Verhaeren Les Mendiants

Rousseau, Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes, 1754 ; Bernardin de Saint-Pierre, Paul et Virginie, 1787). Les combats : Le développement des échanges commerciaux va de pair avec une politique de colonisation : les mendiants, les opposants politiques et les criminels sont déportés dans des conditions effroyables (L'Abbé Prévost imagine ainsi que son héroïne, Manon Lescaut, est déportée en Louisiane). On assiste à un intensification de la traite des Noirs vers le Nouveau

Dès 1880, les mardis du salon littéraire de Stéphane Mallarmé consacrèrent ce climat spirituel, en présidant à l'initiation des nouveaux adeptes de la beauté. Les poètes Laurent Tailhade, Gustave Kahn, Henri de Régnier, Vielé-Griffin, les belges Verhaeren et Maeterlinck, mais aussi le jeune André Gide furent d'ardents symbolistes. Bien que la poésie et le roman soient leurs modes d'expression privilégiés, les symbolistes s'emparèrent progressivement de la scène, avec des pièces de Maurice Maeterlinck

|Questions : 1) Comparez la forme de ces quatre textes, en tenant compte des dates| |- Cros, « Plainte », Le Coffret de santal |indiquées. | |- Verhaeren, « La Ville », Les Campagnes hallucinées |2) En vous appuyant sur des citations précises, vous direz quelle image de la | |- Leclerc, « La ville ? c’est… », Pieds nus dans l’aube|ville se dégage de

parce qu’ils ont une tendance à être « néo-réalistes », comme le formule Lemaître.45 Ceux-ci ont l’intention de faire une poésie de « dimension sociale », dont le but est d’être en « communion avec la modernité industrielle ».46 Dans ce cas, Émile Verhaeren, poète belge, aura le rôle décisif pour l’évolution de la poésie. Il rompt avec « la tradition baudelairienne et mallarméenne de négation poétique du monde moderne »47 et explicite qu’il faut « accepter le présent, se plier aux rythmes du monde moderne

| |- Cros, « Plainte », Le Coffret de santal |2) En vous appuyant sur des citations précises, vous direz quelle image de la ville se dégage de | |- Verhaeren, « La Ville », Les Campagnes hallucinées |Commentaire : Cros, « Plainte », Le Coffret de santal | |- Leclerc, « La ville 

prisons), Poésies nouvelles - Apollinaire, « A la santé », Alcools - A. Sarrazin, « Il y a des mois que j’écoute », Poèmes HATIER Annabac 2008 HATIER Annabac 2007 « La ville ? c’est… » (STG mars 2006) - Cros, « Plainte », Le Coffret de santal - Verhaeren, « La Ville », Les Campagnes hallucinées - Leclerc, « La ville ? c’est… », Pieds nus dans l’aube - Nougaro, Bidonville HATIER Annabac STG 2008 HATIER Annabac STG 2007 « La musique des vers » (ES/S – avril 2006) - Hugo, « Une nuit qu’on entendait

la réalité. Invention : Vous avez composé un recueil de poèmes, en prose ou en vers, faisant une large part au rêve et à Page 3 sur 37 Sonia LE PAPE – 2009-2010 « La ville ? c’est… » (STG mars 2006) - Cros, « Plainte », Le Coffret de santal - Verhaeren, « La Ville », Les Campagnes hallucinées - Leclerc, « La ville ? c’est… », Pieds nus dans l’aube - Nougaro, Bidonville HATIER Annabac STG 2008 HATIER Annabac STG 2007 « La musique des vers » (ES/S – avril 2006) - Hugo, « Une nuit qu’on entendait

La parole des Indiens devient plus développée et précise quand il s’agit de dénoncer l’inégalité entre ceux qui sont « remplis et gorgés de toutes sortes de bonnes choses » expression qui dénonce l’excès et l’avidité et s’oppose à la pauvreté des mendiants « « décharnés par la faim et la pauvreté ». Richesse et pauvreté sont vues de manière réaliste et matérielle. L’étonnement des Indiens va jusqu’à ne pas comprendre comment de telles inégalités ne conduisent pas les pauvres à se révolter, comme ils

Il peut s’appliquer notamment au crédit à la consommation et au problème du surendettement. « Celui qui peut se permettre de payer des intérêts ne devrait pas avoir besoin d’emprunter. » Léon Bloy, écrivain et journaliste polémiste (1846-1917) Le Mendiant ingrat © Groupe Eyrolles 97 Bien utiliser les citations dans les examens et concours « Les créanciers ont meilleure mémoire que les débiteurs. » Benjamin Franklin (1706-1790), L’Almanach du Pauvre Richard (Poor Richard’s Almanach) Marché

dans ces études parues au début du XXe siècle, se superposent les noms des poètes symbolistes de plusieurs générations : Charles Baudelaire (1821-1867), Stéphane Mallarmé (1842-1898), Paul Verlaine (1844-1896), Arthur Rimbaud (1854-1891), Émile Verhaeren (1855-1916), Jean Moréas (1856-1910), Remy de Gourmont (1858-1915), Albert Samain (1858-1900), Gustave Kahn (1859-1936), Jules Laforgue (1860-1887), Maurice Maeterlinck (1862-1949), Francis Vielé-Griffin (1863-1937), Stuart Merrill (1863-1915), Henri