Verdun

entraine la disparition d’au moins la moitié des Arméniens. - L’enfer de Verdun : Le bilan humain est qu’il y a 500 000 morts à Verdun dont 275 000 français mort et 240 000 allemands mort. Les troupes Française sont dirigées par le général PETAIN. Les combats inutiles qui engendrent d’importantes pertes humaines entrainent des mutineries (=révolte de soldats contre l’autorité militaire) chez les soldats. La bataille de Verdun a duré du 2 février à décembre 1916, elle a durée 300 jours. Il s’agit

Nousallons donc voir en quoi on peut la nommer « l’année trouble ». 1917 est l’année au cours de laquelle la Première Guerre Mondiale aurait pu prendre un autre tour, peut-être même finir : elle dure déjàdepuis trois ans. Surtout, 1917 succède à l’année de Verdun, 1916, où Allemagne et France se sont épuisées sans remporter davantage. En 1917, plusieurs pays approchent du point critique, où toutdevient possible, la capitulation, la paix blanche. Cette « année trouble » est le tournant de la guerre, que ce

place forte de Verdun, réputée imprenable, capitule : la route de Paris est alors ouverte. Les commandants en chef des armées françaises deviennent suspects ; aussi, avant qu’une action sérieuse puisse être entreprise, les trois armées de Rochambeau, de Lafayette et de Luckner sont réparties entre les généraux Dumouriez et Kellermann. Campagne précédant la bataille Le 23 août, après un bombardement de trois jours, Longwy se rend aux alliés qui marchent alors lentement vers Verdun indéfendable.

Alpes 21Février-18Décembre : bataille de Verdun, 1 millions d’obus sont utilisés en moins de 24h, dans le secteur de Verdun (Meuse). Les Allemand progressent, mais des poches de résistance de constituent dans les lignes arrières. La bataille de Verdun sera le plus meurtrière. Au total 160 000 hommes Français sont morts ou disparus, 143 000 chez les Allemands. Plus de 60 millions d’obus seront utilisés sur une période de dix mois dans l’ « Enfer de Verdun » 1er juillet-18 novembre 1916 : bataille

1. En février 1916, l‘état-major allemand décide d’engager une grande bataille afin de « saigner à blanc » l’armée française à Verdun, une nasse alimentée côté français par une seule voie. La bataille ne cessera que le 15 décembre, soldée par une défaite allemande, mais surtout par un nombre impressionnant de morts : plus de 300 000 sur une ligne de front de moins de 30 km. 2. Les deux phases de la bataille sont constituées par une offensive germanique entamée en février suivie d’une contre-offensive

Bataille de Verdun : Où ? Quand ? Allemands, est la plus connue de la guerre des tranchées*. Tout d’abord, au moment de l’assaut, les soldats à découvert font face aux tirs ennemis, aux obus, aux gaz asphyxiants, aux lance-flammes, etc. (docs 2, 3 et 4). Les combats à la baïonnette sont sans merci également. Les armements doivent faire le plus de victimes possibles (doc. 7). Par ailleurs, les conditions de vie dans les tranchées (doc. 7) sont très mauvaises pour les soldats : manque d’hygiène

Fiche de révision Chapitre 2 – La Première Guerre mondiale : vers une guerre totale (1914-1918) ●● L’essentiel 1. Les violences au front • Guerre de position ou guerre des tranchées 1916 : Verdun, la Somme • Nouvelles armes meurtrières 2. Les violences à l’arrière • Violences faites aux civils dans les zones occupées (pillages, travaux forcés, viols) • Génocide des Arméniens (gaz, chars…) 3. La mobilisation générale • 70 millions de soldats mobilisés (Européens, peuples

SIECLE SITUATION A. VERDUN ET LA MEMOIRE DE LA BATAILLE : UNE PRISE DE CONSCIENCE EUROPEENNE ? SEANCE 4 : COMMENT ET POURQUOI SE SOUVENIR DE CETTE BATAILLE DE VERDUN ? Objectif : se préparer et s’entraîner à l’élaboration d’un dossier de CCF FICHE DE PRESENTATION DU DOSSIER D’HISTOIRE Nom / Prénom : Classe : Spécialité disciplinaire du dossier (histoire ou géographie) : HISTOIRE Thème du programme de CAP : Guerres et conflits en Europe au XXème siècle Sujet traité : Verdun et la mémoire de la

espace, temps Arts, Etats et pouvoir Arts, mythes et religions Arts, techniques, expressions Arts, ruptures et continuités Type d’œuvre: photographie (noir-blanc) Date et lieu de création : photo prise lors de la première guerre mondiale a Verdun entre février 1916 et décembre 1916 sur la « Voie Sacrée » Dimensions: probablement à partir d'un négatif 4,5 x 5 cm compte tenu de l'époque Lieu de conservation: collection personnelle de monsieur Jean Pierre Verney (historien) – photo utilisée

chanson de Craonne est un chant populaire témoin de la Grande Guerre, elle exprime les doutes, la souffrance, la lassitude et le quotidien des soldats dans les tranchées. Chantée dès 1915 sous le nom de « Chanson de Lorette » puis chantée en 1916 à Verdun et au Chemin des Dames en 1917. Le texte s’inspire d’une valse à succès « bonsoir m’amour » de Charles Sablon en 1911. En 1919 Raymond Lefebvre et Paul Vaillant-Couturier des militants de gauche la renomme « Chanson de Craonne ». Elle est interdite