Vêpres

l'Orfeo, comme l'auteur du premier chef d'œuvre du genre. Il est également le dernier grand représentant de l'école italienne du madrigal, genre auquel il a consacré neuf Livres, ainsi que l'auteur d'une abondante œuvre de musique religieuse (messes, vêpres, motets...). Musicien précoce, Monteverdi apprend son art auprès de Marco Antonio Ingegneri et compose dès l’âge de quinze ans ses premiers motets, composition sacrée à plusieurs voix. Outre le chant, Monteverdi maîtrise également la viole ce qui

Guernica, les faits 26 avril 1937 Soudain, à 4 heures et demie de l'après-midi, toutes les cloches de Guernica se mettent à sonner. Les entendre à une heure qui n'est celle ni d'une messe, ni des vêpres ou d'un salut, les habitants de cette petite ville basque savent ce que cela signifie : une alerte aérienne. Guernica ne dispose d'aucune sirène. En 1937, au Pays basque, rares sont les localités assez riches pour s'équiper d'un système d'alerte. Depuis neuf mois qu'elle se poursuit, la guerre

sans retenue. Souvent la fête s'accompagnait d'un défilait déguisé, ou l'on se moquait des puissants et on fesait des mines. La fête de L'âne. La fête de l'âne était célébrée dans certaines villes la veille de Noël ou au cours des secondes vêpres le 25 décembre. Une jeune pénétrait dans une église, pendant la messe, à dos d'âne et avec un enfant dans ses bras. Toutes les prières se terminaient alors par "hi-han!". L'église a rapidement interdit ces célébrations qui prenaient un caractère

ophicléides, voix claires… Tous ces effet (s s’oppose a un effet de sourdine lié à la chambre : « tous s’agenouillèrent ». II les éléments mystiques de l’agonie dans cette scène religieux) : Félicité mourra un dimanche, jour du seigneur « après les vêpres « (vers 5h 6h) en parallèle de son agonie, le narrateur nous décrit la procession de la fête dieux, tout le bourg est la réunit. Le narrateur au début du chap. 5 décrit tous les éléments de la procession des gamins au curé, des costumes et des objets

Sonnet à Marie Je vous envoie un bouquet que main Vient de trier de ces fleurs épanouies ; Qui ne les eût à ce vêpres cueillies, Chutes à terre elles fussent demain. Cela vous soit un exemple certain Que vos beautés, bien qu’elles soient fleuries, En peu de temps cherront, toutes flétries, Et, comme fleurs, périront tout soudain. Le temps s’en va, le temps s’en va, ma dame Las ! Le temps, non, mais nous nous en allons, Et tôt serons étendus sous la lame ; Et des amours desquelles nous

bouffe, La Frate ‘nnamorato, qui remporte un vif succès. Pergolèse écrit aussi à cette époque des œuvres religieuses, comme en 1732, où il compose pour la ville de Naples qui vient d’être victime d’un violent séisme sa grande Messe solennelle, et les Vêpres solennelles. Le jeune compositeur connaît en 1733 un triomphe avec son intermezzo La Serva Padrona (la Servante Maîtresse), ainsi que Livietta e Tracollo, joué en 1734. A cette période, Pergolèse est connut et aimé pour ses opéras bouffes et ses

véritable illumination intérieure. Mais cette foi peut être feinte. En effet jusqu’au années 70 notre société était empreinte de catholicisme. Les villages étaient très ancrés dans leur paroisse. Chaque villageois participait à chaque messe, vêpres ou prière. En effet la peur du regard des autres, la peur d’être jugé était persistante. La société était tellement empreinte de la religion qu’avoir une opinion différente était mal venu. La peur gouvernait bien les croyances, par appréhension des

chrétienne, mais le public contemporain avait été surpris de voir exprimer ces sentiments sur la scène. Plus tard (1670), Corneille donnera encore une traduction de l'Office de la sainte Vierge (vers et prose) avec les Sept Psaumes pénitentiaux, les Vêpres et Complies du dimanche et tous les Hymnes du Bréviaire romain. Dans cette même période de retraite, il se livre aussi à des réflexions sur son art et son système dramatique, et rédige trois Discours :I. « De l'utilité et des parties du poème dramatique

Dates romaine de -88 à -82 : En -88 : * Début de la Première guerre de Mithridate (fin en -85). Mithridate VI détruit la Bithynie, alliée de Rome, puis soulève les Grecs d’Asie, puis la Grèce elle-même contre la domination romaine. * Vêpres d'Éphèse : 80 000 Romains sont massacrés par Mithridate VI en Asie Mineure. * La flotte de Mithridate VI du Pont fait le siège de Délos et ses troupes tuent 20 000 des habitants de l'île * À Rome, consulat de Lucius Cornelius Sulla I, Quintus

qui renforce l’attention qui était déjà présente avec « que ma main ». Le mot « épanies » suggère la beauté des fleurs qui est à son summum. On a l’annonce par ce mot du thème du déclin. Ce thème ce fait de plus en plus présent par la suite avec « vêpres », « chutes à terre » et « demain ». Ronsard évoque déjà un futur proche. L’assonance en « u » (chutent et fussent) donne une impression de mélancolie. Deuxième partie : La vision de la mort par anticipation Au tableau des fleurs succède celui