées grecques + romaines. Sujets mythologiques, religieux + individuel (humanisme). Perspective (profondeur + proportions) + peinture à l’huile + étude de l’anatomie. 2 écoles : - Ecole de Florence : approche intellectuelle de l’art - Ecole de Venise : approche au niveau de la couleur Brunelleschi (F.) : découvre la perspective ; Architecture Masaccio (R.) : Chapelle Brancacci ; Le paiement du tribut Donatello (F.) : Sculpture ; Saint-Georges. Ucello (F.) : La chasse dans la forêt Antonello

à la chaussure par la littérature ou les arts en général : de Villon qui chantait la botte, aux Contes du Chat Botté ou à Cendrillon et sa pantoufle de verre… Que d'évolution depuis la préhistoire, de la "gallica" gallo-romaine aux Poulaines du Moyen Age a la pointe démesurée rapportée d'Orient par les Croisés aux bottes d'armes des soldats de la royauté. Pas de doute nous entretenons avec nos " souliers " des relations affectives, tyranniques parfois passionnelles : de la folle passion à l'accessoire

) CONCLUSION 3 points : - Synthèse (forme/ différents points dégagés) - Hypothèse ( en quoi novatrice ou non ?) - Ouverture ( éventuels apports ? Influence, impact ...) LA FIGURATION => fait de rendre sensible à la vue par des moyens graphiques, plastiques (…), des êtres, des choses. Diverses façons de figurer un référent Introduction=> Figuration et image Origines => le mythe de la figuration : Pline L'ancien > A Corynthe, la fille d'un portier attristé par

donc une terre largement inconnu. B) L’Asie, terre mal connu ( Vers 1500, la population mondiale vie dans un pays musulman , c’est le résultat d’une seconde diffusion pacifique ou militaire après une première extension des V et VIIeme au Moyen Orient et en Afrique du Nord. L’Asie centrale et L’inde sont au moins des souverains moghols. Au XV e l’empire de Tamerlan et de ses descendant exportent leurs religions de la Chine jusqu’en Indonésie. La rencontre prolongé avec les Européens a

Antiquité et Moyen Âge : Peut-on déjà parler de paysage ? Si l’on part de la définition du paysage par le Petit Robert, 1°) partie d’un pays, étendue de terre que la nature présente à l’observateur, 2°) figuration picturale ou graphique d’une étendue de pays où la nature tient le premier rôle et où les figures (d’hommes, d’animaux) et les constructions (fabriques) sont accessoires », le paysage indépendant n’existe ni dans l’Antiquité, ni pendant la plus grande partie du Moyen Age. Augustin Berque

au treizième siècle : I) Sainte-Foy de Conques, une abbaye de pèlerinage. a) Une abbaye au Moyen-âge. b) Un pèlerinage sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle. c) Le jugement dernier. II) L’hérésie Cathare et sa répression. III) Société et structure médiévale. a) Féodalité et monde rurale. b) L’essor urbain, l’exemple de Venise et de Bruges. Probématique : Le Chrétien doit-il ce taire face à la toute puissance de l’église ? Conclusion

transmet la citoyenneté). Au Moyen Âge, les villes s’affranchissent progressivement du pouvoir féodal. Dans le Saint-Empire romain germanique, on parle de ville libre d'Empire, dans le Royaume de France de ville franche. Rétrospectivement, les historiens baptiseront de « république » cette forme nouvelle de gouvernement oligarchique et bourgeois qui émerge alors. La plus célèbre, la plus riche, la plus puissante de ces villes indépendantes est alors la République de Venise, terme moderne pour désigner

entre les villes du nord de la Péninsule, qui deviennent des centres textiles et des centres financiers et monétaires pour certaines d'entre elles. Florence, Gênes, Venise créent des monnaies en or, en créant chacune une pièce fabriquée dans ce métal, plus difficile à rogner et à falsifier. Le florin, principale monnaie du Moyen Âge, est créé en 1252 par la corporation des changeurs et banquiers (Arte del Cambio) de Florence, l'une des cinq corporations majeures et contribue au succès de la ville

Art Moderne Introduction La Renaissance est par son nom une époque nouvelle. Les hommes du XVe siècle étaient conscients d’un renouveau. Il parlait de rinascita qui succédait à un âge de ténèbres. Dès le XIVe siècle, les italiens ont conscience que l’Antiquité a été suivis par un âge sombre. Cette idée de rinascita est utilisée par Vasari dans son ouvrage, La vie des meilleurs peintres, sculpteurs et architectes, 1550. Cette période a donc conscience de sa place dans l’histoire. Au XVe siècle

(de ce théâtre) réside dans les ridicules ou les monstruosités de la nature, dans les visages déformés, les nez caricaturaux, les fronts pointus, les crânes chauves, les longues oreilles, les jambes torses. Ces défauts peuvent être reproduits au moyen de masques ou par l'art, et sont aussi risibles lorsqu'ils sont copiés, qu'ils sont tristes et pitoyables dans la vie. Tout est donc dans le jeu et les subtilités de l'apparence: la base de ce théâtre, c'est la caricature populaire. La Commedia